Manette NES En passant sur Numerama, je suis tombé sur un article dont le titre ma interpellé : “Jouer à des jeux vidéo réduirait la fréquence des cauchemars“.

Sans vous résumer l’intégralité des résultats de l’étude de la chercheuse canadienne Jayne Gackenbach, il apparaîtrait que les joueurs (qui évoluent dans un monde virtuel) développent une faculté accrue de contrôler leurs rêves (un autre monde virtuel). Par rapport aux non joueurs, ils auraient ainsi moins de cauchemars. Mais, lorsqu’ils en ont, ces derniers seraient alors beaucoup plus violents.

Dans le même style (et de mémoire), j’avais déjà lu que les jeux vidéo contribuent à améliorer :
– la qualité de la vision centrale,
– la synchronisation main-œil,
– la capacité de concentration,
– la résistance au sommeil,
– la capacité à structurer des raisonnements…

Dans 20 ans, on se rendra compte que les jeux vidéos possèdent d’autres nombreuses vertus. Profitant de ma riche expérience personnelle, voici quelques pistes que je proposerai aux chercheurs :
– le jeu rend accro à la bière et à la pizza,
– le jeu accélère la pousse des poils sous les bras,
– le jeu améliore la circulation sanguine dans les oreilles,
– le jeu permet de devenir un Jedi,
– le jeu facilite le transit intestinal.

Je suis prêt à développer certains de ces thèmes dans les commentaires ci-dessous :).

Pour conclure, je dirai que j’aime bien ce genre d’étude scientifique qui tente de prouver les effets bénéfiques des jeux vidéos. On sort petit à petit du fameux discours : “le jeu vidéo c’est le mal“. Comme pour la télévision, ce n’est pas l’outil qui est mauvais mais l’utilisation que l’on en fait. Et comme pour tous les outils, il faut apprendre à s’en servir

L’article est à découvrir sur livescience.com.

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