Comme le disais à juste titre Léopold Sedar Senghor, “Les Mathématiques sont la poésie des sciences“. J’ai toujours aimé les chiffres et, pour satisfaire ma curiosité, je me suis naturellement porté vers des sites qui traitent de la mathématique.
Rapidement, je suis tombé sur le site de Thérèse Eveilleau et j’y ai découvert une somme considérable d’énigmes, de puzzles magiques, de paradoxes, d’anecdotes historiques… Bref, un véritable grenier à malices mathématiques comme le décrit très justement son auteur.
Une démonstration assez originale, surtout en ces temps de revendications sociales, a retenu mon attention. Je vous la livre :
“Les années bissextiles ont 366 jours.
Vous ne travaillez que 8 heures par jour, c’est-Ã -dire le tiers du temps. Cela fait 122 jours.
Mais il y a 52 dimanches; restent 70 jours.
Le samedi, vous disposez de la demi-journée, ce qui fait 26 jours en moins; restent 44 jours.
Enlevez 5 semaines de congés payés, il reste 9 jours.
Avec le jour de l’an, le 1er mai, le 14 juillet, la Toussaint et Noël, le lundi de Pâques,
le lundi de Pentecôte, et le jeudi de l’Ascension il ne reste qu’un jour. Un jour de travail !
Et encore les années bissextiles ! Donc trois années sur quatre vous ne faites rien !”
Évidemment, en y regardant de plus près, on se rend compte que le raisonnement est faux car certains jours ou parties de jours sont comptés deux fois voire plus. Une explication plus complète vous attend sur la page personnelle de Thérèse Eveilleau. Une bonne raison pour se méfier de certains chiffres et surtout de ce que l’on cherche à leur faire dire.
Vous trouverez d’autres mathématiques amusantes sur le site personnel de Thérèse Eveilleau.
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