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Astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir !

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Ce petit jeu, qui n’en est pas vraiment un d’ailleurs, est une sorte de curiosité amusante et légèrement instructive, c’est pour cela que je la réserve aux débutants.

Le principe est de monter pas à pas un PC en cliquant simplement sur des morceaux d’ordinateur.

Une version plus élaborée dans laquelle le débutant doit réfléchir et placer les éléments au bon endroit aurait sans doute été plus intéressante.

Jouez maintenant !

D’autres petits jeux gratuits et sans inscription sur espacejeux.fr.

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Cette petite astuce simple et pratique peut vous rendre service et éviter de vous faire perdre quelques données importantes. Elle s’adresse principalement aux débutants et aux non experts en informatique.

En effet, rien de plus rageant que de constater que le contenu d’une carte mémoire (SD, SDHC ou CompactFlash) a été accidentellement effacée lors d’une manipulation hasardeuse, alors que vous l’aviez confiée à quelqu’un d’autre par exemple…

Pour éviter ce désagrément, il est possible de verrouiller mécaniquement une carte mémoire en utilisant le petit loquet qui se trouve sur la tranche gauche de la carte.

En le basculant suivant l’inscription “lock”, aucun fichier ne pourra être effacé et il sera également impossible de copier de nouvelles données sur le support.

Pour débloquer la carte, il suffira de remettre le loquet en position normale.

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A la lecture de ce 3ème billet sur Ubuntu, certains penseront que j’ai repris la plume uniquement pour promouvoir Linux. Je répondrai bien par l’affirmative… mais en vérité, la chose essentielle qui motive mes interventions est surtout le plaisir de partager une passion commune ; en l’occurrence, l’utilisation de Linux et la découverte de trucs et astuces qui nous facilitent la vie et améliorent notre confort.

Cette fois je vous parlerai de la gestion des souris modernes en pleine crise d’adolescence au vu de leur façade pleine de boutons. La mienne en comporte pas moins de seulement cinq ! Il faut dire qu’elle est en fin de croissance :) .

Si sous Windows l’existence d’un driver permettait de gérer ces cinq boutons, il n’en est pas de même sous Ubuntu. Alors que faire de tous ces boutons ?

La solution se trouve dans l’utilisation de l’application BTNX disponible dans la logithèque. Après installation, retrouvez l’application dans le menu Applications/Outils système et lancez-la. S’agissant d’un outil modifiant la configuration d’un fichier système, il vous sera demandé d’entrer votre mot de passe.

Dans l’application, commencez par faire détecter votre souris. Cela se fait rapidement. Passez ensuite à la détection des boutons qu’il faudra tenir sélectivement appuyés jusqu’à la reconnaissance complète du bouton concerné. Une barre de progression permettra de suivre cette reconnaissance.

Cette opération effectuée, rendez-vous dans l’onglet Boutons et sélectionnez un par un les boutons afin de leur attribuer une instruction parmi les trois suivantes :

  • Combinaison de touches
  • Changement de configuration
  • Exécution de commandes

Ensuite pour valider l’ensemble et permettre une utilisation immédiate de ces affectations, revenez sur la page d’accueil (onglet Configurations) et cliquez sur “Redémarrer btnx“. Vos boutons ont maintenant une fonction autre qu’un visuel inesthétique.

Petite astuce :
Si l’un des boutons de votre souris n’est pas reconnu, c’est ce qu’il m’est arrivé, éditez en mode SU (Lancez le terminal et tapez les commandes “sudo gedit“, entrez votre mot de passe) le fichier /etc/btnx/btnx_config_Default. Celui-ci contient toutes les coordonnées de votre souris et de ses boutons.

Copier-coller une des sections consacrée à un bouton reconnu et affectez sur la ligne rawcode une valeur immédiatement supérieure ou immédiatement inférieure à celle existante. Exemple : mon bouton central n’était pas reconnu mais les boutons 4 et 5 l’étaient. Ces derniers boutons étaient codés respectivement 0x01000113 et 0x01000114, mon bouton 3 devait donc logiquement correspondre à la valeur 0x01000112 et ça a marché !

Enregistrez votre modification et relancez btnx-config (véritable nom de l’application). Votre bouton absent est désormais présent.

Si vous avez bien suivi ce tuto, et si c’est la première fois que vous mettez les mains dans le cambouis, alors laissez-moi vous souhaiter une Bienvenue dans le merveilleux monde de Linux :) .

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Mon billet promotionnel sur Ubuntu est parvenu à créer des vocations et j’en suis fier.

Je pense que la meilleure récompense (au-delà des dons en argent) que l’on puisse offrir aux développeurs d’Ubuntu est d’utiliser au quotidien le résultat de leur travail mis gratuitement à notre disposition. Un grand merci pour leur labeur et une pensée affectueuse pour le généreux Mark Shuttleworth sans qui Ubuntu n’aurait jamais vu le jour.

Passons cette phase de remerciement et intéressons-nous à l’Evolution de notre Ubuntu. Les connaisseurs auront apprécié le jeu de mot car Evolution est le nom de la messagerie livrée avec l’OS.

Je vais être direct. Même si cette messagerie est très évoluée et très complète, Evolution ne m’a pas séduit. Le plus agaçant est de ne pas pouvoir détruire sélectivement les fichiers se trouvant dans la corbeille : c’est tout ou rien.

J’ai donc porté mon choix sur un client de messagerie que j’utilise à mon travail. Ce lecteur de courrier est développé par la célèbre fondation Mozilla (bien connue pour son navigateur à succès FireFox) et se nomme : Thunderbird !

Ce qui suit suppose que vous ayez mis en place les paramétrages d’Evolution, mis à jour votre agenda, vos contacts et vos mails. Sachez qu’Evolution d’Ubuntu 10.10 permet l’importation des fichiers pst exploités par Outlook de Microsoft. Je pense que cette précision va en ravir quelques-uns car pour ma part, c’est après être passé par une série de conversions que je me suis rendu compte de l’existence de cette option… On ne se refait pas ! :(

Voici un lien ou vous trouverez un tuto soigné et complet pour effectuer cette migration en douceur : pascal.ledisque.free.fr.

Je vous laisse découvrir cet excellent article publié par Pascal Le Disqué car il n’y a rien à ajouter. J’insère juste cette précision lors de la mise en place des notifications au tableau de bord : après avoir installé l’extension libnotify-mozilla.xpi, il faut redémarrer le PC.

Bonne migration sur Thunderbird !

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Traditionnellement, lorsqu’une nouvelle année débute, on choisit de faire comme elle : repartir sur de nouvelles bases.

Et si parmi vos résolutions se trouvait celle de switcher sur Linux ?

Avouez que vous y avez pensé plusieurs fois notamment quand Windows mouline indéfiniment en cherchant on ne sait quoi sans jamais vous laisser la main. Combien de fois avez-vous pesté sur un satané logiciel qui vous demande toujours plus de ressources alors que vous venez d’acquérir la dernière machine dotée d’un processeur huit coeurs et 16 Go de Ram ?

Et pourtant vous le savez car tout le monde le dit, “avec Linux, tout roule même avec une configuration dépassée !”

Il y a 15 jours encore, j’étais comme vous et je pensais même acheter la version Seven de Windows car mon Vista s’essouffle malgré ma configuration 8-coeurs 4 Go de RAM. Mais le prix m’a vite refroidit, Brrr !

Et je me suis souvenu des propos d’un ancien débutant que j’avais formé à l’informatique qui m’a dit, “Jean-Claude je suis passé à Ubuntu… Que du bonheur !

Eh bien je confirme ! Que du bonheur :

  • démarrage OS arrêté : 20 secondes,
  • mise en veille simple : 1 seconde,
  • réveil : 1 seconde,
  • arrêt complet : 10 secondes !
  • ouverture de Firefox : 2 secondes à froid,
  • page google actualité chargée en 1 seconde à chaud !

Bref, une vitesse surprenante à voir lorsqu’on vient de Windows.

Comparé à Mac OS, je ne peux pas en parler. Je n’ai jamais eu de Mac mais sachant que Mac OS est basé sur un système Linux, je commence à comprendre certains aficionados des Mac.

Je vous ai donné envie d’essayer ? Alors vous pouvez passer par un live-cd mais je vous conseille plutôt d’installer Linux en double Boot. D’une part vous pourrez revenir sur Windows (ce que je n’ai pas fait depuis 15 jours) et d’autre part vous pourrez essayer dans la plénitude de ses performances votre distribution linux.

Au fait en parlant de distribution, je vous conseille vivement Ubuntu ! Pourquoi ? Déjà pour le symbole qu’il véhicule, Ubuntu signifie « Humanité ». Ubuntu signifie également « Je suis ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous ». Et si ça ne suffit pas à vous convaincre, sachez que Ubuntu comporte tous les drivers de n’importe quel device. Mon ordinateur très récent n’a rencontré aucun problème de driver. Cerise sur le gâteau, Nvidia fournit des drivers spécifiques pour les distributions Linux dont Ubuntu.

Alors maintenant n’hésitez plus !

Commencer par graver l’image de la dernière version de Ubuntu 10.10. Il existe une version 32 bits et une version 64 bits sur ubuntu-fr.org. Une fois l’image gravé au format iso (il existe des logiciels gratuits qui font ça très bien), bootez sur votre CD et laissez-vous faire ! Dans une demi-heure vous serez dans le merveilleux monde de Linux.

Toute la documentation, le savoir-faire et le faire savoir sur ubuntu-fr.org.

Ah oui ! J’oubliais le dernier argument : c’est gratuit ! :)

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Suite à de nombreuses demandes (IRL) de débutants en informatique, voici comment installer facilement une police d’écriture qui sera utilisable ensuite dans la plupart des logiciels qui se trouvent sur votre machine. : pack Office, OpenOffice, Photofiltre…

Tout d’abord, allez télécharger la police qui vous intéresse sur un site comme ceux que je vous avais déjà proposés dans l’un de mes billets. Si besoin, décompressez l’archive récupérée pour obtenir un nouveau fichier dont l’extension sera de type “.ttf” en général mais il existe de nombreux autres formats.

Il vous suffit ensuite de copier (couper) / coller ce fichier contenant la police dans le répertoire : C :\WINDOWS\Fonts. Et c’est fini.

Vous pouvez maintenant ouvrir le logiciel avec lequel vous voulez utiliser la ou les polices d’écriture que vous avez choisies.

Il existe d’autres moyens pour obtenir le même résultat mais avec cette manipulation, vous contrôlez toutes les étapes.

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Avant de commencer, je voudrai préciser que ce billet s’adresse surtout aux débutants. L’objet n’est pas de vous apprendre à overclocker, mais simplement de vous donner quelques informations sur ce procédé et de vous expliquer rapidement en quoi il consiste.

Dans un ordinateur, le composant principal est le processeur. C’est en quelque sorte le cÅ“ur de la machine. Il effectue la majorité des calculs. Plus le processeur est rapide, plus il y a de calculs d’effectués, et plus votre ordinateur est rapide. Le but de l’overclocking est d’augmenter la cadence de ce processeur, mesurée en Hertz.

Mais ce n’est pas aussi simple. En effet, la fréquence d’un processeur dépend de deux choses:

– la fréquence du Front side bus (FSB) : il s’agit de la fréquence des échanges entre votre processeur et votre carte mère, sur laquelle sont branchés tout les autres composants de votre ordinateur,

– le coefficient multiplicateur du processeur : qui définit la vitesse relative du processeur par rapport à celle de la carte mère (un coefficient de 2 signifie que le processeur tourne à une fréquence deux fois plus élevée que celle de la carte mère).

La fréquence du processeur est le produit de la FSB et du coefficient multiplicateur. Il faut donc monter l’un ou l’autre de ces deux paramètres pour overclocker un processeur. En général, c’est le FSB qui est augmenté, à l’aide de logiciels adaptés s’il n’y en a pas un fourni avec le processeur.

Mais l’overclocking ne se résume pas à modifier quelques valeurs dans un logiciel, car cette augmentation de cadence se traduit par une inexorable surchauffe. Si vous imposez une légère surcadence au processeur, alors votre PC devrait ne pas avoir de problème. En revanche si vous êtes en quête de puissance, il faudra songer à faire évoluer votre système de refroidissement sinon votre processeur et tous les composants proches de lui pourront subir des dégâts irréversibles.

Pour vous donner une idée, l’overclocking “de très haut niveau” est parfois effectué à l’aide de refroidissement à l’azote liquide pour tempérer le processeur  (d’où la petite l’illustration)… L’overclocking passe également par des phases de tests et de contrôle de température, qui seront effectués à chaque palier d’augmentation de cadence.

Si vous voulez en savoir plus, je vous invite à passer un peu de temps sur votre moteur de recherche préféré car chaque processeur possède ses propres limites. Sachez qu’il existe également des possibilités d’overclocker sa carte graphique, pour gagner un peu de puissance dans les jeux vidéos.

Pour conclure, si vous souhaitez vous lancer dans l’overclocking, je ne peux que vous conseiller vivement de bien vous renseigner au préalable et d’y aller progressivement pour ne pas tout griller.

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