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Astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir !

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minecraft_logoÉtant un passionné de jeux vidéo, je ne pouvais passer à côté de Minecraft. Jusque là, les graphismes épurés (voire même très épurés) de ce jeu m’avaient toujours rebutés et mon expérience d’aventurier s’était contentée d’un simple atterrissage dans le jeu, suivi d’une désinstallation avant d’aller vomir (oui, je suis assez sensible à la qualité graphique :wink: ).

Mais il ne faut jamais dire “jamais” et, sous l’insistance de copains joueurs, j’ai réinstallé le jeu, j’ai ajouté un pack qui améliore les textures et j’ai plongé

Pour ceux qui ne connaissent pas, Minecraft est un jeu aux multiples facettes, ce qui fait que tout le monde peut y trouver son bonheur. Comme je suis fainéant, un petit tour sur Wikipedia pour présenter le jeu :

Minecraft est un jeu vidéo indépendant de type Bac à sable (construction complètement libre) développé par Markus Persson, plus connu sous le pseudonyme de Notch par la communauté. Il reste toujours en développement et reçoit régulièrement des mises à jour.

Donc effectivement, Minecraft est un jeu de construction où il est possible d’interagir avec l’environnement afin de le faire évoluer et de le transformer à sa convenance.

Personnellement, je suis fan du mode de jeu “survie” où l’on débarque tout nu dans un univers “vierge” et où il faut se fabriquer ses outils, trouver de la nourriture, construire sa maison… Bref tout ce qu’il faut pour ne pas se faire croquer par les monstres qui apparaissent la nuit.

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Comme pour tous les jeux, Minecraft est encore plus rigolo à plusieurs. C’est pour cela que j’ai rapidement transformé mes parties solo en parties multijoueurs.

Je vais vous proposer deux façons d’héberger une partie multijoueurs. Il y a cependant quelques pré-requis à respecter :

  • les joueurs doivent avoir la même version du client du jeu,
  • le firewall de l’ordinateur hôte doit laisser passer le jeu.

1. Transformer une partie solo en partie multi :

Pour cela, c’est très simple : une fois la partie solo lancée, vous cliquez sur “Echap” et vous sélectionnez “ouvrir au réseau local“. Le numéro de port apparaît. Il suffit d’ajouter devant l’adresse IP de votre machine. Vous obtenez un truc du type : 86.12.35.64:51716 (adresse imaginaire). Il suffit de donner cette adresse à ceux qui veulent vous rejoindre et c’est parti.

2. Créer un serveur dédié chez soi.

Lorsque je partage une partie solo, j’ai remarqué que plus il y a avait de joueurs et plus mon ordinateur ramait. Du coup, comme j’ai plusieurs ordinateurs sous la main, j’en ai dédié un spécifiquement pour faire tourner un petit serveur Minecraft sans prétention. Je me suis tourné vers un serveur Bukkit et plus précisément vers BukkitGUI qui possède une interface graphique très pratique. Pour faire très simple :

  • vous téléchargez BukkitGUI sur dev.bukkit.org
  • vous récupérez un fichier “.jar” sur dl.bukkit.org (personnellement je prends le dernier “beta build”)
  • vous lancez BukkitGUI et vous vous rendez sur l’onglet “Options du lanceur”
  • vous indiquez au programme où se trouve le fichier”.jar” dans votre ordinateur
  • vous lancez le serveur avec “Démarrer”.

Il suffit alors de donner votre adresse IP suivi du numéro de port (25565 par défaut il me semble) à tous ceux qui veulent vous rejoindre. L’intérêt d’utiliser une solution Bukkit réside dans la quantité de plugins qu’il est possible d’ajouter très facilement à votre serveur afin de customiser.

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Notez que cette solution du serveur que l’on créé chez soi n’est pas la panacée. L’idéal serait de monter un véritable serveur dédié hébergé en ligne sur un ordinateur puissant qui serait doté d’une bonne borne passante. Personnellement, je trouve que cette solution conviendra très bien à tous ceux qui veulent débuter sur Minecraft sans se prendre la tête, et tout en maîtrisant pas mal de paramètres.

Pour conclure, je dirai que je sais bien que vous êtes déjà très nombreux à jouer à Minecraft et que la majorité d’entre vous doit déjà connaître parfaitement le fonctionnement d’un serveur Minecraft. J’ai écrit ce billet pour les autres, afin de leur éviter de passer trop de temps à chercher comment monter un serveur d’appoint. N’hésitez pas à compléter mon propos dans les commentaires de ce billet.

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qrcode_espacerezoPas trop envie de bosser “pour de vrai” aujourd’hui… J’ai donc eu envie de glander un peu et de rédiger ce petit billet pour EspaceRezo.

Bref, je ne sais même plus pour quelle raison je me suis mis en quête d’un générateur de QR Codes “esthétiques”, histoire de changer de ceux que l’on voit partout, monochromes et taillés bien au carré.

Hé bien figurez-vous qu’il n’y en a pas des tonnes en fait. Je n’en ai trouvé qu’une petite poignée et encore moins de vraiment gratuits et sans redirection/tracker (système qui permet de ne pas inclure les données directement dans le QR Code mais de passer par le site qui l’a généré).

A noter que le “tracker” permet de modifier les données sans avoir à refaire/distribuer un nouveau QR Code et d’accéder également à des statistiques d’utilisation. En contrepartie, il faudra généralement créer un compte (parfois payant) pour bénéficier de ces deux fonctionnalités.

Le résultat de ma “pêche” :

Unitag : mon favori. Il permet de créer pas mal de types de QR Codes (url, texte, carte de visite, n° de téléphone, envoi de mail, envoi de sms, géolocalisation, rendez-vous, configuration accès réseau wifi), de choisir les couleurs, les formes des points et des yeux (c’est le nom des 3 repères), d’insérer un logo… Le tout gratuitement, sauf si l’on veut créer un QR Code type URL avec tracker.

Visualead : probablement celui qui crée les plus beaux QR Codes, mais je n’aime pas le fait que le QR Code créé ne contienne pas mes données. Ça passe systématiquement par une “redirection maison“. Du coup, quand vous “flashez” un QR Code créé par ce site, vous ne voyez pas quelle est la véritable URL cible. Ça ne met pas en confiance.

qrcode_espacerezo_2

QRPhoria : beaucoup moins puissant et moins esthétique que les 2 précédents, mais beaucoup mieux que les simples QR Codes habituels. Dommage que là encore ça passe systématiquement par une redirection, les données n’étant pas intégrées à l’image.

QRCode.littleidiot.be : là on tombe dans les outils de base… Celui-ci offre quand même la possibilité de générer différents types de QR Codes (url, n° de téléphone, adresse mail, carte de visite et config wifi) et propose d’en personnaliser les couleurs. C’est tout, mais ça le fait en intégrant les données saisies dans le code, pas via une redirection.

Voilà pour ma petite contribution. J’espère que le sujet vous intéressera…

Un billet envoyé par Damien. Et pour tous ceux qui n’ont jamais entendu parler de QR Codes, un petit lien vers Wikipedia.

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La Fondation Mozilla présente un nouveau projet baptisé Mozaic, qui propose de repenser le mécanisme de gestion des favoris.

Comment sauvegarder une page web pour la rendre disponible par la suite ? Telle est la question que Mozilla souhaite réexaminer. Pour ce faire, les ingénieurs ont passé au crible les différentes solutions qui existent actuellement, comme Readable, Pinterest ou Tumblr, lesquelles présentent une approche différentes des traditionnels favoris.

Pour la fondation, le but est donc de repenser les systèmes existants, déjà implémentés au sein du navigateur Firefox, et plus particulièrement l’historique de navigation, ainsi que la fonctionnalité Tab Groups.

Christopher Lee, designer chez Mozilla, explique que les mécanismes actuels ne seraient pas satisfaisants à plusieurs niveaux. D’une part certains internautes seraient plus à l’aise avec une représentation graphique de leurs favoris. D’autre part le gestionnaire de favoris s’ouvre actuellement au sein d’une nouvelle fenêtre et ne serait pas mis en valeur dans l’interface utilisateur. Mr Lee ajoute que la conception du gestionnaire encourage par ailleurs une hiérarchie par dossier et sous-dossiers peu pratique.

Mozaic est divisé en trois sections : les favoris, les groupes d’onglets ainsi que l’historique. Christopher Lee explique que l’interface s’inspire de celle du logiciel iTunes pour les affichages des albums. Ainsi les sites Internet ajoutés à Mozaic pourront être affichés sous la forme de vignettes ou d’une simple liste avec un panneau de prévisualisation sur la droite listant les informations relatives à chaque lien (vignette, date, dossier, mot-clé…).

Mozaic est actuellement publié en version expérimentale au sein du répertoire GitHub. A terme, Mozilla pourrait décider de l’implémenter par défaut dans une prochaine version de Firefox.

Pour l’installer, rendez vous sur le github et téléchargez le fichier xpi. Une fois téléchargé, allez dans “Outils > Modules complémentaires”. Cliquez sur la roue dentée et sélectionnez le fichier xpi.

Une fois installée, un lien va apparaître dans le menu Marque-pages :

Source : Clubic.com.

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Qui ne s’est jamais retrouvé face à un texte, ou plutôt un torchon, écrit par un réfractaire à notre bonne vieille orthographe ?

Avec le langage SMS cela arrive de plus en plus souvent, et pas uniquement sur nos téléphones portables. Les forums, jeux en lignes, commentaires de site… en pâtissent également.

J’ai découvert il y a peu, posté par un joueur en ligne, le site traducteur-sms.com qui se charge de retranscrire un texte SMS en français. Je ne vous cacherai pas que le français reste assez approximatif mais c’est toujours mieux qu’en abrégé.

Voici d’ailleurs un petit exemple pour vous donner un aperçu de ce que cela donne :

Bon, c’est un peu moins pratique que le cahier qui traduit directement un texte lorsque l’on écrit dessus, que l’on trouvait dans une publicité originale pour Clairefontaine.

Transformez du SMS en français avec traducteur-sms.com.

Billet proposé par RSPilou et envoyé par mail.

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Jusqu’à il y a quelques années, mes lointains ancêtres ne m’intéressaient pas vraiment. J’avais bien essayé de “cartographier” la famille proche sur un vulgaire tableau Excel mais je n’étais pas allé plus loin. Je trouvais ça abominablement chronophage (je me souviens d’un collègue qui prenait tous ses vendredis pour aller consulter des microfilms en salle de lecture aux Archives Départementales, affreux !) et inutile.

Et puis c’est comme tout, le temps passe, on vieillit et on change. Les événements de la vie nous conduisent souvent à revoir nos positions sur certaines choses. C’est malheureusement parfois dans des circonstances dramatiques que ça se produit. Pour moi, c’est au décès du fils d’un de mes cousins, emporté en 2 mois par une saloperie de cancer foudroyant. A peine 20 ans et toute la vie devant lui. C’est donc à cette occasion que j’ai voulu montrer à mes fils qui était ce “Julien” dont ils entendaient beaucoup parler mais qu’ils n’avaient jamais rencontré.

J’ai rouvert mon vieux fichier Excel tout poussiéreux et je me suis aperçu que le travail entrepris des années auparavant n’avait aucune utilité : fait à la va-vite, ne contenant que les ascendants directs, aucune date, fichier plus mis à jour depuis des lustres, etc. Bref, le néant total direction poubelle, et on reprend tout à zéro.

Je vous propose dans ce billet quelques pistes pour vous mettre le pied à l’étrier. Il ne s’agit-là que d’un point de vue personnel basé sur mon expérience, il ne faut donc pas prendre ça comme référence universelle…

  • Collecter un maximum d’informations dans l’entourage

Grâce au livret de famille pour commencer, mais aussi en passant les “anciens” à la question, tant qu’ils sont toujours là et que leur mémoire est encore opérationnelle. Il est indispensable de remonter au moins jusqu’au début du 20ème siècle, au-delà (avant 1905, en gros) ce sont les archives numérisées qui prendront le relais. Pourquoi 1905 me direz-vous ? Tout simplement parce que la majorité des départements qui permettent d’accéder aux archives “en ligne” ne proposent actuellement pas d’informations plus récentes. La loi a pourtant évolué en 2008, fixant à 75 ans le délai de “confidentialité” initialement à 100 ans ; nous devrions donc pouvoir accéder aux informations (actes de naissance et de mariage) jusqu’en 1937 mais il n’en est rien dans la réalité. S’agissant des actes de décès, ils devraient être tous consultables sans délai ; c’est en principe le cas en mairie mais pas en ligne, dommage. En ce qui concerne les informations à récupérer : nom, prénoms, date et lieux de naissance/mariage/décès, et si possible aussi les photos.

  • Explorer les archives numérisées

Si comme moi vous avez la chance que votre famille ait ses racines dans un département qui propose la consultation en ligne (liste accessible ici), vous pouvez vous frotter les mains, mettre des sous de côté pour acheter un bon écran et prendre rendez-vous chez l’ophtalmo car vos yeux vont être mis à rude épreuve ! Méthode :

– Vous connaissez précisément la date et le lieu d’un événement (naissance, mariage, décès). Rendez-vous sur le site des archives du département concerné. En général, les sites permettent de sélectionner la commune et la période recherchée. La liste des documents numérisés correspondants est alors proposée. En cliquant sur le lien, une nouvelle fenêtre s’ouvre et affiche (via une appli en Flash le plus souvent) le contenu numérisé. Vous pouvez la plupart du temps zoomer, modifier la luminosité et le contraste, faire des rotations, changer de page… certains sites proposent en plus de récupérer un “permalink” que vous pourrez réutiliser pour retrouver rapidement l’acte en question. Au départ je me contentais de noter la référence du document avec le n° de la page, à présent je récupère carrément l’image de l’acte (simple copie d’écran par exemple). Histoire de pouvoir le consulter à nouveau si besoin, même sans accès à Internet. Et puis aussi parce que je me dis que ces documents ne seront peut-être pas accessibles indéfiniment…

– Vous avez une vague idée de la date. Si elles sont disponibles, explorez les tables décennales à la recherche de l’événement souhaité et, une fois trouvé, cherchez l’acte dans le registre correspondant. En l’absence de tables décennales, armez-vous de patience et consulter le ou les registres. Je ne sais pas si la méthode est bonne, mais moi je commence les recherches par la fin du registre.

– Vous n’avez aucune idée de la date et ou du lieu. A moins que cet événement ne soit capital pour la suite de vos recherches, laissez-le tomber. Peut-être qu’en explorant d’autres individus ou événements vous glanerez de nouveaux éléments. Mieux vaut ne pas rester trop longtemps bloqué sur une même recherche sinon vous allez vous user, vous dégoûter… Maintenant, si vous êtes patients, vous pouvez aussi faire des recherches dans les recensements qui représentent une source très intéressante car regroupant diverses informations (date de naissance ou âge, métier, parfois le lieu de naissance, etc.) sur plusieurs individus en même temps. Attention : ces recensements étaient réalisés tous les 5 ans environ, on peut donc “louper” des personnes (enfants morts jeunes, par exemple)…

  • Principaux documents numérisés

– Les registres paroissiaux ou BMS (baptêmes, mariages, sépultures) tenus par les églises jusqu’en 1792.
– Les registres d’état civil ou NMD (naissances, mariages, décès) à partir de fin 1792.
РLes tables d̩cennales, offrant un index des ̩v̩nements de la d̩cennie. Elles existent depuis 1802 environ et compl̬tent les tables annuelles incluses dans les registres.
– Les listes de recensement de la population.

  • Attention

A l’occasion de vos recherches vous vous rendrez compte que les registres sont loin d’être exempts d’erreurs : on y trouve parfois des fautes dans les noms (que nos ancêtres ne savaient parfois pas écrire eux-mêmes), les dates (date de naissance différente entre l’acte de naissance et l’acte de décès), les lieux. Sans parler des pages détériorées ou manquantes, des tables récapitulatives “oubliant” de mentionner certains événements, etc. Les officiers d’état civils et les curés de l’époque étaient loin d’être parfaits et n’avaient pas forcément à l’esprit que leur mission paperassière aurait une telle importance aux yeux des générations futures. Et puis parfois ils devaient abuser un peu sur le “jaja”, car la rédaction de certains actes peut laisser supposer que leur rédacteur n’était pas dans son état normal !

  • Chercher dans les généalogies existantes

Les sites de partage de généalogie sont nombreux. La plupart requièrent de s’inscrire, beaucoup sont payants. Je ne les listerai pas tous, uniquement ceux que je fréquente :

Geneanet.org : après inscription (gratuite), on peut consulter les arbres et contacter leur auteur gratuitement. L’accès à certaines informations (actes) peut être payant ou réservé aux membres ayant souscrit à un abonnement payant.

Mes-arbres.net (site du CDIP, éditeur de l’outil Généatique) : sans inscription, la consultation des arbres est gratuite et on peut contacter les autres utilisateurs gratuitement. Le site permet aussi de créer gratuitement son arbre en ligne, manuellement, via import au format Gedcom, ou directement exporté depuis l’outil maison Généatique.

Planete-genealogie.fr (site de BSD Concept, éditeur de l’outil Heredis) : sans inscription, la consultation des arbres est gratuite et on peut contacter les autres utilisateurs gratuitement ! Le site ne permet pas de créer son arbre manuellement, cette opération passe par un outil associé à Heredis mais qui peut aussi être téléchargé gratuitement et associé à n’importe quel autre outil de généalogie.

Cybergenealogie.fr : après inscription (gratuite), on peut télécharger les fichiers Gedcom des autres utilisateurs référençant un patronyme recherché. Très pratique pour récupérer des branches communes complètes sans avoir à les re-saisir, ce qui est potentiellement source d’erreur.

  • Stocker les informations collectées

Récupérer des données c’est une chose, mais pour en faire quoi ? Les stocker sur de vulgaires post-it, dans un beau carnet à petits carreaux ou encore dans un fichier Excel ? Non, ce n’est pas sérieux ! L’intérêt de ces recherches est de mieux connaître ses racines. A force de les parcourir, le généalogiste y parvient rapidement, mais quid des autres ? Car après tout, ce n’est généralement pas que pour soi-même que l’on entreprend ce genre de recherches, c’est aussi pour toute la famille. Et rien ne vaut un bel arbre stylisé avec des photos pour susciter l’intérêt et montrer les choses sous une forme assez concrète… D’accord, il est toujours possible de faire ça à la main, avec une règle, une plume et un encrier, mais n’est-ce pas plus simple avec un outil informatique digne de ce nom ? Surtout si l’arbre est voué à régulièrement s’enrichir tant vers le bas (la descendance) que vers le haut (l’ascendance).

Je me suis donc mis en quête d’un outil permettant de saisir facilement les individus, les accompagner de photos, pouvoir éditer de jolis arbres, gérer les “branches”. Sans être aussi exploité que les jeux ou la bureautique, la généalogie n’est pour autant pas oubliée par les éditeurs. Encore faut-il trouver le “bon” produit à un prix raisonnable et correspondant au besoin qui est le nôtre. Là encore, je ne vais pas lister tous les produits, uniquement ceux que j’ai eu l’occasion de tester.

Heredis (édité par BSD Concept) : puissant et simple d’utilisation. Permet d’éditer de jolis arbres, des livres illustrés rédigés automatiquement racontant l’histoire familiale en parallèle avec les grands événements de l’histoire de France, les grandes inventions, etc. Associé à l’outil Planete-Genealogie fourni, il est possible de publier sa généalogie sur le net (site Planete-Genealogie.fr).
Tarifs, à titre indicatif : gratuit pour la version PC démo limitée à 50 individus, 39.90€ pour la version PC standard (« bleue »), 99.90€ pour la version PC complète (« 13 PRO »), gratuit pour la version iPhone/iPad et 59.90€ pour la version MAC.

Généatique (édité par CDIP) : très puissant, très configurable, plus complexe (limite un peu « brouillon ») à utiliser qu’Heredis, mais offre beaucoup plus de formats d’arbres que ce dernier.
Tarifs, à titre indicatif : gratuit pour la version découverte limitée à 50 individus, 24.95€ pour la version limitée à 500 individus (« Classique 500 »), 84.95€ pour la version limitée à 1500 individus (« Classique 1500 ») et 129.90€ pour la version complète (« Prestige »). Appli à télécharger, mais moyennant entre 15 et 20€ supplémentaires, il est possible d’acquérir le produit en « coffret ».

FamilyTreeBuilder (édité par MyHeritage) : Petit, assez pratique à utiliser, mais requiert la création d’un compte, même si l’on ne souhaite pas utiliser la fonctionnalité de sauvegarde en ligne/publication de l’arbre sur le site de MyHeritage. Vous noterez au passage que j’ai volontairement omis de parler de ce site un peu plus haut (rubrique « Chercher dans les généalogies existantes ») car la consultation des arbres est soumise à un abonnement payant. Dommage, ce d’autant qu’il me semble que cela n’a pas toujours été le cas. Une dernière chose : contrairement aux deux précédents outils, celui-ci ne reconnaît pas les dates du calendrier républicain, il faut donc les convertir en dates du calendrier grégorien (à l’aide de ce site, par exemple).
Tarif : gratuit et sans limitation du nombre d’individus. Pas mal du tout pour débuter.

  • Outils de création d’arbres “en ligne” :

Geneanet.org : gratuit.

Mes-arbres.net : gratuit.

MyHeritage.fr : gratuit jusqu’à 250 individus.

Voilà, j’espère que ce petit billet vous aura donné l’envie de consacrer un peu de temps à retrouver vos racines !

Si vous connaissez d’autres combines, sites ou logiciels qui permettent au généalogistes en herbe (ou aux pros) d’avancer dans leurs recherches, n’hésitez pas les signaler dans les commentaires de ce billet.

Ce billet plutôt conséquent a été rédigé par Damien. C’est vraiment du beau boulot !

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Vous n’en avez pas marre des pubs Apple qui vous narguent avec la synchronisation totale des photos et documents entre votre iPhone, iPad et Mac ?

Dès que vous modifiez un document il se synchronise partout. Et bien sachez qu’avec quelques outils vous pouvez aussi faire la même chose (ou presque).

Il existe de nombreux outils, mais je vais m’attarder uniquement sur les deux que j’utilise régulièrement pour réaliser des synchronisations : Dropbox et Google Drive. Pourquoi uniquement ces deux outils ? Parce qu’ils sont fonctionnels et surtout gratuits !

Dropbox : dropbox.com : il suffit de créer un compte gratuitement sur leur site et d’installer leur application.

Google Drive : drive.google.com : se créer un compte Gmail.

Pour synchroniser tous types de documents et même les photos directement prise de votre smarphone, sans passer par le mail ou encore le Bluetooth, utilisez l’outil Dropbox. Installez l’outil l’application via l’Apple Store ou le PlayStore directement sur votre smartphone. Pour utiliser la synchronisation des photos, activez l’option “chargement de l’appareil photo”. Ensuite installez Dropbox sur votre tablette et/ou sur votre PC pour recevoir les photos. C’est tout…

Cependant avec Dropbox, vous ne pourrez pas modifier directement de document office (ou alors il faut installer d’autres programmes). C’est pour cela que je vous conseil de compléter la solution avec Google drive. Il est accessible par n’importe qu’elle navigateur par l’adresse suivante drive.google.com. De cette page web éditez directement vos documents. Instantanément, ils vont se mettre à jour sur tous vos périphériques connectés. Google drive est également disponible sur l’Apple Store ou PlayStore et depuis le 10 septembre 2012, l’application permet de modifier vos documents directement.

Et voilà, avec ces deux outils, vous pouvez faire comme dans la pub. Le seul hic, c’est que les documents Google Drive sont dans un format propriétaire Google et donc pas forcément lisible directement avec les outils du PC (Word, Excel, Open Office). Sur votre pc, il vous faudra aller sur le document via l’interface web, ou encore se doter d’un outil qui converti les documents Google docs en Office docs et inversement.

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Tout d’abord, je tiens à remercier sincèrement tous ceux qui ont pris le temps de laisser un petit message d’encouragement suite à mon précédent billet ou qui m’ont envoyé directement un mail. Je n’ai pas eu le temps de répondre à tous car j’ai passé pas mal de temps à essayer de rendre le blog conforme à ce que mon hébergeur souhaite.

Bonne nouvelle, je pense que j’ai réussi. J’ai notamment supprimé une application qui me permettait d’obtenir des statistiques en temps réel et j’ai installé un cache plus performant.

Vous devez d’ailleurs constater (enfin je l’espère) une nette amélioration au niveau de la réactivité du site : les pages s’affichent un peu plus rapidement. J’ai encore quelques idées mais je vais rapidement envoyer un message à l’hébergeur pour lui demander si mes ajustements me permettent de rentrer dans les clous.

Donc, au niveau technique, cela devrait coller. Maintenant, au niveau motivation, c’est toujours aussi aléatoire et cela ne correspond pas, comme certains semblent l’avoir compris, à une baisse de régime passagère ! Il risque d’y avoir une diminution du nombre de billets que je publierai dorénavant.

N’hésitez pas à proposer des articles pour faire vivre le blog !

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Comme vous l’avez sûrement remarqués, et vous avez été quelques uns à m’en faire part par mail, le blog fonctionnait mal en milieu de semaine. Normalement la situation est stabilisée et les pages doivent s’ouvrir correctement à l’heure actuelle.

Cette situation est due à l’hébergeur du site (Infomaniak), qui s’est rendu compte que le blog utilisait une très grande partie des ressources de la machine sur laquelle il était installé. Du coup, ils l’ont transféré sur un autre serveur et m’indiquent qu’ils pourraient clôturer le compte si je ne réalise pas quelques ajustements.

Ce qui est étonnant, c’est que je n’ai pas “bricolé” sur le site depuis plus d’un an et que du coup, il doit fonctionner comme cela depuis pas mal de temps déjà. Je suis donc surpris de n’être alerté que maintenant. Finalement, je regrette de plus en plus la migration sur WordPress d’il y a plusieurs années qui m’a fait perdre du temps et toute l’audience du blog ! Quand ça marche, il ne faut pas prendre de risques inutiles…

Bon, j’ai déjà réfléchi au problème et j’ai quelques pistes de travail. Je suis d’ailleurs en contact avec les techniciens de cet hébergeur. Je compte me mettre au boulot ce week-end mais je dois bien reconnaître que ça me gave énormément pour deux raisons majeures :

– il fait beau…
Рje suis de moins en moins motiv̩ pour faire tourner le blog !

La saturation me gagne et je me rends compte que ce que j’écris n’a plus vraiment de rapport avec les débuts glorieux du blog où je traitais vraiment d’Informatique et d’astuces en tous genres. J’avoue que j’ai de plus de mal à me bloquer une heure ou deux dans la journée pour rédiger des billets.

J’en appelle donc, une fois de plus (et sans doute la dernière) aux bonnes volontés. Si vous vous sentez l’envie de devenir rédacteur sur EspaceRezo, n’hésitez pas. Il faut juste quelques notions en français et surtout beaucoup de motivation. Vous pouvez laisser vos billets (ou idées de billets) sur le Forum ou me les envoyer par mail.

Je précise également que vous ne ferez pas fortune en devenant rédacteur puisque les recettes publicitaires couvrent à peine les frais de fonctionnement du blog !

En conclusion je dirai que les voyants du blog sont en rouge, mon hébergeur veut me virer et qu’il fait beau dehors ! Heureusement que je n’ai pas acheté Diablo 3:wink:

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Vous avez été nombreux à m’envoyer des mails pour savoir où j’en étais dans ma réparation d’ordinateur et si je m’en sortais avec le blog, et je vous en remercie. Du coup, je me suis dis qu’il fallait que je rédige un petit billet explicatif.

Donc, après pas mal de temps passé sur ma machine, il s’avère que le disque dur principal est mort, ainsi que la carte mère. Je n’ai pas vraiment de regret à ce niveau car je leur avais bien tiré dessus. Heureusement, j’avais fait une sauvegarde complète de cette machine quelques jours avant et donc, du coup, je n’ai pas perdu grand chose (d’où l’intérêt des sauvegardes…).

Actuellement, j’ai branché mon portable à la place de ma tour, et je suis de nouveau opérationnel. Il a juste fallu que je rattrape un peu de boulot IRL car j’ai passé mon début de semaine sur la machine en question. Maintenant tout est revenu à la normale et je compte publier sur le blog comme à l’accoutumée.

Je suis tout de même à la recherche d’une carte mère en socket 939 pour réparer la tour. Heureusement qu’il existe un paquet de sites en ligne pour trouver du matériel d’occasion. Je pense m’en tirer pour 40 euros : un moindre mal…

Pendant que j’y suis, je me demande même si je ne vais pas carrément investir dans un kit d’upgrade pour m’offrir du matériel neuf qui déchire un peu. J’ai vu des trucs vraiment sympas pour pas trop cher. La tour réparée servira toujours dans quelques mini lan-games !

Je remercie donc tous ceux qui ont pris la peine de m’envoyer un message et surtout ceux qui m’ont fait parvenir des billets à publier : Yann, Rainbow et Aryxo69.

Et un remerciement tout particulier à Arnaud qui m’a prêté de quoi tester ma carte mère et mon processeur !

N’hésitez pas à m’envoyer des idées de billets car des fois, après presque 2700 billets publiés, je sèche un peu…

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Juste un petit billet pour vous dire que mon ordinateur principal vient de me lâcher. Comme vous le savez, si vous suivez mes aventures, j’en ai quelques autres mais ce n’est pas pareil. J’ai (ou plutôt j’avais) mes petites habitudes, mes liens et tous les programmes qui me servent à faire de beaux articles. Bref, je suis dans le bricolage

C’est pourquoi, je risque de ne pas pouvoir alimenter le blog comme à l’accoutumée, au moins jusqu’à ce que je me remonte une tour digne de ce nom.

J’aurai donc bien besoin d’un petit coup de main cette semaine et j’en appelle aux fidèles lecteurs du blog : pouvez-vous m’envoyer de petits billets (ou de gros si vous avez du courage), les plus rédigés possibles, pour continuer à faire tourner le blog ?

Vous pouvez, soit les poster sur le forum, dans la rubrique Idées de billets, soit me les envoyer directement par mail. Je les mettrai en forme avant de les poster sur le blog.

D’avance, merci à tous ceux qui prendront la peine de me donner un petit coup de main et désolé pour ce petit incident de parcours : c’est vraiment nul l’Informatique ! :wink:

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