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Vous avez sûrement tous entendu parler de la décision de Microsoft qui va arrêter MSN au 1er janvier 2013. Ceci est dû au fait que Microsoft a racheté Skype et, pour ne pas se faire auto-concurrencer, il préfère arrêter MSN et bascule l’ensemble des utilisateurs sur Skype.

Pour passer de Live Messenger (ancien MSN) à Skype, il faudra réaliser quelques manipulations. Voici les étapes pour y arriver :

  1. Il faut d’abord télécharger la dernière version de Skype via ce lien.
  2. Installer le logiciel, en double cliquant sur “SkypeSetup.exe”. Si une fenêtre de confirmation s’ouvre, cliquez sur OK.
  3. L’installation de Skype commence. La langue “Français” est sélectionnée, changez la si besoin, cliquez sur “J’accepte – suivant”.
  4. Si vous n’avez pas sélectionné la version payante de Skype (Skype Premium), décochez la case puis cliquez sur “Continuer”.
  5. Si vous ne souhaitez pas faire de msn.com votre page d’accueil sur Internet, décochez la case “Faire de MSN ma page d’accueil”. Si vous n’envisagez pas d’utiliser Bing comme moteur de recherche, décochez la case “Faire de Bing mon moteur de recherche”. Puis cliquez sur “Continuer”.
  6. L’installation est terminée, Skype s’ouvre. Pour vous connecter avec votre compte MSN, cliquez sur “Compte Microsoft” pour saisissez votre adresse MSN et votre mot de passe MSN. Puis, cliquez sur “Se connecter”.

Une fois sur le logiciel, (au moment où je l’ai testé) vous ne pourrez pas converser avec ceux qui sont restés sur MSN, il faut demander à tous vos contacts de basculer.

Source : Arrêt de MSN : Les Chroniques d’Eric.

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La Fondation Mozilla présente un nouveau projet baptisé Mozaic, qui propose de repenser le mécanisme de gestion des favoris.

Comment sauvegarder une page web pour la rendre disponible par la suite ? Telle est la question que Mozilla souhaite réexaminer. Pour ce faire, les ingénieurs ont passé au crible les différentes solutions qui existent actuellement, comme Readable, Pinterest ou Tumblr, lesquelles présentent une approche différentes des traditionnels favoris.

Pour la fondation, le but est donc de repenser les systèmes existants, déjà implémentés au sein du navigateur Firefox, et plus particulièrement l’historique de navigation, ainsi que la fonctionnalité Tab Groups.

Christopher Lee, designer chez Mozilla, explique que les mécanismes actuels ne seraient pas satisfaisants à plusieurs niveaux. D’une part certains internautes seraient plus à l’aise avec une représentation graphique de leurs favoris. D’autre part le gestionnaire de favoris s’ouvre actuellement au sein d’une nouvelle fenêtre et ne serait pas mis en valeur dans l’interface utilisateur. Mr Lee ajoute que la conception du gestionnaire encourage par ailleurs une hiérarchie par dossier et sous-dossiers peu pratique.

Mozaic est divisé en trois sections : les favoris, les groupes d’onglets ainsi que l’historique. Christopher Lee explique que l’interface s’inspire de celle du logiciel iTunes pour les affichages des albums. Ainsi les sites Internet ajoutés à Mozaic pourront être affichés sous la forme de vignettes ou d’une simple liste avec un panneau de prévisualisation sur la droite listant les informations relatives à chaque lien (vignette, date, dossier, mot-clé…).

Mozaic est actuellement publié en version expérimentale au sein du répertoire GitHub. A terme, Mozilla pourrait décider de l’implémenter par défaut dans une prochaine version de Firefox.

Pour l’installer, rendez vous sur le github et téléchargez le fichier xpi. Une fois téléchargé, allez dans “Outils > Modules complémentaires”. Cliquez sur la roue dentée et sélectionnez le fichier xpi.

Une fois installée, un lien va apparaître dans le menu Marque-pages :

Source : Clubic.com.

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Généalogie

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Jusqu’à il y a quelques années, mes lointains ancêtres ne m’intéressaient pas vraiment. J’avais bien essayé de “cartographier” la famille proche sur un vulgaire tableau Excel mais je n’étais pas allé plus loin. Je trouvais ça abominablement chronophage (je me souviens d’un collègue qui prenait tous ses vendredis pour aller consulter des microfilms en salle de lecture aux Archives Départementales, affreux !) et inutile.

Et puis c’est comme tout, le temps passe, on vieillit et on change. Les événements de la vie nous conduisent souvent à revoir nos positions sur certaines choses. C’est malheureusement parfois dans des circonstances dramatiques que ça se produit. Pour moi, c’est au décès du fils d’un de mes cousins, emporté en 2 mois par une saloperie de cancer foudroyant. A peine 20 ans et toute la vie devant lui. C’est donc à cette occasion que j’ai voulu montrer à mes fils qui était ce “Julien” dont ils entendaient beaucoup parler mais qu’ils n’avaient jamais rencontré.

J’ai rouvert mon vieux fichier Excel tout poussiéreux et je me suis aperçu que le travail entrepris des années auparavant n’avait aucune utilité : fait à la va-vite, ne contenant que les ascendants directs, aucune date, fichier plus mis à jour depuis des lustres, etc. Bref, le néant total direction poubelle, et on reprend tout à zéro.

Je vous propose dans ce billet quelques pistes pour vous mettre le pied à l’étrier. Il ne s’agit-là que d’un point de vue personnel basé sur mon expérience, il ne faut donc pas prendre ça comme référence universelle…

  • Collecter un maximum d’informations dans l’entourage

Grâce au livret de famille pour commencer, mais aussi en passant les “anciens” à la question, tant qu’ils sont toujours là et que leur mémoire est encore opérationnelle. Il est indispensable de remonter au moins jusqu’au début du 20ème siècle, au-delà (avant 1905, en gros) ce sont les archives numérisées qui prendront le relais. Pourquoi 1905 me direz-vous ? Tout simplement parce que la majorité des départements qui permettent d’accéder aux archives “en ligne” ne proposent actuellement pas d’informations plus récentes. La loi a pourtant évolué en 2008, fixant à 75 ans le délai de “confidentialité” initialement à 100 ans ; nous devrions donc pouvoir accéder aux informations (actes de naissance et de mariage) jusqu’en 1937 mais il n’en est rien dans la réalité. S’agissant des actes de décès, ils devraient être tous consultables sans délai ; c’est en principe le cas en mairie mais pas en ligne, dommage. En ce qui concerne les informations à récupérer : nom, prénoms, date et lieux de naissance/mariage/décès, et si possible aussi les photos.

  • Explorer les archives numérisées

Si comme moi vous avez la chance que votre famille ait ses racines dans un département qui propose la consultation en ligne (liste accessible ici), vous pouvez vous frotter les mains, mettre des sous de côté pour acheter un bon écran et prendre rendez-vous chez l’ophtalmo car vos yeux vont être mis à rude épreuve ! Méthode :

– Vous connaissez précisément la date et le lieu d’un événement (naissance, mariage, décès). Rendez-vous sur le site des archives du département concerné. En général, les sites permettent de sélectionner la commune et la période recherchée. La liste des documents numérisés correspondants est alors proposée. En cliquant sur le lien, une nouvelle fenêtre s’ouvre et affiche (via une appli en Flash le plus souvent) le contenu numérisé. Vous pouvez la plupart du temps zoomer, modifier la luminosité et le contraste, faire des rotations, changer de page… certains sites proposent en plus de récupérer un “permalink” que vous pourrez réutiliser pour retrouver rapidement l’acte en question. Au départ je me contentais de noter la référence du document avec le n° de la page, à présent je récupère carrément l’image de l’acte (simple copie d’écran par exemple). Histoire de pouvoir le consulter à nouveau si besoin, même sans accès à Internet. Et puis aussi parce que je me dis que ces documents ne seront peut-être pas accessibles indéfiniment

– Vous avez une vague idée de la date. Si elles sont disponibles, explorez les tables décennales à la recherche de l’événement souhaité et, une fois trouvé, cherchez l’acte dans le registre correspondant. En l’absence de tables décennales, armez-vous de patience et consulter le ou les registres. Je ne sais pas si la méthode est bonne, mais moi je commence les recherches par la fin du registre.

– Vous n’avez aucune idée de la date et ou du lieu. A moins que cet événement ne soit capital pour la suite de vos recherches, laissez-le tomber. Peut-être qu’en explorant d’autres individus ou événements vous glanerez de nouveaux éléments. Mieux vaut ne pas rester trop longtemps bloqué sur une même recherche sinon vous allez vous user, vous dégoûter… Maintenant, si vous êtes patients, vous pouvez aussi faire des recherches dans les recensements qui représentent une source très intéressante car regroupant diverses informations (date de naissance ou âge, métier, parfois le lieu de naissance, etc.) sur plusieurs individus en même temps. Attention : ces recensements étaient réalisés tous les 5 ans environ, on peut donc “louper” des personnes (enfants morts jeunes, par exemple)…

  • Principaux documents numérisés

– Les registres paroissiaux ou BMS (baptêmes, mariages, sépultures) tenus par les églises jusqu’en 1792.
– Les registres d’état civil ou NMD (naissances, mariages, décès) à partir de fin 1792.
– Les tables décennales, offrant un index des événements de la décennie. Elles existent depuis 1802 environ et complètent les tables annuelles incluses dans les registres.
– Les listes de recensement de la population.

  • Attention

A l’occasion de vos recherches vous vous rendrez compte que les registres sont loin d’être exempts d’erreurs : on y trouve parfois des fautes dans les noms (que nos ancêtres ne savaient parfois pas écrire eux-mêmes), les dates (date de naissance différente entre l’acte de naissance et l’acte de décès), les lieux. Sans parler des pages détériorées ou manquantes, des tables récapitulatives “oubliant” de mentionner certains événements, etc. Les officiers d’état civils et les curés de l’époque étaient loin d’être parfaits et n’avaient pas forcément à l’esprit que leur mission paperassière aurait une telle importance aux yeux des générations futures. Et puis parfois ils devaient abuser un peu sur le “jaja”, car la rédaction de certains actes peut laisser supposer que leur rédacteur n’était pas dans son état normal !

  • Chercher dans les généalogies existantes

Les sites de partage de généalogie sont nombreux. La plupart requièrent de s’inscrire, beaucoup sont payants. Je ne les listerai pas tous, uniquement ceux que je fréquente :

Geneanet.org : après inscription (gratuite), on peut consulter les arbres et contacter leur auteur gratuitement. L’accès à certaines informations (actes) peut être payant ou réservé aux membres ayant souscrit à un abonnement payant.

Mes-arbres.net (site du CDIP, éditeur de l’outil Généatique) : sans inscription, la consultation des arbres est gratuite et on peut contacter les autres utilisateurs gratuitement. Le site permet aussi de créer gratuitement son arbre en ligne, manuellement, via import au format Gedcom, ou directement exporté depuis l’outil maison Généatique.

Planete-genealogie.fr (site de BSD Concept, éditeur de l’outil Heredis) : sans inscription, la consultation des arbres est gratuite et on peut contacter les autres utilisateurs gratuitement ! Le site ne permet pas de créer son arbre manuellement, cette opération passe par un outil associé à Heredis mais qui peut aussi être téléchargé gratuitement et associé à n’importe quel autre outil de généalogie.

Cybergenealogie.fr : après inscription (gratuite), on peut télécharger les fichiers Gedcom des autres utilisateurs référençant un patronyme recherché. Très pratique pour récupérer des branches communes complètes sans avoir à les re-saisir, ce qui est potentiellement source d’erreur.

  • Stocker les informations collectées

Récupérer des données c’est une chose, mais pour en faire quoi ? Les stocker sur de vulgaires post-it, dans un beau carnet à petits carreaux ou encore dans un fichier Excel ? Non, ce n’est pas sérieux ! L’intérêt de ces recherches est de mieux connaître ses racines. A force de les parcourir, le généalogiste y parvient rapidement, mais quid des autres ? Car après tout, ce n’est généralement pas que pour soi-même que l’on entreprend ce genre de recherches, c’est aussi pour toute la famille. Et rien ne vaut un bel arbre stylisé avec des photos pour susciter l’intérêt et montrer les choses sous une forme assez concrète… D’accord, il est toujours possible de faire ça à la main, avec une règle, une plume et un encrier, mais n’est-ce pas plus simple avec un outil informatique digne de ce nom ? Surtout si l’arbre est voué à régulièrement s’enrichir tant vers le bas (la descendance) que vers le haut (l’ascendance).

Je me suis donc mis en quête d’un outil permettant de saisir facilement les individus, les accompagner de photos, pouvoir éditer de jolis arbres, gérer les “branches”. Sans être aussi exploité que les jeux ou la bureautique, la généalogie n’est pour autant pas oubliée par les éditeurs. Encore faut-il trouver le “bon” produit à un prix raisonnable et correspondant au besoin qui est le nôtre. Là encore, je ne vais pas lister tous les produits, uniquement ceux que j’ai eu l’occasion de tester.

Heredis (édité par BSD Concept) : puissant et simple d’utilisation. Permet d’éditer de jolis arbres, des livres illustrés rédigés automatiquement racontant l’histoire familiale en parallèle avec les grands événements de l’histoire de France, les grandes inventions, etc. Associé à l’outil Planete-Genealogie fourni, il est possible de publier sa généalogie sur le net (site Planete-Genealogie.fr).
Tarifs, à titre indicatif : gratuit pour la version PC démo limitée à 50 individus, 39.90€ pour la version PC standard (« bleue »), 99.90€ pour la version PC complète (« 13 PRO »), gratuit pour la version iPhone/iPad et 59.90€ pour la version MAC.

Généatique (édité par CDIP) : très puissant, très configurable, plus complexe (limite un peu « brouillon ») à utiliser qu’Heredis, mais offre beaucoup plus de formats d’arbres que ce dernier.
Tarifs, à titre indicatif : gratuit pour la version découverte limitée à 50 individus, 24.95€ pour la version limitée à 500 individus (« Classique 500 »), 84.95€ pour la version limitée à 1500 individus (« Classique 1500 ») et 129.90€ pour la version complète (« Prestige »). Appli à télécharger, mais moyennant entre 15 et 20€ supplémentaires, il est possible d’acquérir le produit en « coffret ».

FamilyTreeBuilder (édité par MyHeritage) : Petit, assez pratique à utiliser, mais requiert la création d’un compte, même si l’on ne souhaite pas utiliser la fonctionnalité de sauvegarde en ligne/publication de l’arbre sur le site de MyHeritage. Vous noterez au passage que j’ai volontairement omis de parler de ce site un peu plus haut (rubrique « Chercher dans les généalogies existantes ») car la consultation des arbres est soumise à un abonnement payant. Dommage, ce d’autant qu’il me semble que cela n’a pas toujours été le cas. Une dernière chose : contrairement aux deux précédents outils, celui-ci ne reconnaît pas les dates du calendrier républicain, il faut donc les convertir en dates du calendrier grégorien (à l’aide de ce site, par exemple).
Tarif : gratuit et sans limitation du nombre d’individus. Pas mal du tout pour débuter.

  • Outils de création d’arbres “en ligne” :

Geneanet.org : gratuit.

Mes-arbres.net : gratuit.

MyHeritage.fr : gratuit jusqu’à 250 individus.

Voilà, j’espère que ce petit billet vous aura donné l’envie de consacrer un peu de temps à retrouver vos racines !

Si vous connaissez d’autres combines, sites ou logiciels qui permettent au généalogistes en herbe (ou aux pros) d’avancer dans leurs recherches, n’hésitez pas les signaler dans les commentaires de ce billet.

Ce billet plutôt conséquent a été rédigé par Damien. C’est vraiment du beau boulot !

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Vous connaissez sûrement ces flashcodes (appelés également QRcode) qui apparaissent un peu partout sur les magazines, dans les publicités, et maintenant sur certains sites Web.

Mais, si vous n’avez pas d’application adéquate pour lire ces flashcodes sur votre smartphone, vous ne pouvez rien en faire.

Pour faire ce boulot, je vous ai déniché QuickMark QR Code Reader. Cette application gratuite permet de lire les flashcodes sur une page Web, sur une page scannée, depuis votre PC. Elle permet également de transformer votre webcam en lecteur de flashcodes.

Pour vous présenter Quickmark, voici une vidéo (en anglais) :

Cette application est disponible pour smartphones, Windows, Mac et Chrome.

Vous pouvez télécharger le logiciel directement sur quickmark.com.

Enfin je terminerai cet article en vous proposant quelques liens pour créer des flashcodes :

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En tant qu’étudiant en Informatique, je suis toujours accompagné de ma clé USB qui contient mes cours, mes travaux pratiques, des documents importants…

Je n’ose même pas imaginer les dégâts occasionnés par la perte ou une défaillance de cette dernière après seulement quelques semaines de cours. C’est pourquoi je me suis mis à chercher un moyen de la sauvegarder régulièrement, et j’ai trouvé mon bonheur que j’aimerai vous faire partager.

J’ai donc l’honneur de vous présenter BackUpAnyWhere, que je traduirai vulgairement par “Sauvegarder n’importe où”.

Cet utilitaire développé par CodePlex mais abandonné depuis 2010 fonctionne à merveille et voici d’ailleurs quelques explications concernant son fonctionnement :

Étape n°1 : téléchargez BackUpAnyWhere sur le site du développeur.

Étape n°2 : placez le programme sur votre support amovible (clé USB ou disque dur, mais préférez des petites tailles pour une question de rapidité).

Étape n°3 : exécutez le programme BackUpAnyWhere.exe et pour le premier lancement, il va vous demander de lui indiquer un répertoire où il devra effectuer ses sauvegardes.

Cliquez donc sur “Set directory” et choisissez un répertoire cible. Ceci étant fait vous pouvez cliquer sur “Start Backup“.

Cette première étape sera plus ou moins longue selon la quantité de données que contient votre support amovible. Vous l’aurez compris le programme clone votre clé USB sur votre disque dur. Un message vous signifie du bon déroulement de la copie.

Etape n°4 : ça y est ! Votre clé USB est sauvegardée sur votre ordinateur, et vous n’aurez plus qu’à exécuter ce programme et cliquer sur “Start Synchronize” pour que le logiciel mette à jour les modifications.

Notez bien qu’il est possible d’utiliser le programme sur plusieurs ordinateurs à la fois et, pour les curieux, cela est géré par le fichier BackUpAnyWhere.ini que vous pouvez visionner avec le bloc-notes.

Il existe aussi un mode “automatique” mais qui, pour moi et dans le but de sauvegarder mes données en cas de bêtises, ne serait pas à mon avantage.

Petite astuce : vous aurez peut-être remarqué que votre clé USB possède désormais une icône à l’image du logiciel mais qui n’est pas des plus esthétiques. Pour la retirer, rendez-vous dans autorun.inf et supprimez la ligne icon=BackUpAnyWhere.exe,0.

Je vous conseille également, dans un soucis esthétique, de cacher les fichiers BackUpAnyWhere.ini et autorun.inf en effectuant un clic droit dessus, puis en cliquant sur “propriétés” et en cochant la case “caché“.

Sauvegardez votre clé USB partout avec BackUpAnyWhere qui se récupère sur backupanywhere.codeplex.com.

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N’avez vous pas dû acheter des CDs ou DVDs réinscriptibles pour tester un Linux, ou graver l’image disque d’une installation quelconque ?

UNetBootIn est un logiciel opensource qui vous permet de transformer une image disque bootable en clé USB bootable.

Pour cela, il est nécessaire d’avoir une clé USB, avec assez d’espace et d’utiliser le logiciel en question. Indiquez l’image disque et laissez le travailler !

Le plus de cette application est qu’elle peut se charger de tout. Sélectionnez le système qui vous intéresse à partir d’une liste déroulante (qui comporte essentiellement des Linux). Le programme prépare votre clé USB automatiquement, c’est à dire qu’il télécharge l’image disque et organise tout sur la clé.

Cette application est gratuite. Elle est disponible sous Windows, Mac et Linux à partir de ce lien : unetbootin.sourceforge.net.

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Dans la continuité de mon article sur le “leap” pour iMac, il existe un logiciel qui fonctionne sur le principe du Eye Toy Play, et qui permet de jouer sur son PC avec sa webcam, comme sur une Wii avec sa télécommande. Ce logiciel est CamSpace édité par Cam-Trax.

Pour pouvoir jouer, il vous suffit d’un PC, d’un écran, d’une webcam et de vous munir d’objets du quotidien, comme une bouteille, une assiette, un fruit… Vous pouvez également fabriquer vos propres manettes, avec du carton par exemple.

Le principe : le logiciel détecte la forme de votre “manette maison” et associe des mouvements à des actions sur votre PC.

Une fois paramétrée, il ne vous reste plus qu’à jouer en utilisant les objets. Ce qui est amusant avec ce système, c’est que n’importe quoi peut devenir une manette. Avec des jeux adaptés, tout le monde peut s’éclater, du plus jeune au plus âgé.

Enfin, voici une vidéo qui vous montre plusieurs possibilités :

CamSpace est entièrement gratuit et disponible sur cam-trax.com.

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Comme mon smartphone commence à être dépassé, il met de plus en plus de temps à ouvrir les applications, qui sont elles programmées pour tourner avec des mobiles de plus en plus puissants. Du coup, je me sers moins de mon vieux HTC Magic et je n’ai plus d’inspiration pour vous présenter les applications Android qui vont bien.

Il va donc falloir que je franchisse le pas et que j’investisse dans ce fameux Galaxy S3 qui me redonnera, j’en suis certain, le goût à utiliser un smartphone.

Toutefois, il y a quelques jours, il a fallu que j’ouvre et que je modifie rapidement un document Word sur mon téléphone. Jusque là, je galérais pas mal pour éditer des fichier créés avec la suite Office de Microsoft et j’avais même fini par acheter “Documents to Go” de DataViz. Mais il y a quelques jours, pas de chance, plus rien ne fonctionnait (un problème de licence), comme par hasard quand j’en avais besoin !

Je me suis donc rabattu sur un logiciel que je ne connaissais pas et j’ai été surpris par l’efficacité de la bête. Kingsoft Office est une suite qui comprend trois logiciels : un pour ouvrir des documents textes (comme Word), un pour les feuilles de calcul (un genre d’Excel) et un dernier pour créer des documents de présentation (à la PowerPoint).

Contrairement aux autres applications gratuites que j’avais toutes testées, avant de me rabattre sur “Documents to Go”, Kingsoft Office fait son boulot et ouvre les fichiers dont on a besoin. Il m’a sauvé la mise ce jour là et aura le droit de siéger dans mon Ice Cream Sandwich, enfin dès que j’aurai investi.

Je n’ai pas encore exploré totalement les possibilités de ces 3 applications, et notamment les macros et les graphiques sous Excel. Je voulais simplement partager avec vous cette trouvaille des plus pratique.

Enfin je terminerai en vous indiquant qu’il existe une version Windows de Kingsoft Office, gratuite également. Je ne sais pas si cette suite arrive à la cheville de la suite de Microsoft ou d’OpenOffice mais elle mérite d’être installée et d’être testée, ce que je ferai sans doute dans les jours qui viennent…

Téléchargez gratuitement Kingsoft Office sur : kingsoftstore.fr.

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TuneIn est un site Internet, et son logiciel apparenté, qui va en intéresser plus d’un. En effet, cette application permet d’écouter gratuitement la radio sur Internet.

Elle regroupe pas moins de 50 000 stations locales (ou non) et podcasts en tous genres. Vous y trouverez également des débats et des émissions.

Le logiciel décliné pour la majorité des systèmes d’exploitation, notamment sur tous vos mobiles préférés qui tournent sous Android, iOS (Apple), Windows Phone, Blackberry, Palm, Samsung, Bada… Le mobile utilisera soit la connexion Wifi, soit la connexion 3G pour ce faire fonctionner ce programme.

TuneIn est particulièrement intégré aux mobiles. Il affiche la radio ainsi que la chanson en cours d’écoute et ce, même sur l’écran d’accueil, en tâche de fond. Une fois le GSM verrouillé, vous pourrez aussi modifier le volume de TuneIn à l’aide des touches volume du téléphone.

Effectuez une recherche de station par genre, pays, artiste, titre de chanson, et TuneIn vous trouvera la station à écouter. La possibilité de régler le “buffer” (mémoire tampon) sur 30 secondes permet d’éviter les coupures dues aux fluctuations du réseau.

Une fonction réveil est aussi présente pour les plus mélomanes d’entre vous !

L’inscription n’est pas obligatoire mais s’avère tout de même plus pratique afin de récupérer vos radios favorites. La version “pro” permet d’enregistrer ce que l’on écoute et coût 0.70 € sur le PlayStore (Android).

Ce logiciel bien pratique est disponible sur tunein.com.

Un grand merci à Dridric qui nous a proposé ce billet très complet.

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J’allais justement lancer quelques recherches sur la Toile pour me dégoter une application Android pour suivre les résultats des JO de Londres, lorsque je suis tombé sur un article de onsoftware.softonic.fr.

Il propose 10 applications pour suivre les Jeux Olympiques directement sur son smartphone.

Comme ces petits logiciels sont très bien décrits dans le billet en question, je ne vais pas m’amuser à en refaire les descriptions. Je vais me contenter de vous proposer les applications qui me paraissent indispensables et des liens vers leurs versions Android et iPhone.

C’est parti :

Avec ces applications, vous allez pouvoir suivre les JO, tout en restant allongé sur votre serviette, les bouts des pieds dans l’eau…

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