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Affichage des articles marqués programmation

amstrad_cpc_6128La semaine dernière, nous avions pas mal déliré sur la programmation avec Damien et Yann, dans les commentaires du billet sur l’histoire des langages informatiques.

Ceci m’a donné envie de retaper quelques lignes en BASIC. Je me suis mis en quête d’un émulateur qui pourrait me faire ça simplement et je suis tombé carrément sur plusieurs émulateurs d’Amstrad CPC.

Comme j’ai démarré l’Informatique (à la maison) avec un somptueux Amstrad CPC 6128, qui possédait un processeur Z80 à 4 MHz (pour faire simple, environ 1000 fois moins rapide que la machine sur laquelle j’écris ce billet), vous auriez pu lire la joie dans mes yeux quand j’ai installé WinAPE.

J’ai opté pour cet émulateur car il n’y a qu’un fichier “zip” de 1,5 Mo à télécharger puis à décompresser. Vous lancez le fichier “WinApe.exe” et vous obtenez :

winape_screenshot

Comme tout vieux geek qui se respecte, je me suis empressé de taper ces quelques lignes de code : et oui, je touche gravement en programmation ! Attention cependant, l’émulateur fonctionne comme si votre clavier était d’origine. Par exemple les guillemets s’obtiennent avec “Maj” + “2”.

Pendant que j’y étais, je me suis amusé à télécharger de vieilles roms de jeux qui tournaient sur mon Amstrad. Je me suis rendu sur rom-world.com. Le premier que j’ai récupéré a été Ghosts ‘N’ Goblins : priorité au jeu qui a ruiné ma scolarité !

Pour le faire fonctionner, placez le “zip” contenant le jeu dans le dossier “rom” de l’émulateur. Lancez WinApe puis allez dans “File“, puis “Drive A:” et “Insert Disk Image“. Appelez le “zip” du jeu. Il suffit ensuite de taper “CAT” pour voir le contenu de la disquette virtuelle puis “RUN”GHOST.BAS” dans mon cas pour lancer Ghosts ‘N’ Goblins.

Ensuite, la magie s’opère et c’est… et c’est… super moche en vérité !

Mais comment ai-je pu passer autant d’heures sur ce jeu ?

Ah oui c’est vrai, il n’y avait que ça à l’époque ! Finalement, heureusement que je ne suis pas né dans les années 2000. Avec toutes les consoles et l’évolution des jeux sur PC, ma scolarité se serait arrêtée au Brevet des collèges ! :wink:

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Petit à petit, les précurseurs de l’Informatique nous quittent les uns après les autres. Et, si l’on a beaucoup parlé de la mort de Steve Jobs ou de Dennis Ritchie, à juste titre, on en oublie pas mal d’autres, un peu moins médiatisés, qui ont contribué à l’éclosion des nouvelles technologies.

 Le nom de Jack Tramiel m’était inconnu jusqu’à ce que Franck m’envoie un petit mail pour m’indiquer la disparition de cet homme d’affaires américain qui fonda Commodore International en 1954 avant de prendre la tête d’Atari en 1984 (Wikipedia).

Les années 80 ont vu l’arrivée dans les foyers des premiers micros ordinateurs à des prix abordables pour le grand public, avec les jeux qui allaient avec. Personnellement, j’ai démarré avec un Amstrad CPC 6128, et je n’ai pas connu le Commodore 64. Une erreur sans doute car ceux qui ont côtoyé cette machine semblent s’en souvenir avec une tendresse toute particulière.

Le Commodore 64 se caractérisait par son design “à l’ancienne” et surtout sa facilité de programmation. Du coup, de nombreux jeux vidéo cultes ont été lancés sur cette machine. Je ne citerai que Commando et Ghosthbusters, que j’ai retrouvé plus tard sur pour 6128.

Pour les plus anciens, quelques souvenirs :

http://www.youtube.com/watch?v=eY2gK1MPgh8(

La machine sera vendue à 20 millions d’exemplaires à travers le monde !

Jack Tramiel quitte ensuite la firme Commodore pour s’occuper de la division grand public d’Atari. Il sera à l’origine de la réussite l’Atari ST, une autre légende dans le monde du jeu vidéo.

Jack Tramiel est décédé dimanche dernier à l’âge de 83 ans…

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Super Macro est un petit logiciel vraiment très intéressant qui pourrait vous rendre service.

Ce programme permet de construire et d’exécuter des macros universelles. Je ne parle pas de macros comme on peut en utiliser dans Excel mais de commandes qui simulent l’utilisation du clavier ou de la souris de votre ordinateur.

Plus simplement, une fois programmé, le logiciel se charge pour vous de diriger votre machine, comme si vous étiez devant votre écran. Par exemple, il peut diriger le curseur de votre souris sur un point de l’écran et réaliser un clic à l’endroit voulu. Le curseur de déplace alors tout seul sur votre écran.

La programmation est vraiment très simple et ne nécessite pas de connaissances particulières. L’ergonomie du logiciel est adaptée aux novices qui peuvent réaliser rapidement une programmation. Les plus aguerris d’entre vous pourront aller un peu plus loin en ajoutant des conditions, des boucles… pour rendre les macros les plus “intelligentes” possibles.

De nombreux plugins ont été développés pour enrichir les possibilités du programme. J’avoue que je n’en ai pas encore utilisés et que le programme de base me suffit amplement.

Évidemment, ce logiciel est gratuit, sinon je ne vous le présenterai pas mais vous pouvez faire un petit don à son auteur pour le remercier. D’ailleurs, mieux qu’un don, l’auteur précise que son programme est un “GratteWare”. Je ne connaissais pas l’expression. En fait, cela consiste à envoyer à l’auteur un ticket de jeu de la Française des Jeux. Sympa comme idée…

Maintenant, je suis certain que vous vous demandez ce qui m’a poussé à utiliser ce petit logiciel. C’est très simple, je l’ai installé il y a longtemps, lorsqu’il a fallu que je réalise des actions très répétitives sur mon ordinateur. L’utilisation de ce petit programme m’a fait gagner beaucoup de temps et d’énergie.

Enfin, je réutilise Super Macro depuis quelques semaines pour tricher à un jeu en ligne. Oui, je reconnais que c’est très moche, mais c’est seule solution que j’ai trouvée pour rester compétitif face à des joueurs qui passent leurs journées devant l’écran. En le programmant assez finement, je peux continuer de m’amuser le soir avec les no-life. Il faut bien que mes connaissances servent à quelque chose non ? :wink:

Découvrez Super Macro sur adam.denadai.free.fr.

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Voici une ode au Java, ce mystérieux langage Informatique qui conditionne la vie de nombreux développeurs.

Un peu d’humour et un rythme effréné, voici de quoi danser tout le week-end…

Par contre, il vaut mieux comprendre l’anglais et les subtilités de la programmation pour apprécier cette vidéo à sa juste valeur.

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Après Steve Jobs, c’est un autre pionnier de l’Informatique moderne qui nous quitte. Dennis MacAlistair Ritchie est notamment connu pour avoir  élaboré le C.

Ce langage conçu pour la programmation système est rapidement devenu l’un des langages les plus utilisés en Informatique. De nombreux langages plus modernes comme C++, Java et PHP reprennent largement certaines caractéristiques de C.

Afin d’expliquer à tous les développeurs le fonctionnement de son langage, il avait co-rédigé avec Brian Kernighan “The C Programming Language”. Cet ouvrage est toujours le livre de chevet de la plupart des développeurs.

Grâce à ses travaux sur le C, Dennis Ritchie met au point, avec Ken Thompson, le système d’exploitation Unix dans les laboratoires Bell, au début des années 70. Ce système d’exploitation multitâche va ensuite donner naissance à des systèmes plus évolués et incontournables comme BSD, GNU/Linux ou même Mac OS X .

Il est décédé à l’âge de 70 ans le 8 octobre 2011.

RIP Mister Ritchie.

Merci à Mol-1 pour son mail.

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Sur un air bien connu, voici une ode aux codeurs du monde entier.

En plus, c’est le genre d’accent anglais que j’arrive à comprendre…

Repéré sur geeksaresexy.net.

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Certes, c’est du football, et on en a tous marre du football. Mais là, il s’agit du Robocup Soccer 2010, la Coupe du Monde de football pour les robots.

Et les deux finalistes sont allemands… Décidément !

Merci à Aryxo69 pour cette vidéo proposée sur le Forum.

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Calculatrices graphiques Ce billet s’adresse principalement aux élèves de seconde et des classes supérieures.

A la rentrée, votre professeur préféré de mathématiques vous a sûrement demandé d’acheter une calculatrice et plus précisément : une calculatrice graphique. En général, les enseignants recommandent les marques Casio ou TI (Texas Instrument).

Mais saviez-vous qu’il est possible de mettre dans ces petits appareils : des jeux, des applications et bien plus encore… si vous voyez ce que je veux dire. Par exemple, sur ma Casio Graph 35+, j’ai installé un “Morpion”. Bon, cela m’a déjà coûté une sanction mais passons :) .

Pour les Casio, vous trouverez tout ce dont vous avez besoin sur planet-casio.com et jeuxcasio.com.

Pour les TI, c’est plus compliqué car peu de sites se sont spécialisés dans cette marque de calculatrice. En cherchant un peu avec votre moteur de recherche préféré, vous devriez trouver. Sinon vous n’avez plus qu’à vous mettre au Ti-Basic.

En période d’examens, seule la calculatrice peut être interdite, pas les programmes. Donc un programme qui résout… euh non oubliez. Pour vous rassurer, sachez que les professeurs n’ont strictement pas le droit de supprimer vos programmes, ni d’aller les voir d’ailleurs, sauf si vous programmez en classe, ce qui risque d’arriver en 2nd et classe supérieur.

Pour finir, entraînez-vous à lancer et à fermer vos programmes. La Graph 35+ de chez Casio n’est vraiment pas puissante. Par exemple, lorsque je quitte “Mario” (chuuut…), la carte du jeu reste affichée dans le mode graphique de la calculatrice. Il faut donc absolument faire de petits “reset” pour ce type de calculatrice. Les modèles supérieurs sont plus puissants et n’occasionnent peut-être pas ce type de gène.

Mais soyez discrets quand même… ;)

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Android Tout le monde connaît maintenant le système d’exploitation développé par Google : Android. Tout le monde sait aussi que cet OS est gratuit. Et l’on connaît tous la volonté de Google à vouloir le démocratiser en mettant à disposition des programmeurs, les lignes de code qui le composent. Google va plus loin en offrant un SDK (Software Development Kit) pour Android, afin de faciliter la vie des programmeurs.

Mais Google ne s’arrête pas là et a pensé aux programmeurs en herbe en créant son langage de programmation. C’est Simple, un langage tirant sa source du fabuleux BASIC qui a fait le bonheur d’un grand nombre de pseudo-programmeurs par sa facilité de compréhension.

Avec “Simple“, Google s’achemine vers un (nouveau) succès assuré qui permettra d’accroître rapidement la logithèque Android. Gageons que très bientôt, celle-ci devrait être aussi fournie que l’impressionnante logithèque de Palm à son apogée ou que l’actuelle de Windows Mobile.

En tout modestie, j’ai fait partie du monde des programmeurs en titillant des codes sources écrit en BASIC, C ou C++ puis en Visual C++. J’ai donc une expérience de quelques années dans ce domaine et je me suis penché sur la structure de Simple.

Ma première impression n’accroche pas l’enthousiasme de Google pour Simple, surtout si je le compare à la véritable simplicité du premier langage BASIC avec ses PRINT DO IF GOTOSimple s’apparente plutôt au nouveau BASIC en usage dans la suite Microsoft pour construire ses macro-commandes, notamment en suivant un protocole de déclaration et de construction (dim as sub…).

J’ai dit “s’apparente” car en fait sous un air simple, Simple est plus “compliqué” que ça. J’appellerai plutôt ce langage SIMPLE++ car c’est du Basic orienté objet avec des news, des objects et ses implémentations d’instructions. Google prévient que Simple reste un langage puissant : ceci explique donc cela.

Pour programmer Simple, il vous faudra installer sur votre ordinateur les SDK de Java à partir de la version 1.6 et de Android à partir de la version 1.5.
Alors à vos claviers pour de bons petits softs et jeux à foison ! Et n’hésitez pas à nous faire part de vos réalisations dans les commentaires ci-dessous !

Le lien utile : Simple.

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