Il n’y a rien de plus pénible qu’un câble d’alimentation (ou autre d’ailleurs) qui ne tient pas dans sa prise. J’ai personnellement été confronté à ce problème et je vous assure que c’est super énervant.
Et voilà qu’en surfant au hasard, je tombe sur la solution miracle, le coup du velcro, qui m’aurait sauvé si la carte mère de cette foutue machine n’avais pas rendu l’âme depuis !
Je vous propose tout de même ce petit bricolage ingénieux qui, j’en suis certain, en intéressera quelques uns. Fallait simplement y penser…
On galère toujours pour brancher un câble USB. En général, ça ne rentre pas du premier coup. Pour ne pas forcer, on essaie dans l’autre sens. Mais il faut retourner une nouvelle fois la prise car c’était le premier sens qui était le bon… comme par hasard !
Pour éviter de perdre du temps (et un peu de patience), il y a l’observation ou l’ingéniosité.
Il suffit de munir la partie mâle du câble de deux petites pièces amovibles pour le rendre totalement compatible avec n’importe quelle embout femelle, et surtout quel que soit le sens de branchement.
Il fallait simplement y penser. Et maintenant au boulot messieurs les fabricants de câbles USB !
Je n’ai pas eu trop le temps de vous rédiger de petits billets ce week-end. J’ai été pas mal pris et puis j’ai eu envie de bricoler un peu, loin de l’ordinateur (pas trop quand même).
J’ai donc ressorti quelques outils, avec plus ou moins de réussite d’ailleurs, et parmi les réalisations qui ont abouti, voici une base de chargement pour téléphone pour mon Galaxy Note (le N7000).
Il y a longtemps que j’en voulais une mais je ne trouvais pas de bases qui me plaisaient. Soit elles étaient trop chères, pas assez inclinées et surtout, la plupart des stations de chargement en vente sur Internet s’adaptent à l’appareil nu, sans prendre en compte un éventuel étui de protection.
Du coup, je me suis lancé dans la réalisation d’une station artisanale, à partir d’une vieille base de Palm Tungsten C qui traînait dans mon garage. J’ai percé quelques trous pour faire passer le câble de chargement officiel, collé quelques patins en feutre et tour a été joué. Voici le résultat :
Et avec le Galaxy Note, ça donne :
Comme vous pouvez le constater, je ne me suis pas trop appliqué sur la finition mais l’embout est maintenu très fermement par un morceau de câble, sous le scotch. Il ne risque pas de bouger.
Je vous propose ce petit bricolage amusant sans aucune prétention. Peut-être qu’il donnera des idées à certains. D’ailleurs n’hésitez pas à nous faire partager vos petits bricolages…
Vous avez sûrement connu les écrans avec deux câbles : un VGA et un pour l’alimentation électrique. Depuis quelques années le câble HDMI remplace le VGA et il reste toujours celui qui amène le courant.
J’imagine également que vous avez vécu le cruel problème des prises électriques qui manquent, et le nombre toujours trop important de câbles branchés qui se promènent derrière de votre machine. Je vais peut être vous faire gagner une prise de courant.
Depuis quelques mois, je vois arriver sur les sites de commerce, comme “Rue du Commerce” ou “LDLC” (pour ne citer qu’eux), des écrans auto-alimentés 19″ et 22″. Ils fonctionnent uniquement avec 1 ou 2 ports USB 2 ou USB 3 et il n’y aucun autre câble.
A l’heure actuelle, vous pouvez les acquérir à un prix avoisinant les 170 euros. Je n’ai repéré que quelques marques qui proposent des écrans auto-alimentés en USB : HP, AOC, 3M et Philips. J’espère que d’autres modèles arriveront très vite.
En ce moment, je n’ai pas trop le temps de consacrer du temps au blog car j’ai pas mal de boulot IRL et surtout : je regarde les matchs de foot de l’Euro.
Hier soir à 20h45, je me préparai à prendre l’une de mes deux doses quotidiennes quand je me suis aperçu avec horreur, que le match Russie / République Tchèque ne passait pas sur les chaînes classiques gratuites (enfin si on oublie la redevance TV).
En effet, la toute nouvelle chaîne télévisée privée BeIn Sport, chaîne du Qatar, a raflé pas mal de matchs de cet Euro 2012 et coûte 11 euros par mois !
De rage, j’ai tout d’abord décidé de boycotter le foot mais, après quelques bières, je me suis rapidement ressaisi et j’ai un peu réfléchi. Il aurait 3 façons de réussir à regarder les matchs qui passent sur cette chaîne payante :
– passer à la caisse.
– regarder sur une chaîne publique d’un des pays qui est en train de jouer (pas mal pour les personnes qui ont le satellite ou le câble). Si vous en connaissez d’autres, postez-les dans les commentaires (RTBF 2, RTS 2 ?)
– regarder le match en streaming en écoutant les commentaires à la radio (RMC pour ne pas la citer).
C’est cette dernière solution que j’ai pratiquée avec bonheur hier soir. J’avais un peu peur de tomber sur une vidéo de mauvaise qualité mais j’ai été agréablement surpris : ça marchait très bien ! Vous trouverez des liens vers des sites de streaming sportif dans un ancien billet que j’avais publié.
Bon je vous laisse car je vais de ce pas me fabriquer un petit câble qui me permettra de balancer l’image de mon ordinateur sur ma télé. Au passage, j’espère que pas mal d’internautes vont faire comme moi afin que la chaîne payante fasse un joli flop et que l’intégralité du foot réintègre le giron de la TNT. Et puis votre bricolage vous servira toujours pour la prochaine saison de la Ligue des Champions…
A la fin du mois de février, je vous avais parlé de BytePac, un concept intéressant boites en carton recyclé dans lesquelles peuvent se loger des disques durs classiques (qui ne vous servent plus dans un PC par exemple) et qui deviennent alors des disques durs externes originaux et “customisables”.
Je viens d’être une nouvelle fois contacté par la société CONVAR qui me présente une utilisation originale et intéressante de son BytePac. Il est en effet possible de sauvegarder toute l’encyclopédie “Wikipedia” pour la rendre accessible hors-ligne en la sauvegardant dans un BytePac !
Si vous avez acheté ces fameuses boîtes en carton, vous trouverez toutes les informations nécessaires pour fabriquer disque dur-encyclopédie gratuitement sur bytepac.de. Il est recommandé d’utiliser un disque d’au moins 200 GB. Vous trouverez également un modèle de jaquette pour recouvrir votre BytePac ainsi qu’un lien pour télécharger une version statique de la célèbre encyclopédie.
Comme je n’ai pas réalisé la manipulation, je ne sais pas combien de temps peut prendre le téléchargement des articles de Wikipedia (j’imagine assez longtemps). Par contre, la technique proposée peut également vous permettre d’installer l’encyclopédie sur n’importe quel disque externe…
Il y a quelques jours, j’ai eu la chance d’être contacté par la société CONVAR pour tester un produit original qui se nomme BytePac. Comme le concept m’a plu, j’ai accepté et j’ai reçu mon pack.
Le pack est composé de trois boites en carton recyclé dans chacune desquelles peut se loger un disques dur SATA 3,5 ou 2,5 pouces (qui ne sont pas fournis). Un kit de connexion modulaire, constitué d’un câble SATA, d’une PowerBox, d’un adaptateur USB2 et d’un câble d’alimentation, vient compléter le kit.
L’intérêt est de pouvoir ranger et archiver tous ses vieux disques durs. Les trois boîtes deviennent alors trois disques durs externes qui peuvent prendre place sur des étagères comme des boîtes de rangement classiques, dans lesquelles on entasse ses archives. Personnellement, j’en ai pas mal dans mon bureau.
Après avoir placé un disque dur dans une boîte, j’ai pu tester le système qui fonctionne parfaitement. On attrape la boîte de l’étagère, on branche les trois câbles (disque dur en relevant une trappe de la boîte, alimentation et USB sur l’ordinateur) et l’on accède rapidement aux données stockées. C’est pratique et efficace.
Je vous propose cette petite vidéo qui complètera parfaitement mes explications :
Arrivés à ce stade des explications, je suis certain qu’il y en a parmi vous qui, comme moi, se posent des questions sur le choix du carton pour envelopper des disques durs. On pense de suite qu’avec la chaleur, le carton risque de chauffer, voire de s’enflammer. Et bien non, il n’y a pas de risque grâce aux perforations d’aération sur la face supérieure et sur la face inférieure du boîtier. Le BytePac placé sur le pied pliant assure une évacuation suffisante de la chaleur par la circulation de l’air.
Selon le constructeur, il existe un risque d’incendie uniquement à partir d’une température de 235°C environ pour un carton non traité. Un disque dur conventionnel atteint une température de 40°C à 50°C environ lors d’une exploitation normale. Même un disque dur de moindre qualité atteindra à peine une température de plus de 95°C. Et, rassurez-vous, le BytePac a reçu toutes les autorisations européennes indispensables.
Personnellement, j’aurai deux petites suggestions à proposer au constructeur. J’aurai bien aimé trouver une petite diode sur le boîtier “PowerBox”, qui clignoterai en fonction du transfert de données (oui j’aime aussi rester des heures devant les logiciels de défragmentation ) et j’aurai également préféré que kit de connexion soit compatible IDE. Pour utiliser les “anciens” disques durs, il faut investir dans un convertisseur IDE-SATA (qui est à 16 € sur leur site).
Mis à part ces petits détails, je trouve vraiment que ce produit est intéressant. D’une part parce que je n’avais rien pour ranger mes disques durs de sauvegarde et surtout parce que j’aime bien le côté écologique du concept, et sa réalisation en carton recyclé.
D’ailleurs, pour ceux qui n’apprécient pas forcément la couleur et la texture du carton, sachez qu’il est possible d’habiller entièrement son BytePac grâce au plan de coupe qui est téléchargeable sur le site du produit. Je trouve que c’est vraiment une bonne idée.
Passons aux prix. Le BytePac Kit comprenant 3 boîtes et le kit de connexion est à 39,95 € (connecteur USB2) et 51.85 € (connecteur USB3). Les 3 boîtes seules sont à 13,99 €
Si vous souhaitez plus d’informations sur ce BytePac, je vous invite à aller jeter un œil sur bytepac.com.
Enfin, comme ils sont super sympas chez CONVAR, il ne m’ont pas envoyé qu’un seul kit mais 3 ! C’est pourquoi, je vous propose un nouveau petit concours afin de gagner deux de ces BytePac. Je lancerai le concours dimanche et j’effectuerai un petit tirage au sort le dimanche suivant, comme d’habitude quoi…
Nul besoin d’avoir fait de longues études pour brancher une clé USB sur un ordinateur. Les périphériques ne rentrent que dans un seul sens. Le problème, c’est souvent de savoir lequel !
Et bien, maintenant que j’ai lu ce très intéressant article sur blogusb.fr, je suis dorénavant capable de brancher n’importe quelle clé USB dans le bon sens, du premier coup. La technique est à la portée de tout le monde.
Prenez n’importe quelle clé USB (ça marche aussi avec les câbles USB), le bout à brancher dans la prise est composé de deux côtés légèrement différents :
– un côté possède deux petits trous obturés et l’on y voit la jointure de l’enveloppe de métal qui fait le tour de la partie à brancher.
– l’autre côté possède également deux trous mais ouverts, laissant apparaître les petites lamelles de cuivre qui servent pour effectuer les contacts.
En général, c’est cette seconde face (avec les trous ouverts) qu’il faut présenter vers le haut pour effectuer le branchement.
La preuve en images :
C’est vraiment très simple, mais il fallait juste passer un peu de temps à observer.
Comme moi, et pourtant j’en ai manipulé des tas de clés USB, vous allez vous coucher un peu moins bêtes ce soir. Enfin… un tout petit peu moins bêtes !
Je vous invite vivement à découvrir cette astuce et bien d’autres concernant les clés USB sur blogusb.fr.
C’est une technique comme une autre mais il faut de bonnes longueurs de câble et la manipulation est sûrement beaucoup moins pratique que celle que j’avais déjà présentée il y a un bail…
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