Première partie.
Seconde partie.
Ok, l’ensemble est un peu long mais vous pouvez toujours l’écouter en surfant. Sinon, c’est un bon résumé des positions actuelles et des solutions pour lutter contre le piratage.
Vidéos repérées sur tuxboard.com.
Première partie.
Seconde partie.
Ok, l’ensemble est un peu long mais vous pouvez toujours l’écouter en surfant. Sinon, c’est un bon résumé des positions actuelles et des solutions pour lutter contre le piratage.
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Au risque que ce commentaire ne soit jamais lu, j’ai le sentiments que les invités de cette émission (que je ne connaissais que de nom mais qui s’avère relativement intéressante) ne parlent et débattent que d’une infime partie du problème. Derrière ces fameux enjeux de vouloir séduire le client tout en finançant l’industrie du divertissement (et plus particulièrement l’industrie du disque), nos invités évitent d’aborder le fait que quelque soit l’époque, quelque soit le support et le panel des services proposés, la technologie aura toujours une voir plusieurs longueur d’avances sur eux. Aujourd’hui, et contrairement à ce que ce sympathique PDG de Deezer se plaît à dire, un service "jukebox" sans téléchargement possible est tout bonnement utopique et informatiquement impossible à mettre en place. Je pense qu’il serait bon de rappeler à ces hommes en noirs qu’à partir du moment où une musique d’internet peut-être écouté sur nos enceintes, elle passe obligatoirement par notre carte son. Et tout ce qui passe via cette carte est récupérable. Dernier exemple en date : Deezer. Fin septembre, et suite à la monté croissante de récupération de leur fichier musicaux par les internautes (en passant par le cache du navigateur), Deezer avait décidé de mettre en place un système de streaming dit "plus performant". Et de fait, une fois la mise à jour opérationnelle, une majorité d’utilisateur lambda n’avait plus accès à la récupération de ces fichiers (ou du moins ils n’étaient plus au format souhaité). Mais force est de constater qu’au bout de quelques semaines, de nouvelles solutions pour détourner ces protections ont été mise en évidence sur la toile. Aujourd’hui, même si ce genre de procédé s’avère plus facile à mettre en place sur des OS comme Linux, aucune musique n’est irrécupérable. Même sur Deezer (et je parle en connaissance de cause). Partant de là, il me semble plus salvateur pour le président de Wagram de remettre en cause son point de vue (en prenant exemple sur ce fameux passé dont il préfère oublier la mauvaise prise en compte des besoins du consommateur) plutôt que de se masturber le cerveau à nous sortir de belles théories aux mots complexes qui nous feraient presque oublier le pourquoi de l’émission. Pour finir, j’aimerai dire au gentil monsieur qui n’a quasiment pas parlé de l’émission et qui s’occupe de la surveillance des échange p2p sur le net, que dans l’histoire de la carotte et du bâton, il fait office de décor.
Donc du blabla, du blabla et encore un peu de blabla. De quoi faire reculer le schmilblick.
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