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evolution_memoire_stockage

L’avenir de Informatique, comme l’avenir de l’Homme, passe sans doute par les nuages (oui je deviens philosophe).

Un dessin très synthétique que j’ai déniché sur 9gag.com.

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evolution_stockage_1979_2013

Une petite image insolite et assez amusante finalement où l’on découvre une machine qui pouvait stocker 256 Mb en 1979. En dessous, on trouve une micro carte SD de 16 Gb, comme on en trouve actuellement n’importe où.

La comparaison est assez spectaculaire et nous montre que l’ingéniosité humaine et la technologie permet de réaliser des choses extraordinaires.

Repéré sur geeksaresexy.net.

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  Aujourd’hui, en cherchant un boîtier pour disque dur externe, je suis tombé sur une giga remise ! Jugez par vous même.

Pour ceux qui n’auraient pas vu, le site propose un boîtier à 5080,00 Euros, prix qui est maintenant revisité à 7,95 Euros. Une affaire donc !

Vive le déstockage sur “Rue du Commerce”.

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Encore une mauvaise nouvelle, ou plutôt deux, pour les pirates du dimanche car deux services de partage de fichiers en ligne viennent à leur tour de déposer les armes.

Après la fermeture de Megaupload, le “direct download” a sérieusement vacillé. Heureusement, et c’est un peu la magie d’Internet, les autres sites de partage de fichiers ont absorbé la masse d’internautes qui ne savaient plus où télécharger leurs films et leurs musiques préférés.

FileServe et Wupload faisaient partie de ces sites alternatifs mais, face à la pression exercée par les autorités américaines, ils ont décidé de limiter leurs fonctionnalités, et d’interdire la fonctionnalité de partage de fichiers au public.

Bon, il faut bien le reconnaître, le “direct download” continue à prendre du plomb dans l’aile. Tout le monde se rend compte qu’il devient plus difficile de télécharger rapidement et que les hébergeurs nettoient régulièrement leurs espaces de stockage, afin d’éliminer les fichiers illégaux.

Personnellement, je pense que nous sommes un peu dans le creux de la vague et qu’il y aura certainement un nouveau site ou un nouveau service qui va prendre le relais et redonner des couleurs au “direct download”. Si vous êtes en manque de fichiers, il vous reste la mule à utiliser sous VPN (mais il faut payer pour avoir un service valable) et quelques logiciels P2P cryptés comme StealthNet.

D’ailleurs, est-ce certains parmi vous ont testé des solutions P2P sécurisées, c’est à dire avec lesquelles on ne risque pas de se faire gauler par HADOPI ? Qu’est-ce que cela donne au niveau vitesse de téléchargement et choix de fichiers ?

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Qui n’a pas déjà effacé une photo par inadvertance sur son appareil ?

Comme souvent sur un support de stockage, seule la référence au fichier a été effacée, mais physiquement, le fichier existe encore. Un logiciel gratuit, Recuva, édité par Piriform, va vous permettre de récupérer les fichiers récemment supprimés sur votre carte mémoire.

Téléchargez Recuva sur le site de Piriform, installez-le et lancez-le. Sélectionnez ensuite le type de fichier à rechercher :

Spécifiez l’emplacement où le fichier doit être recherché :

Choisissez le fichier à restaurer

Cliquez sur “Recover” et Recuva fait le reste !

Notez également que Recuva gère tous les fichiers effacés sur n’importe quel disque ou clé USB !

Un logiciel qui peut vous sauver la vie sur piriform.com.

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C’est ce que tend à démontrer l’équipe de Tom’s Hardware en soumettant à une véritable torture un pauvre disque dur de type SSD (pour Solid-State Drive).

Avant de commencer la description du supplice, mettons au point l’appellation : on ne dit plus disque mais “Espace de stockage à mémoire flash de type SSD”. Évidemment on peut faire plus court et appeler ce nouvel élément “lecteur SSD” ou SSD tout court :-D .

Une rumeur née en même temps que la sortie des premiers SSD, hors de prix soi-dit en passant, décrivait la fragilité de ce type de lecteur à mémoire flash. Etait en cause le nombre limité de cycles lecture-écriture qui, selon la technologie adoptée SLC (Single Level Cell) ou MLC (Multi Level Cell), divise encore par dix cette durée de vie réputée si courte.

Pour ne pas vous perdre dans les différentes techniques utilisées pour la fabrication des SSD, je vous renvoie sur le site de notre encyclopédie mondiale : Wikipedia.

Sachez toutefois que la technologie MLC permettant de stocker plusieurs informations élémentaires (bits) sur une même cellule, a logiquement la durée de vie la plus courte. Et c’est un SSD utilisant cette technique qui sert de support à l’expérience dont je vous parle.

Les bourreaux de Tom’s H. ont donc choisi un SSD, je cite, “Falcon de 128 Go, qui utilise un contrôleur Indilinx et de la mémoire MLC Samsung donnée à ~10 000 écritures (K9HCG08UIM)“. Voilà pour les caractéristiques du condamné.

Le principe de la torture infligée est d’écrire et d’effacer 1 Go de données de manière aléatoire, 24h/24, 7 jours/7, jusqu’à ce que mort s’en suive.

Eh bien l’expérience, commencée il y a deux mois, continue son petit bout de chemin. Le SSD-martyr n’a pas encore rendu l’âme malgré les 300 To écrits et effacés et les plus de 5000 cycles de lecture-écriture subits. N’oubliez pas que ce SSD est donné pour ~10 000 cycles. Les conclusions pessimistes prennent depuis une autre direction.

D’ailleurs les testeurs, par la voix de l’auteur de l’article Pierre Dandumont, martèlent depuis le début “la durée de vie est pour nous un faux problème“. Force est maintenant de les croire et c’est avec soulagement que dorénavant nous pourrons nous aussi profiter des superbes performances de ces nouveaux disques durs. D’autant que les prix ont bien chuté depuis.

Suivre le test sur Tom’s Hardware.

Vous noterez que le lien ci-dessus vous oriente sur une page qui titre entre autre “en 34 nm, il serait mort” et au bas de l’article un lien qui titre “”en 25 nm, il serait mort” tout simplement parce que plus la cellule est petite et moins elle offre de matière d’usure.

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Une étude, parue semble-t-il le jeudi 3 février 2011 aux Etats-unis (mes recherches ne m’en ont pas appris plus sur cette source), avance que la capacité de stockage informatique actuelle équivaut à peine à moins d’un centième de celle stockée dans l’ADN humain.

Les chiffres de cette étude mystère précisent qu’en 2007 toutes les capacités de stockage réunies se montaient à 295 exaoctets (ajoutez 20 zéros pour obtenir le chiffre complet).

Pour information, l’ADN, l’acide désoxyribonucléique (mais est-il nécessaire de le rappeler puisqu’on l’emploie tous les jours sous cette forme lexicale ?) est une macromolécule formée d’une multitude de molécules qu’il faut correctement appeler nucléotides. Ceux-ci sont constitués, entre autres, d’un élément appelé base azotée.

Il existe 4 bases principales pour coder l’information sous forme de séquences, des séquences qu’on peut comparer avec celle utilisée en Informatique : la base binaire (0 et 1). Si une séquence binaire que nous appellerons Octet correspond à 256 états (2^8) voici ce que donne une séquence quadrinaire (permettez-moi le néologisme) : séquence génétique.

Lorsque l’on voit ce que l’Homme peut faire avec deux bases seulement (0 et 1), imaginez ce que Dame Nature peut faire avec 4 bases !

Mais je n’irai pas plus loin dans mes explications car je n’ai ni les connaissances nécessaires à un tel exposé, ni la justification pour sortir de mon sujet. Bref ! Si les chiffres annoncés par cette étude donnent déjà le tournis, ils forcent l’humilité dès qu’on les compare avec ceux dont la nature nous a dotés.

Pour ceux que je n’ai pas découragés, je vous propose un petit résumé de cette étude, publié sur lesechos.fr et un second sur le même site subtilement nommé : Le vertige des mémoires informatiques.

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http://www.youtube.com/watch?v=kvf29R7nXlM

Cette vidéo publicitaire nous montre comment sont fabriquées les cartes SD et les clés USB chez Lexar.

La première partie ressemble à un reportage et est vraiment intéressante. La fin de la vidéo concerne plus l’emballage des produits. Au passage, je pensais que cette dernière partie de montage, serait nettement plus mécanisée.

Et en plus la musique est sympa…

Repéré sur geeksaresexy.net.

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Viafamilia Cela faisait longtemps que je cherchais un site comme viafamilia.

En effet, après avoir testé de nombreux sites gratuits d’hébergement de photos en ligne (Photobucket, Picasa, hiboox…), il y avait toujours un truc qui ne me convenait pas. Soit le nombre de photos pouvant être hébergées était trop faible, soit l’interface du site ne me plaisait pas.

Mais hier, j’ai découvert viafamilia qui propose le partage de photos d’une façon simple. La fonction de création d’album-photos est bien conçue. Il faut installer une applet Java lors de la première création d’album. Celle-ci permet de télécharger ses photos rapidement et facilement, par simple glisser-déposer. Il est possible de les envoyer une par une ou par lot, de les faire pivoter puis de lancer un diaporama paramétrable, en plein écran. (voir un exemple)

Chaque album créé peut contenir 500 photos, sans limite de taille. Le nombre d’album quant à lui, ne semble pas être limité !

Il faut, bien sûr, s’inscrire sur le site. Seul petit inconvénient : il faut fournir l’adresse mail des personnes que vous voulez inviter à regarder vos photos. La solution est de créer un “compte invité” dont vous communiquerez l’identifiant et le mot de passe à votre famille.

Rendez-vous sur viafamilia.com.

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SkyDrive Avec Windows Live SkyDrive, vous pouvez stocker et sauvegarder des milliers de documents. Pour en profiter, vous devez ouvrir un compte Windows Live. Le tout est entièrement gratuit.

Il est possible de créer des dossiers pour organiser et partager vos fichiers. Chaque dossier peut posséder des droits d’accès différents. Par défaut, les fichiers ne sont accessibles qu’à vous-même (mode privé). Vous pouvez également choisir de partager un dossier avec des amis ou carrément de l’ouvrir à tout le monde (mode public). Dans ce dernier cas, vous pouvez encore choisir de limiter l’accès à une lecture seule et donc interdire les modifications.

Les amis qui partagent vos documents peuvent être automatiquement informés quand vous mettez en ligne de nouveaux documents. Il suffit pour cela qu’ils soient inscris sur Windows Live Messenger.

Après avoir testé le service, mon avis est plutôt favorable. L’accès aux fichiers stockés est rapide et le téléchargement se fait relativement vite. C’est au niveau de l’upload, c’est à dire de l’envoi des fichiers sur le serveur, que le service pêche un peu à mon goût. J’ai mis pas loin de 15 minutes pour envoyer un fichier de 49 Mo (la limite est de 50 Mo), en dehors des heures de pointe.

Mais ne faisons pas la fine bouche, le service est de qualité. Vous vous retrouvez avec une super clé USB de 25 Go accessible sur tous les ordinateurs connectés à Internet. Les serveurs de Microsoft sont sécurisés et votre espace est verrouillé par mot de passe.

Il est donc possible de s’en servir pour faire des sauvegardes. C’est plus fiable qu’un disque dur externe car vos données seront protégées et vraisemblablement dupliquées sur plusieurs serveurs. Un module de téléchargement peut être récupéré et installé. Il ajoute la fonctionnalité “glisser/déposer” qui s’avère bien pratique.

On notera également la possibilité de stocker des images ou des photos dans des dossiers spéciaux où elles sont affichées sous forme de miniatures. Une option pratique pour visualiser d’un seul coup ce qu’il y a dans le dossier. Si vous cliquez sur une miniature, elle s’affiche en grand. Un bouton diaporama permet même de les faire défiler.

Bref, Microsoft n’est pas le seul à proposer ce type de service mais son utilisation est simple et claire. Et puis 25 Go, c’est toujours bon à prendre !

Pour profiter de 25 Go de stockage gratuit, un petit tour sur skydrive.live.com.

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