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emule.jpg Loin de moi l’idée de fanfaronner avec le nouveau terme Perseus mais je viens tout juste de le découvrir et évidemment, je meurs d’envie de partager cette information.

Qu’est-ce que Perseus ?

Il s’agit d’une nouvelle technologie de protection des données mise au point par l’Ecole Supérieure d’Informatique Electronique Automatique (ESIEA). Au départ, seule était visée la sécurité des données confidentielles de l’internaute mais il est très vite apparu que ce système permet d’échanger des fichiers au nez et à la barbe des chiens d’Hadopi. Hé, hé ! direz-vous ?

Ce n’est pas tout ! Firefox, notre navigateur préféré, est déjà compatible avec cette technologie grâce, bien sûr, aux fameux modules d’extension qui ont fait la réputation du renard de feu.

Pour enfoncer un peu plus le clou, cette technique ne peut être cassée que par des supers calculateurs dont la puissance n’est réservée qu’aux affaires les plus sérieuses. Le principe actif de Perseus est composé d’un codage qui change à chaque communication entre deux internautes. Ce codage est en plus couvert par du bruit (parasites) qui interdit toute détection extérieure.

Pour conclure, le bouquet final en quelque sorte, Eric Filiol, le directeur de cette splendide école, tout en expliquant que ce procédé ne fonctionne pas pour les réseaux peer-to-peer (Emule par exemple…) mais seulement pour les adresses http, nous laisse comprendre qu’il n’y aura même pas besoin d’installer un logiciel de type mule à mule.

Alors, maintenant, avez-vous saisi la signification du système Perseus ? ;-)

Plus d’info sur nouvelobs.com.

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P2P Faites ce que je dis, pas ce que je fais… ou quand la réalité rattrape l’utopique HADOPI.

L’histoire se passe au sein-même de nos institutions. Le service audiovisuel de l’Elysée copie pirate en 400 exemplaires une émission TV mettant en scène notre Président de la République. Il s’agit d’un documentaire intitulé “À visage découvert” et diffusé cet été sur France 5. Ce reportage devait être remarquable puisqu’il a été décidé de distribuer gratuitement ces exemplaires aux personnes présentes à la 17e Conférence des ambassadeurs qui s’est déroulée fin août. Les vilains !

Mais ce n’est pas tout ! Comme si cet acte de piraterie ne suffisait pas, le service audiovisuel s’est attribué les droits d’auteurs en apposant sur les jaquettes leur seul nom. Faux et usage de faux !

Incroyable ! Alors qu’on menace de couper les connexions Internet des gens qui ne feraient qu’utiliser Emule pour regarder un film qu’ils ne pourront jamais se payer au cinéma, nos dirigeants (qui ont les moyens) font la même chose et en plus, ils piratent même le copyright !

Arrêtons là la boutade et rions de ce que nos dirigeants se rendent un peu compte que dupliquer un film est tellement facile et naturel que personne n’y voit du mal (sauf la Sacem bien sûr…). D’ailleurs et pour la petite histoire, Galaxie Presse, le détenteur des droits, ne dépose pas plainte.

Voilà donc l’une des premières leçons à tirer de l’absurdité de la loi HADOPI, en espérant que cette loi ne soit jamais appliquée, ne serait-ce que pour se sauver du ridicule !

Une source d’information sur generation-nt.com.

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A l’occasion du vote d’HADOPI, le site bakchich.info avait réalisé une petite vidéo où ils interrogeaient certains députés sur la définition du P2P.

Cette semaine, avant le vote sur HADOPI 2, ils se sont de nouveau glissé dans les couloirs de l’Assemblée Nationale. Les réponses diffèrent selon les députés mais il semblerait que ceux qui savent de quoi l’on parle aient voté contre ! Les autres sont toujours aussi pathétiques

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Emule Jamais je n’aurais cru que le lobby de la Culture parviendrait à faire voter ce genre de loi en France.

La France, un État de droit où même les pires criminels ont plus de droits que leurs victimes, la France devient liberticide lorsqu’on touche au porte-monnaie de quelques nantis dotés de droits d’auteurs exorbitants (jusqu’à 70 ans après le décès de l’auteur).

La solution radicale sera donc appliquée : téléchargement illégal repéré, connexion coupée !

On pourrait appliquer la même sanction dans d’autres domaines, exemples : excès de vitesse commis, véhicule détruit ; impôts fraudés, salaires supprimés ; tapages créés, dans le désert déporté… et je vais arrêter là ces propositions à solution tout aussi radicale de peur de propager des idées.

Vous avez bien compris, s’il suffit de supprimer la source d’un problème, on va finir par se demander si au fond le problème ce n’est pas d’habiter en France

Je crois personnellement que la solution à HADOPI 2 se jouera prochainement dans les urnes car si le problème est constitué par la politique menée par nos élus, il faut suivre leur système radical et changer ces hommes. Eh oui, dans un État de droit, la solution passe toujours par les urnes.

A bon entendeur… En attendant la suite, car le film de HADOPI n’est pas fini…

Une source d’info sur lefigaro.fr.

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Emule Notre cher gouvernement, lancé au grand galop sur ses réformes, particulièrement celle censée protéger les droits d’auteurs, a déjà sélectionné l’entreprise chargée de détecter les vilains pirates.

Il s’agira d’Extelia, filiale de La Poste, qui aura à charge de relever les IP, puis de se faire dévoiler l’identité de ladite IP et pour finir d’envoyer le fameux courriel d’avertissement.

Le problème, c’est que si l’on n’ouvre pas ce courriel (que l’on aurait pris pour du spam ou pour toute autre raison), l’internaute n’est jamais avisé officiellement. D’où partira donc la procédure censée aboutir à la rupture de sa connexion ?

En voulant économiser l’envoi de véritables courriers en recommandé, les citoyens vont encore faire les frais d’une procédure boiteuse mis en place en toute hâte au détriment des droits les plus élémentaires. Le comble, c’est que le site de La Poste propose l’envoi en ligne de courrier en recommandé avec accusé de réception. Tout ça pour en arriver au tribunal à dire au Juge que sa connexion a sûrement été piratée et que l’internaute n’est pas responsable du téléchargement illégal reproché.

Espérons que, comme la fois dernière, le conseil des sages saura y mettre l’ordre qui convient !

Source d’information sur silicon.fr.

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Emule Partout dans les médias du Net, nous lisons et nous apprenons que le dossier HADOPI, de plus en plus brûlant pour la crédibilité de nos dirigeants, vient de passer aux mains de la Justice avec sa nouvelle patronne, Mme MAM (Michèle Alliot-Marie).

Bien évidemment, le système de l’ordonnance pénale, dont je vous avais parlé, fait la Une du projet à mettre en place le plus rapidement possible. En effet, l’urgence capitale de cette loi occulte d’autres projets bien moins importants comme la crise financière et les milliers de chômeurs en plus qu’elle engendre chaque mois. Bref ! HADOPI doit passer coûte que coûte.

Ce qui m’étonne dans la retransmission de cette information, c’est le caractère alarmiste de cette solution et le spectre de 1 000 coupures de connexion par jour envisagées pour les internautes.

Quitte à être le seul à tenir ce langage, je tiens à rappeler à tous les citoyens français (eh oui ! nous sommes les seuls concernés) que nous sommes encore en République dans un Etat de DROIT. Cette ordonnance pénale qui n’est pas un jugement mais une transaction avec le Procureur de la République pour éviter de passer au tribunal, peut être refusée. Tout internaute “ordonné” peut demander à passer devant le juge pour défendre sa cause et prouver sa bonne foi, le cas échéant. HADOPI 2 reste en l’état un épouvantail à moineaux. Seuls les gens facilement influençables marcheront dans cette combine.

Évidemment, contester une ordonnance pénale ne fera qu’alourdir les tâches des tribunaux, 1 000 connexions à couper par jour = 1 000 dossiers à juger par jour… Va y avoir du pain sur la planche…

Un exemple d’information alarmiste chez pcinpact.com.

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Emule Voici deux faits divers informatiques d’importance qui vont mener de l’eau au moulin de Mme Albanel…

L’un se passe au Québec et concerne un jeune pirate, mineur au moment des faits, qui, à l’aide d’un ver informatique, était parvenu à prendre le contrôle d’une cinquantaine d’ordinateurs, pour la plupart situés en Asie. Il serait accusé d’avoir occasionné un préjudice de 5 millions de dollars. Wahoo ! Je n’aurais jamais cru que 50 ordinateurs pouvaient causer autant de dégâts !

Le délinquant a été sanctionné par la peine la plus lourde prévue pour ce genre d’infraction et ma foi, on ne peut qu’approuver ce genre de sanction ! S’introduire dans un ordinateur privé est pour moi similaire à une violation de domicile et comme chacun sait, l’intimité c’est sacré !

Le second cas est plus proche de notre jolie loi Hadopi. Il sanctionne une méchante personne accusée au final d’avoir piraté pas moins de… 24 mp3. Oui vous lisez bien : vingt-quatre mp3. Le tribunal du Minesota a condamné cette maman célibataire à verser à la puissante RIAA (Recording Industry Association of America) près de 2 000 000 de dollars. Oui vous lisez toujours bien : deux millions de dollars ! Qui aurait cru que pirater un MP3 entraînerait un manque à gagner aussi important ?

Dopée par ces deux lamentables exemples sur la disproportion des sanctions infligées, Mme Albanel va-t-elle poursuivre sa croisade de la même manière contre les pirates français ?

Seul l’avenir, qui devient inquiétant pour le développement d’Internet, nous le dira.

Les deux affaires en question sur 01net.com et sur canoe.com.

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Emule Mme Albanel, tel un pitt-bull enragé, ne veut pas lâcher le morceau. Les droits d’auteurs sont devenus, pour elle, un enjeu capital pour la survie du pays ou, plus prosaïquement, pour sa fierté personnelle.

Le sage Conseil Constitutionnel ne veut pas de sa loi ! Eh bien, à l’instar des radars automatiques pour parer la vitesse sur les routes, notre ministre de la culture veut inventer les radars automatiques pour le Net.

Il ne s’agira pas tout à fait du même système d’amende automatique déclenché par les radars mais d’une formule simplifiée appelée ordonnance pénale. Cette forme d’amende est similaire à celle que rédigent les policiers lorsqu’ils dressent une contravention sur leur carnet vert, pour une infraction au stationnement. Voilà donc un gain de temps considérable qui s’annonce pour sanctionner le méchant pirate et engranger de l’argent.

Dès réception de l’ordonnance pénale, le délinquant, puisqu’il s’agit d’une amende pouvant entraîner une peine de prison, pourra soit reconnaître l’infraction et payer l’amende, soit contester et demander à passer au tribunal correctionnel. Chose qu’il aura tout intérêt à faire pour éviter l’amende et la coupure de connexion en arguant qu’il a pu être victime lui-même d’un piratage de sa ligne.

Afin de susciter un frisson général, Mme Albanel n’hésite pas à publier ce projet en rappelant de manière très comminatoire que la contrefaçon (le téléchargement est assimilé à de la contrefaçon) est punie d’une peine de prison de 3 ans et d’une amende de 300 000 euros. Comme on aimerait que l’application de la loi touchent de la même façon les délinquants de droit commun qui empoisonnent la vie quotidienne de millions de français chaque jour !

Avec Hadopi j’ai comparé Mme Albanel à un pitt-bull pour la pugnacité qu’elle démontre. Il serait regrettable de la comparer à un autre animal si son projet d’ordonnance pénale devait avorter et qu’elle s’entête à sortir une nouvelle solution du même genre…

En savoir plus sur lepoint.fr.

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Emule Comme Lisa Azuelos l’a fait dans son dernier film, autant utiliser le langage des djeuns pour exprimer le ressenti général suite à la décision du Conseil Constitutionnel. LOL, MDR, PTDR, ou encore à la Brice de Nice, KC !

Enfin les sages auront rendu la raison à notre bande de députés analphabètes informatiquement parlant, qui ont donné leur voix à majorité à une ministre pas plus cultivée qu’eux en la matière. Ouf ! la voix de la sagesse s’est finalement fait entendre et a fait entendre raison à nos dirigeants.

Il faut dire que sauf dans un régime totalitaire cette loi était inimaginable à appliquer.

Les artistes et les majors n’ont plus qu’à se mettre au travail pour cesser de vouloir engranger de l’argent aussi facilement qu’avant et proposer des solutions qui tiennent la route du XXIe siècle. C’est maintenant une évidence, la vieille époque est révolue, Internet est bien en marche et est considéré comme un droit inaliénable, il faut donc s’adapter ou couler.

Les sages ont averti et rappelé les principes d’une démocratie, notamment celui de la séparation des pouvoirs, en lançant que “C’est à la justice de prononcer une sanction lorsqu’il est établi qu’il y a des téléchargements illégaux”.

La loi est donc vidée d’une grande partie de sa substance. Au revoir :
– la coupure de l’accès Internet
– le fichage par des société privées
– la présomption de culpabilité où il fallait prouver son innocence (!)

Le système qui sera mis en place devient simplement une machine à envoyer des mails d’avertissement et comme tout citoyen, devra saisir la Justice pour sanctionner le gros méchant téléchargeur.

Bon, ça c’est fait… passons à autre chose. :-)

Information recueillie sur clubic.com.

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Routeur antiHadopi La technologie n’aura pas beaucoup attendue pour nous sortir une parade à HADOPI. On trouve d’ores et déjà sur Internet un routeur capable de se connecter sur le réseau de ses voisins et ainsi protéger son véritable IP lors de l’utilisation de logiciel P2P.

Cet engin possède vraiment des caractéristiques très spéciales. Comme tout routeur, sa configuration se fait grâce à une page Html située en ROM. Mais ce n’est pas tout, cette même ROM contient un logiciel qui permet de craquer tout réseau wifi, pour peu que la clef soit cryptée en simple WEP ou même WPA !

De plus, la puce spécialisée est capable de se connecter à un autre réseau avant que le réseau wifi en cours ne perde sa connexion. Tout se fait automatiquement, sans que l’utilisateur ne s’en occupe. Enfin, ultime perfection, il est possible de signaler dans la configuration son propre réseau wifi pour qu’il ne soit pas pris en compte par ce super snifer de wifi.

Dernier cadeau du fabriquant, son prix : 49 euros seulement ! Je vous laisse, j’ai une commande à faire. ;-)

Il est temps d’aller faire un tour sur routeurhadopi.fr.

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