EspaceRezo

Astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir !

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Craig Lynch est un anglais de 28 ans qui purgeait une peine de 7 ans de prison pour vol aggravé. Un beau jour, il s’évade et au lieu de se planquer comme tout le monde, il décide de se créer un profil sur Facebook.

Le plus étonnant, c’est qu’il nargue la police en se connectant régulièrement sur son compte pour le mettre à jour. Il a plusieurs dizaines de milliers de fans qui le suivent. Il y a vraiment des trucs de fous sur le Net…

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Mininova Maintenant que Mininova est tombé et que The Pirate Bay n’est pas au mieux (je n’y trouve plus grand chose), voici quelques alternatives pour récupérer quelques torrents (légaux bien entendu) qui vont bien.

J’ai pris le temps de les tester tous. Les résultats sont plus ou moins pertinents en fonction de ce que vous recherchez : divx, musique ou jeux. J’ai peut-être un petit faible pour BitSnoop, qui est très clair et quasiment sans publicité intrusive, et pour isoHunt, qui m’a trouvé tout ce que je cherchais.

Voici donc la liste :

Torrentzap
Fenopy
ExtraTorrent
KickassTorrents
BTjunkie
Monova
isoHunt
yourBitTorrent
ShareReactor
BitSnoop
LeakZ
SumoTorrent
plentyoftorrents.com

Il existe également quelques meta-moteurs bien pratiques qui recherchent sur plusieurs sites :

Speckly
usniff
Torrentz

Pour ceux qui ne savent pas comment utiliser des fichiers torrents, je vous renvoie sur ce petit guide pour débutants, que j’avais rédigé il y a pas mal de temps.

J’ai trouvé une bonne partie de ces liens sur torrentfreak.com. N’hésitez pas à proposer d’autres sites dans les commentaires ci-dessous…

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Mininova La nouvelle est tombée en fin de semaine, Mininova, le plus grand moteur de recherche de torrent, vient de se voir contraint de désindexer de son moteur tous les liens vers des fichiers piratés.

La plainte avait été déposée cet été par le BREIN, l’organisation néerlandaise de lutte contre le piratage. Mininova a été condamné à supprimer les fichiers illégaux ou à payer une amende pouvant aller jusqu’à 5 millions d’euros (1000 euros par torrent illicite).

Je viens d’aller faire un tour sur le site et effectivement, on ne trouve plus rien avec le moteur de recherche. C’est sans doute le début de la fin pour l’un des sites les plus visités au monde (dans les 100 premiers). Courant novembre, il avait franchi la barre incroyable des dix milliards de fichiers torrent distribués aux internautes !

Évidemment, c’est loin d’être la fin du P2P. Le réseau risque d’être secoué quelques jours, le temps que d’autres serveurs compensent la perte de ce poids lourd. L’annonce est spectaculaire mais dans les faits, rien ne va réellement changer.

En ce qui concerne le réseau P2P, les nouveaux clients vont utiliser des serveurs totalement décentralisés. Le réseau donc sera de moins en moins “contrôlable“. Bonne chance messieurs pour faire supprimer, à l’avenir, des fichiers qui traîneront sur la Toile. Et je ne parle même pas des nombreuses solutions qui sont en train d’êtres mises en place pour faciliter le téléchargement illégal. Elles tournent donc autour de la décentralisation et la mise en place de cryptages performants des données qui circulent.

Je vous laisse chercher dans votre moteur de recherche préféré un digne successeur… et il y en des tas prêts à reprendre le flambeau. Qui sera le prochain champion à abattre ?

Vous pouvez aller jeter un œil sur ce qu’il reste de mininova.org.

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Pirate Bay La semaine dernière, JClaude avait publié un billet sur le Parti Pirate qui présente deux candidats aux prochaines élections législatives partielles dans la 10ème circonscription des Ivelines.

En lisant le billet et surtout les grands axes qu’ils souhaitent défendre (moderniser les modèles culturels, sociaux, économiques et institutionnels, redéfinition du droit dit “d’auteur”…), je me suis dit chouette : enfin des gens motivés pour défendre nos libertés et le respect des internautes.

Puis je suis tombé sur le message de Yann120, sur le forum, où il indiquait qu’il avait reçu un message plutôt flou du Parti Pirate Français qui annonçait sa dissolution. Bon, j’ai trouvé un peu dommage de tout plaquer car il me semble que ces idées ont du potentiel et que nous somme un bon nombre à souhaiter que les choses évoluent. Non, je ne reparlerai pas d’HADOPI (oups trop tard !). Mais, j’ai poussé mes recherches un peu plus loin…

En fait, il n’y a pas un Parti Pirate mais plusieurs ! Je vais tenter de débroussailler tout ça pour que l’on y voit un peu plus clair. Tous les Partis Pirates sont liés à “la Déclaration de Principes du Parti Pirate Suédois, texte fondateur dans lequel chaque Parti Pirate se reconnaît et se réfère. Les trois principes fondamentaux sont la protection des droits des citoyens, la libération de la culture et la conscience que les brevets et les monopoles sont nuisibles au fonctionnement de notre société” (source : le forum de partipirate.org).

Le Parti Pirate International est une confédération née d’une réaction suédoise à l’action en justice contre les webmasters du site PirateBay. C’est le seul organe propriétaire et dépositaire de la marque Parti Pirate. Ce PP-I fédère des associations politiques à l’échelle nationale. Il y a donc une branche allemande, italienne, anglaise…. et, bien entendu, française. Les candidats dont nous avait parlé JClaude font partis de cette mouvance.

Maintenant, il y a d’autres mouvements qui se revendiquent “pirates”. Les plus connus (enfin ceux que je connais) sont :
– le Parti Pirate Canal Historique,
– le Parti Pirate Français qui est très récent et qui a démarré sur Facebook.

C’est précisément ce dernier qui semblait devoir fermer. Or, après recherches, il apparaît qu’il a été victime de hackers qui ont pris le contrôle du site partipiratefrancais.fr ainsi que de son compte Facebook. Un faux message annonçant sa disparition a été envoyé à tous les contacts et à la presse. Vous trouverez un maximum de détails sur tempsreel.nouvelobs.com. Le site est toujours hors ligne à l’heure actuelle.

Entre de multiples branches et des coups fourrés, il règne pas mal de confusion autour du nom “Parti Pirate”. J’espère que mon propos aura éclairé vos lanternes. N’hésitez pas à poster votre point de vue ou de nouvelles informations dans les commentaires ci-dessous.

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Parti Pirate.org Un nouveau parti politique s’insère dans la société française. Un de plus dans la multitude déjà existante qu’Espacerezo n’évoque jamais, alors pourquoi parler de celui-ci ?

Parce que Espacerezo s’est fait, à plusieurs reprises, l’écho de la presse anti-Hadopi et que malgré une majorité de français contre, le gouvernement a, malgré tout, décidé de traiter comme un délinquant celui-là même qui se ferait pirater sa ligne Internet à des fins illégales.

Ce mouvement de protestation a généré un groupe de pression qui a décidé de créer son propre parti politique à l’instar des suédois, des allemands, des autrichiens, des espagnols, des italiens, des néerlandais et des polonais, excusez du peu.

Parti Pirate (c’est son nom) a vocation comme il est indiqué sur son blog de :
– mieux protéger nos libertés individuelles,
– débattre publiquement et ouvertement d’une redéfinition du droit dit “d’auteur”,
– moderniser les modèles culturels, sociaux, économiques et institutionnels,
– donner une chance aux citoyens de se réapproprier l’avenir de notre société.

Joli programme en vérité pour la défense de nos libertés et pour le respect des internautes derrière lesquels se trouvent des citoyens dont la république a fait foi de garantir les droits dans une célèbre constitution.

Personnellement je n’aime pas le nom de baptême de ce parti. Il sonne comme une plaisanterie de potache et manque totalement de sérieux en se comparant à des criminels. Bien sûr, l’habit ne fait pas le moine mais les gens sont ainsi fait de se faire une idée de quelque chose seulement sur le nom ou l’aspect et là je trouve que c’est déjà un mauvais point.

Je leur souhaite malgré tout une bonne continuation et beaucoup de réussite aux prochaines élections partielles qui permettront peut-être d’avoir un représentant “pirate” au parlement européen.

Suivez la campagne politique sur Parti Pirate.org.

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The Pirate Bay Il y a quelques jours, une mauvaise nouvelle était tombée pour les fondateurs du site The Pirate Bay. Les auteurs de ce site, qui ne contient pas de contenus illégaux mais simplement des liens vers certains fichiers piratés, ont été condamnés à 1 an de prison ferme et 2,4 millions d’euros de dommages et intérêts.

Mais le jugement risque d’être remis en cause. On vient d’apprendre, par une radio suédoise, que le juge Tomas Norström est membre de deux organisations promouvant la défense des droits d’auteurs : l’Association suédoise du droit d’auteur (SFU) et l’Association suédoise pour la propriété industrielle (SFIR). Il connaissait donc particulièrement bien les représentants de l’industrie culturelle lors du procès. Il est même membre du conseil de direction du SFIR.

Une bien belle leçon d’impartialité de la Justice ! Les avocats de The Pirate Bay vont se faire un plaisir d’ajouter ce “détail” dans leur dossier d’appel. Affaire à suivre donc…

Via : clubic.com.

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The Pirate Bay Mauvaise nouvelle pour les fondateurs du site The Pirate Bay. La justice suédoise vient de trancher et la sanction est lourde, très lourde…

D’un côté, les grandes compagnies de l’industrie du disque, du cinéma et du jeu vidéo que sont Warner Bros, Sony Music Entertainment, EMI et Columbia Picture, réclamaient pas moins de 10,5 millions d’euros. De l’autre, Fredrik Neij, 30 ans, Gottfrid Svartholm, 24 ans, et Peter Sunde, 30 ans, étaient poursuivis pour avoir fondé Pirate Bay, ainsi que Carl Lundström, 48 ans, accusé d’avoir investi des fonds dans le site.

La sanction est tombée aujourd’hui, après deux mois de procès : 1 an de prison ferme (!) et 2,4 millions d’euros de dommages et intérêts.

Bien que leur site ne contienne pas de contenus illégaux, le tribunal a retenu la complicité de violation des droits d’auteur. Même si l’amende est exorbitante, ce sont surtout les peines de prison qui surprennent car il n’y en a pas, d’habitude, dans ce genre d’affaire. Tout porte à croire que la Justice a souhaité faire un exemple avec ce site.

Les accusés gardent cependant le moral et assurent que cette décision n’aura aucune incidence sur le fonctionnement de leur site. Ils ont également largement ironisé sur le fait que la décision était connue avant son annonce officielle. Il serait donc maintenant possible de pirater les décisions judiciaires !

C’est un sale coup pour le P2P. TPB va faire appel et préparer une nouvelle défense. Affaire à suivre donc…

Plus d’informations sur thepiratebay.org.

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ANTS On y est ! La loi HADOPI est en train de voir le jour dans toute la fureur de ses articles dont le plus controversé permet de couper la connexion Internet du fauteur.

Nous en avions déjà parlé et j’avais personnellement émis un doute sur la faisabilité et la fiabilité de la cyber-surveillance qui serait mise en place et cela pour plusieurs raisons :

– le possible piratage de connexion,
– l’existence de moyens logiciels pour masquer la fameuse adresse IP,
– l’utilisation d’un VPN (réseau privé virtuel) qui sécurise au maximum toutes les entrées et sorties de l’ordinateur sans laisser de trace après utilisation,
– etc…

J’avais également évoqué la possibilité de crypter les données pour tromper les robots de surveillance, en masquant la signature numérique d’une œuvre. Il faut croire que l’idée fait partie des meilleures possibilités car un nouveau logiciel P2P vient de sortir en version bêta. Il utilise ce concept.

Il s’agit de ANTS qui, selon son auteur, constitue la 3ème génération de logiciel P2P. Il protège complètement l’intimité de l’ordinateur en cachant l’IP et en cryptant ses entrées et sorties.

Afin de ne pas compromettre l’avenir du blog (cf. Affaire Sébastien B.), je ne vais pas aller plus loin dans l’analyse de ce logiciel. De toute façon, il va en fleurir un bon nombre dans les mois qui viennent.

Bien évidemment avec HADOPI, ce sont surtout les français qui seront les plus assidus à l’utilisation de ces logiciels parades.

Allez donc faire un tour sur antsp2p.sourceforge.net.

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Last.fm Il semble que les sociétés qui gèrent le recouvrement des droits d’auteurs ne savent plus de quel côté diriger leurs canons. La dernière victime en date est last.fm. Cette webradio, vouée à l’actualité musicale, se voit contrainte, sans doute sous la pression, de faire payer un abonnement à tous les internautes étrangers aux USA, Royaume-uni et Allemagne.

Officiellement et selon Wikipedia, l’abonnement est motivé par un accès sans pub entouré d’autres services qui ne sont pas proposés aux internautes non adhérents.

Mais selon le webmagazine 01net.com, cette décision devrait s’appliquer à tous les internautes dès le 30 mars 2009. Il sera alors demandé 3 euros par mois.

Avec ce nouveau système et surtout face à ses concurrents plus souples dans l’écoute des morceaux de musique, last.fm, qui se targuait de réunir plus de 20 millions de visiteurs par jour, devrait rencontrer des difficultés pour maintenir un tel score.

Est-ce la fin des radios libres sur le Net ? Est-on en droit de penser que cette mesure s’étendra sur toutes les webradios ? Les radios hertziennes, qui diffusent en FM, sont-elles menacées ? Sommes-nous en train de vivre le début d’une nouvelle ère du tout payant ?

En attendant, et pour nous français, il reste des webradios qui conservent encore des notions de liberté comme jiwa.fm ou deezer.com pour ne citer que les plus connues.

Via : 01net.com.

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The Pirate Bay Le célèbre site de partage de fichiers torrent The Pirate Bay vient d’annoncer l’ouverture d’un service VPN. C’est un joli pied de nez aux industries culturelles et à tous les gouvernements qui tentent d’imposer une surveillance et un filtrage d’Internet.

Ce service permettra aux internautes d’échanger des fichiers tout en restant anonymes. L’utilisation d’un réseau privé virtuel (VPN) masquera leur adresse IP et encapsulera les données dans un tunnel crypté. Aucune information ne sera stockée sur les serveurs pour éviter les éventuels soucis avec la Justice.

“IPREDator” est un jeu de mots sur le nom de l’équivalent suédois de notre Hadopi français. “IPRED” signifie : Intellectual Property Rights Enforcement Directive.

Mis à part donner un peu d’espoir aux pirates en herbe (que nous somme tous), cette annonce tombe vraiment au bon moment car elle donne un bon coup dans l’aile à HADOPI et à ses futures erreurs judiciaires. Les chasseurs de pirates, qui sont également des scrutateurs de vie privée, ne vont pas avoir la tâche facile avec des échanges par VPN.

Le service devrait coûter 5 euros par mois aux utilisateurs. J’espère que ce n’est pas une blague car il doit démarrer le 1er avril. De toute façon, nous allons voir fleurir les annonces de ce genre dans les mois qui viennent… et c’est tant mieux !

Pour participer dès maintenant à la phase d’essais, rendez-vous sur ipredator.se.

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