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Comme chaque année, les sites qui proposent des liens vers du contenu piraté s’amusent à réaliser des palmarès de l’année écoulée.

Si je prends le temps de vous en parler, ce n’est pas pour faire la promotion du téléchargement illégal mais simplement pour vous donner des pistes lorsque vous irez dépenser les sous que vous a lâché le barbu ou les étreintes de mémé qui pique (au passage, toutes les mémés ne piquent pas, et surtout pas la mienne :) ).

Mais revenons à nos torrents, car le site TorrentFreak a donc dressé des listes des fichiers les plus téléchargés. Et voici ce que cela donne (en millions de téléchargements) :

Pour les films :

  1. Avatar : 16,5 M
  2. Kick-Ass : 11,4 M
  3. Inception : 9,7 M
  4. Shutter Island : 9,5 M
  5. Iron Man 2 : 8,8 M
  6. Clash of the Titans : 8 M
  7. Green Zone : 7,7 M
  8. Sherlock Holmes : 7,1 M
  9. The Hurt Locker : 6,8 M
  10. Salt : 6,7 M

Pour les jeux PC :

  1. Call of Duty Black Ops : 4,2 M
  2. Battlefield Bad Company :  2, 4 M
  3. Mafia :  2, 3 M
  4. Mass Effect : 2, 3 M
  5. Starcraft II : 3,1 M

Pour les jeux Xbox 360 :

  1. Dante’s Inferno : 1,3 M
  2. Alan Wake : 1,1 M
  3. Red Dead Redemption : 1 M
  4. Halo Reach : 0,9 M
  5. Call of Duty Black Ops : 0,9 M

Pour les jeux Wii :

  1. Super Mario Galaxy : 2,1 M
  2. Wii Party : 1,2 M
  3. Donkey Kong Country Returns : 0,9 M
  4. Kirby au Fil de L’Aventure : 0,9 M
  5. Red Steel 2 : 0,8 M

On peut reconnaître que les vilains pirates ont eu plutôt du goût cette année…

Pour info, Torrentfreak a récupéré les statistiques de différents trackers BitTorrent et a pris en compte les différentes versions d’un même film. L’ampleur des téléchargements doit être largement supérieur puisque ne sont pas comptabilisés dans ces chiffres : les films regardés en streaming, le direct download, les téléchargements à partir d’autres logiciels (Emule)…

Toutes ces infos sont à retrouver sur torrentfreak.com.

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Jusqu’à aujourd’hui, je restais persuadé qu’HADOPI était une farce, une mauvaise blague, une loi morte née qui ne serait jamais mise en application. Je pensais que toutes ces annonces faisaient partie d’un vaste plan pour faire peur aux vilains internautes qui téléchargent illégalement.

Un peu comme St Thomas, j’attendais de voir de mes yeux le fameux premier mail de l’HADOPI tomber dans mon entourage  IRL. Et  bien c’est fait !

Yann vient de me faire parvenir le mail qu’un ami commun vient de recevoir. Le voici :


Je vous confirme donc qu’il devient urgent d’arrêter Emule (sans VPN) et que télécharger avec des films récents du style “Camping 2” est fortement déconseillé !

Je vous rappelle que, pour éviter de vous faire bêtement attraper, il existe quelques solutions simples. Je vous avais d’ailleurs proposé deux moyens gratuits pour contourner HADOPI.

Sinon, est-ce que vous aussi vous avez reçu ce premier mail d’HADOPI ?

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Je ne vais pas vous refaire mon fameux couplet sur “HADOPI c’est le mal“. Tout le monde a déjà compris, à part les dirigeants de notre pays, qu’il faut trouver une solution pour que les artistes soient justement rémunérés pour leurs œuvres mais que cette solution ne doit pas être mise en place au détriment de nos libertés.

OUI à une solution équitable mais NON au filtrage du Net !

C’est dans ce contexte un peu particulier, avec la mise en route d’HADOPI notamment, que je me pose un cruel dilemme : doit-on présenter des solutions de téléchargement qui contournent la surveillance d’HADOPI ?

D’un côté, c’est certainement un encouragement au piratage mais d’un autre, si les téléchargements diminuent énormément, ce sont tous ceux qui militent pour un filtrage d’Internet qui auront gagné. Et cela, c’est inacceptable. Surtout que ce sont les internautes qui maîtrisent le moins l’outil informatique qui vont se faire avoir, et se faire couper l’ADSL,  par manque de connaissances.

Donc, je vais vous présenter deux moyens pour récupérer des fichiers (légaux bien entendu) sans risquer de vous faire attraper par HADOPI. Il existe, bien entendu, d’autres solutions. Certaines sont valables mais payantes comme les VPN (les gratuits sont vraiment trop limités). Personnellement, mes nombreux essais n’ont porté que sur des moyens totalement gratuits et deux solutions me paraissent, pour l’instant, sortir du lot pour remplacer la bonne vieille mule.

Ce sont :
– StealthNet
les hébergeurs professionnels de fichiers couplés avec un logiciel de gestion des téléchargements.

Première solution : StealthNet.

C’est un client anonyme et crypté pour le réseau P2P RShare. Concrètement, et pour faire simple, c’est un Emule super protégé qui masque votre identité et les données qui transitent. J’ai réussi à obtenir très facilement des fichiers avec ce programme mais les débits étaient parfois un peu lents à cause du manque de sources et peut-être également à cause de la quantité de travail nécessaire pour crypter/décrypter les données.

Pour l’utiliser, téléchargez le client et installez-le. Utilisez le petit moteur de recherche intégré dans le logiciel pour trouver les fichiers qui vous intéressent. Certains sites proposent des liens mis à jour régulièrement, je vous laisse les découvrir avec votre moteur de recherche favori.

De par son fonctionnement “classique”, les anciens utilisateurs d’Emule ne seront pas dépaysés. Je vois bien StealthNet devenir son remplaçant lorsqu’il aura récupéré une grande partie des utilisateurs du mulet. Plus il y aura d’internautes qui partagent et plus les débits augmenteront.

Seconde solution : utiliser les sites d’hébergement professionnel comme MegaUpload, Rapidshare, Hotfile… avec un programme qui va gérer vos téléchargements.

Personnellement, j’ai de très bons résultats avec JDownloader. Téléchargez-le, il est gratuit, et installez-le. Après quelques mises à jour, il est parfaitement fonctionnel, quoiqu’un peu long à se lancer.

Ensuite, il suffit de repérer les fichiers que vous souhaitez récupérer sur les sites d’hébergement professionnel qui sont nombreux et parfaitement légaux (contrairement à certains fichiers qu’ils hébergent d’ailleurs). Pour cela, il y a deux solutions :
– utiliser un moteur de recherche spécifique qui va fouiller chez ces hébergeurs. Vous en trouverez un tas en tapant “moteurs megaupload rapidshare” dans Google.
– passer par des sites et des forums qui recensent des films, des morceaux de musique, des jeux… Je vous laisse les dénicher sur le Net.

Une fois que vous avez trouvé un lien, et si vous avez JDownloader qui tourne en tâche de fond, il suffit simplement de faire un “copier” sur l’adresse du lien (clic droit + copier) et votre fichier vient se ranger dans l’onglet “Collecteur de liens” du logiciel qui va automatiquement vérifier que celui-ci est bien disponible. Il suffit ensuite de valider le ou les fichiers avec le bouton “Ajouter tous les paquets” et ils viendront se ranger dans la file d’attente de l’onglet “Téléchargement”.

Après on lance les téléchargements (petite icône type “lecture”) et il n’y a plus qu’à regarder les octets arriver dans la colonne “Progression“. JDownloader se charge d’enchaîner les téléchargements car les connexions simultanées sont limitées par les hébergeurs. Le programme se charge également de gérer les captchas sur MegaUpload et Rapidshare : plus besoin de rester devant son ordinateur pour taper les codes de vérification.

C’est la solution de téléchargement que je privilégie en ce moment car les débits sont plutôt bons, surtout en dehors des heures de grosse affluence sur Internet (19h-21h).

Attention tout de même, aucune solution (donc aucune de ces deux là également) ne garantit l’anonymat à 100 %. Mais, actuellement, ces deux méthodes vous permettront  d’échanger des données à l’abri des regards indiscrets des majors et de l’HADOPI.

Si vous connaissez d’autres moyens gratuits et efficaces pour télécharger des données en toute sécurité, n’hésitez pas à nous en faire part dans les commentaires

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Emule HADOPI semble être sur le point de démarrer. Si j’ai bien tout compris, les adresses IP des vilains internautes sont déjà en train d’être collectées mais aucune sanction n’a été lancée.

C’est dans ce contexte assez flou sur la mise en place de cette commission liberticide que vient d’apparaître sur Curiosphère, le site de l’éducation en image de France 5, une petite vidéo sensée expliquer HADOPI aux enfants.

On y découvre, dans une atmosphère aussi niaise que possible, “Super Crapule“, un petit personnage masqué, édenté et boutonneux, qui est sensé représenter le mal : le vilain téléchargeur. Heureusement arrive Super Hadopi et son slip magique (si si !) pour le remettre dans le droit chemin en le menaçant de le jeter en prison (sympa !).

Comme vous êtes sans doute curieux, voici la fameuse vidéo qui me fait tout simplement gerber :

Il est à noter que, selon Éric Walter, cette vidéo n’a pas été signée de la HADOPI. Elle a sans doute été réalisée par une entreprise qui souhaite obtenir l’appel d’offres pour diffuser la “Propagande Hadopi“.

Personnellement, je trouve que cette vidéo est ridicule et dangereuse car remplie d’informations fausses. Par exemple, les ayants droits des œuvres ne peuvent pas “refourguer” les mails et adresses à l’HADOPI mais seulement les adresses IP. C’est l’HADOPI qui doit se débrouiller à contacter les FAI pour obtenir les coordonnées de l’éventuel contrevenant. C’est le genre de raccourci exagéré qui sert à faire encore plus peur.

Je n’apprécie non plus pas tellement ce bourrage de crâne fait aux enfants afin de servir la soupe aux majors de la musique. C’est moche !

Surtout que la mise en place d’HADOPI suscite toujours autant de problèmes. Les plus évidents sont (source pcinpact.com) :

– l’adresse IP n’est pas une preuve fiable,
– les sociétés privées chargées de collecter les adresses IP fonctionneraient sans contrôle judiciaire,
– la présomption d’innocence serait bafouée,
– l’accès Internet doit être considéré comme un droit fondamental,
– le coût de la mise en œuvre des sanctions serait énorme…

En conclusion, je dirai que si Super Hadopi est plus costaud que Super Crapule, j’espère bien que Super Commission Européenne lui écrasera sa petite face de premier de la classe. Au pire, on peut toujours appeler Super VPN en attendant…

D’autres infos sur numerama.com.

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Un débat devant Paul Amar entre Jérémie Zimmermann de la quadrature du Net et Franck Riester député et rapporteur devant l’Assemblée de la loi HADOPI supposée lutter contre le téléchargement des œuvres.

Après un résumé instructif de la situation, on plonge dans un débat passionné. D’un côté un individu sans argument à la solde des majors de la musique et de l’autre un jeune homme intelligent et charismatique, qui s’engage pour la liberté et le partage universel de la culture

Comme vous le voyez, je reste discret sur mes opinions pour ne pas influencer votre jugement :) .

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Emule J’avais promis de vous tenir au courant de la mise en place d’HADOPI et il semble que des serveurs pièges aient été installés depuis quelques jours. Mais pas de panique, ce ne sont que des tests car HADOPI n’est pas encore applicable.

Pour ceux qui n’ont pas trop suivi cette actualité, c’est la société nantaise “Trident Media Guard” (TMG) qui a été choisie par les “ayants droit” pour procéder à la collecte des adresses IP sur les réseaux P2P. Il semblerait qu’elle ait mis en ligne 6 serveurs pour traquer les vilains pirates. Il s’agirait des serveurs ayant les adresses IP 85.159.236.252 à 85.159.236.254, puis 85.159.232.81 à 85.159.232.83.

Les spécialistes d’Emule ont également mis en évidence une liste des fichiers qui seraient recherchés par des “sondes eDonkey”. Ce sont de faux clients eMule qui récoltent les adresses des utilisateurs qui partagent des fichiers illégaux. Ces quatre sondes seraient dans le range 193.107.240.0/22 (les IP sur lesquelles les sondes tournent sont 193.107.240.1 à 4).

La liste, ou une partie de cette liste, se trouve par ici. Les fichiers recherchés sont variés : de la musique en tout genre (Michael Jackson, Daft Punk, Dalida, Depeche Mode, Diam’s, les Black Eyed Peas…) et quelques séries à la mode comme Heroes et Inglourious Basterds. La liste n’est pas très fournie pour l’instant et ne doit servir qu’à réaliser des tests.

Bien entendu, il est fortement déconseillé de se connecter à l’un des 6 serveurs cités plus haut. Les spécialistes préconisent de n’utiliser que les serveurs figurant sur la liste “peerates.net“. Je rajouterai personnellement que, pour limiter les risques, il ne faut pas hésiter à déconnecter le protocole “eD2K” et à ne laisser tourner que le client Kademlia (“Kad“). Utilisez seulement le réseau eD2K pour effectuer vos recherches de fichiers.

Enfin, si vous n’avez plus confiance en votre mulet, je vous rappelle qu’il existe déjà des alternatives pour contourner HADOPI. C’est dire si cette loi est ridicule

A lire sur forum.emule-project.net.

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Emule Et pan, dans les dents. Ça commence bien pour HADOPI.

Par le décret n° 2010-236 du 5 mars 2010, HADOPI possède maintenant son fichier. Il listera : la date et l’heure de l’infraction, l’adresse IP utilisée, le protocole P2P employé, le pseudonyme de l’internaute, le nom réel du fichier téléchargé et le nom de votre fournisseur d’accès.

HADOPI se met donc en place et n’attend plus, pour devenir pleinement fonctionnel, que la finalisation du logiciel sensé sécuriser votre ligne. Le fameux programme espion qui doit vous permettre de vous disculper si vous êtes inquiété à tort. Celui qu’il faudra contourner pour être tranquille quoi !

Si vous êtes un vilain pirate, il vous reste donc encore quelques jours (mois ?) avant de couper votre Mule !

Mais revenons au titre de mon billet. La loi HADOPI a été mise en place pour faire peur aux internautes qui téléchargent illégalement. Bien que dépassée sur le plan technique, elle mise sur son effet d’annonce, un peu comme les radars sur la route. On devrait donc voir une baisse significative du nombre de téléchargements depuis sa promulgation.

Or une étude réalisée en décembre par l’Université de Rennes montre qu’au contraire, le nombre de pirates a augmenté de 3 %. Ces derniers délaissent le P2P et s’orientent vers des pratiques indétectables par HADOPI : l’utilisation de VPN, le streaming, le téléchargement sur serveur distant, les newsgroups…

Au lieu de freiner les pirates, HADOPI a eu deux effets pervers :
– une jolie publicité au téléchargement illégal (pour ceux qui hésitaient encore),
– et la remise au goût du jour du téléchargement direct (en plus, ça va plus vite !).

Grâce à HADOPI, les données circuleront plus rapidement, seront encore plus cryptées et donc deviendront quasiment indétectables. Tout le contraire de ce qui était prévu par nos décideurs. Le pire, c’est qu’il va falloir payer tout ça.

Là je dis : bravo !

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Piratage Selon une étude réalisée par IDC (International Data Corporation) pour Microsoft, le taux de logiciels piratés en Poitou-Charentes est de 49 %. La moyenne française ne serait que de 42 %, contre 26 % au Royaume-Uni et 27 % en Allemagne. Le Poitou-Charentes serait donc effectivement au dessus de la moyenne nationale !

Alors là, je dois bien dire que je suis tombé sur le cul ce matin, lorsque j’ai entendu cette nouvelle sur France Info. Mais pourquoi y aurait-il plus de piratage dans cette région ? Apparemment, Microsoft ne propose pas d’explications. Du coup, ce sont les jeunes pirates interrogés qui émettent des hypothèses pour justifier cette percée.

La première raison serait qu’il y aurait potentiellement plus de personnes capables de craquer les programmes dans cette région. Les étudiants qui fréquentent les écoles de l’Image d’Angoulême et celles d’Informatique près du Futuroscope disposeraient du savoir-faire ainsi que du besoin de se procurer des logiciels qui coûtent chers.

La seconde raison viendrait du niveau de vie qui est plutôt bas (faudrait tout de même voir les chiffres). Du coup, ces gens “à faibles moyens” cherchent des solutions pour ne pas payer leurs logiciels plein pot.

Tout le monde est d’accord pour dire que le piratage c’est mal (vive la licence globale). Maintenant, il faut essayer de positiver. Tout d’abord, un très bon point pour les écoles d’Informatiques du Poitou-Charentes qui forment très bien leurs élèves apparemment. Enfin, il faudrait augmenter le pouvoir d’achat de cette population pour qu’elle puisse acheter dignement les logiciels de Microsoft :) .

Microsoft annonce d’ailleurs que, rien que pour le Sud-Ouest, le manque à gagner pour les éditeurs est estimé à 270 millions d’euros. Mouais, d’un autre côté, vu le prix de certains logiciels, il est fort à parier que ces mêmes pirates ne les auraient pas du tout acheté puisqu’ils n’ont pas les moyens pour le faire (cf. raison n°2).

Alors moi je dis “Vive le Poitou-Charentes libre“, enfin qui se met au libre quoi !

Plus d’infos sur charentelibre.com.

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Une parodie de l’émission de TF1. C’est assez croustillant et finalement pas si loin de la réalité…

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Bon, comme c’est ma journée LOPPSI, je ne résiste pas à vous faire découvrir cette petite vidéo de circonstance.

Elle a été réalisée par la Parisienne Libérée. Les paroles sont sur le blog.

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