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C’est aujourd’hui le grand jour pour les élèves qui ont passé le Bac, avec l’annonce des résultats dans la matinée. Les admis vont arroser ça, les recalés vont noyer leur chagrin et les autres vont continuer à bosser pour le rattrapage.

En général, les élèves attendent avec fébrilité que l’on vienne accrocher les résultats sur les grilles de leur lycée. Mais, les résultats seront également disponibles sur Internet en passant par le site de l’Education Nationale.

Vous y trouverez une carte de France et il suffira de cliquer sur une académie pour obtenir les résultats. Tant que ceux-ci ne seront pas tombés, vous trouverez une estimation de l’heure de mise en ligne, variable selon les académies (en général vers 10h).

J’espère que le site ne sera pas trop saturé (la touche F5 permet de rafraîchir une page Web) et que le champagne coulera à flots…

Un lien direct vers les résultats sur le site de l’Éducation Nationale : education.gouv.fr.

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L’ICANN, l’organisation en charge de la gestion des noms de domaine, a annoncé récemment la libéralisation des adresses Internet. Les entreprises, car c’est principalement vers elles que la mesure s’adresse, pourront choisir l’extension de nom de domaine qui leurs plait pour leur site, au lieu du traditionnel “.com” et “.fr”.

Il y a actuellement environ 300 domaines. Certains font référence à un pays comme le “.fr” pour les sites français ou le “.be” pour la Belgique, d’autres se rapportent à des domaines génériques “.net”, “.org”, “.com”… Depuis l’an 2000, l’ICANN en avait déjà autorisé quatorze nouveaux, comme le “.xxx” pour les sites pornographiques ou le “.mobi” pour les services mobiles.

La réforme adoptée lundi va donc autoriser les entreprises privées et les organismes intéressés à posséder leur propre extension de domaine. Chaque demande devra être déposée auprès de l’ICANN et coûtera la bagatelle de 185.000 dollars, auxquels s’ajouteront 25.000 dollars de frais de gestion par an. Ce n’est pas donné quand même !

Concrètement, cela signifie par exemple que Sony, la multinationale japonaise, pourra déposer un “.sony” et gérer l’ensemble de son site comme elle l’entend, avec, pourquoi pas, un nom de domaine pour chacun de ses appareils comme : www.playstation.sony.

Les candidats pourront soumettre leur demande à partir du 12 janvier 2012, lors d’une première phase de 90 jours. Les mises en ligne devraient avoir lieu début 2013.

La ville de Paris serait déjà candidate pour un original “.paris”.

Plus d’infos sur lefigaro.fr.

Article proposé par mail par Darkadok.

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Avec ces histoires de fuites au BAC 2011, on se rend compte de l’importance d’Internet dans notre vie sociale. Une personne poste une partie d’un sujet sur un forum et 48h plus tard, c’est le ministre de l’Éducation Nationale, en personne, qui en prend plein les dents et qui est obligé de prendre des mesures. Les informations se répandent à une vitesse inimaginable !

Un petit point sur l’affaire de la fuite du sujet du BAC 2011 en série S : le désormais célèbre Chaldeen serait actuellement en garde à vue dans les locaux parisiens de la police judiciaire, avec son frère. Il risque de “manger chaud”, c’est dire trois ans de prison et 9000 euros d’amende.

De son côté, Luc Chatel, notre ministre de l’Éducation Nationale, a décidé de ne pas annuler l’épreuve du bac S mais de “neutraliser le premier exercice” et de faire noter l’épreuve sur les trois exercices restants. Le problème, c’est que ce premier exercice était relativement facile, et certains élèves pensent logiquement qu’ils vont perdre des points.

Du coup, une pétition circule contre la décision du ministre. Elle est soutenue par l’Association des professeurs de mathématiques, la FCPE, les syndicats FIDL et UNL… C’est déjà la grande panique !

Mais, la fuite ne s’arrête pas là. Des reporters de RTL affirment que des SMS (merci encore les nouvelles technologies) tournaient sur les portables de lycéens parisiens avec les sujets d’Anglais et de Physique, toujours en section S. La confirmation est tombée mercredi matin lorsque les sujets ont été ouverts. Des fuites auraient également eu lieu avec l’épreuve de Mathématiques en ES. Vous trouverez quelques sons et les images en question sur rtl.fr.

Et dire que s’il y avait eu Internet quand j’ai passé mon BAC, j’aurai peut-être eu une mention !

A partir d’aujourd’hui, je milite pour que l’on rajoute une nouvelle mention : “BAC obtenu sans avoir lu les sujets la veille”…

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http://www.youtube.com/watch?v=Y-IPA5NfJ6M

Il y a une quinzaine de jours, Arte a proposé une soirée thématique sur le milieu du hacking.

Si, comme moi, vous n’aviez pu être devant la télé, voici une séance de rattrapage. Le reportage est intéressant et vraiment bien documenté, contrairement à ce que l’on peut voir sur d’autres chaînes…

Le débat qui suit est particulièrement intéressant et démontre bien qu’HADOPI n’est qu’une pitoyable supercherie qui ne fonctionnera jamais.

A voir et à revoir

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La semaine dernière, je me suis (une nouvelle fois) insurgé contre HADOPI et sa future campagne publicitaire qui m’apparaît aussi ridicule qu’inefficace. C’est tout simplement du gaspillage d’argent public destiné à sauver le modèle économique dépassé des majors de la musique. Bref, c’est n’importe quoi !

Dans un des commentaires du billet, Rames, un fidèle lecteur du blog, nous a proposé un site amusant mais également vraiment intéressant : Pourquoi je pirate ?

Personnellement, je souhaiterai, comme tout le monde d’ailleurs, que les artistes reçoivent une juste rétribution pour leurs œuvres car “toute peine mérite salaire !”. Mais je ne peux supporter l’idée que nos dirigeants utilisent le prétexte du piratage pour tenter de contrôler et de verrouiller Internet. Donc, et en attendant une solution qui se rapprocherait, à mon avis, de la “licence globale”, je comprends ceux qui téléchargent pour démontrer qu’HADOPI n’a aucune raison d’exister.

Donc à la question “Pourquoi je pirate ?”, je répondrai : “pour démontrer qu’HADOPI ne sert à rien“.

Si vous avez une autre réponse, je vous invite à aller la poster sur pourquoijepirate.fr.

Vous y trouverez déjà des centaines de réponses originales. Certaines sont parfaitement fantaisistes mais d’autres sont autant d’arguments en faveur du piratage, enfin en faveur de la diffusion massive des œuvres (ça fait plus sérieux).

Je vous conseille le Top Pirate ! qui réunit les réponses les plus populaires comme :

Ajouter vos arguments sur pourquoijepirate.fr.

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Heureusement, il existe un site qui vous permettra de faire un “point concret sur une situation très problématique”.

Ce site, c’est perdu.com et, comme vous allez immédiatement le constater puisque vous êtes aussi curieux que moi, vous vous rendrez compte qu’il vous indique exactement l’endroit où vous vous trouvez sur Internet.

Plus sérieusement, ce site est un détournement du concept du “vous êtes ici”, souvent affiché sur les arrêts de bus ou sur des panneaux indicateurs. Il est constitué d’une seule et unique page qui indique par un astérisque l’emplacement où vous êtes sensé être.

Grâce à Wikipedia, j’ai également appris que cette page était assez célèbre (elle existe depuis 1996 !) et qu’elle est souvent utilisée par les administrateurs réseaux pour tester les connexions des machines dont ils s’occupent. Son interface minimaliste est très réactive et renvoie des réponses HTTP très rapides.

Un grand merci à Darkadok pour cette trouvaille partagée par mail.

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L’actualité du moment dans le monde et en France, c’est bien entendu l’affaire Strauss-Kahn. Sur ce blog, principalement consacré à l’Informatique, on ne s’occupe pas de politique, ce n’est pas notre rayon. Donc, je ne m’étendrai pas sur cette affaire DSK. J’ai d’ailleurs choisi de publier ce billet quelques jours après le déferlement médiatique.

Par contre, cette affaire a mis en avant, encore une fois allez-vous me dire, le rôle prépondérant d’Internet comme première source d’information. D’ailleurs, les journalistes n’hésitent plus à dire que leurs tuyaux viennent du Net. Cette fois-ci, c’est Twitter qui est au centre du système. L’information n’a jamais circulé aussi rapidement et parfois même, c’est en temps réel qu’elle arrive.

Les deux exemples qui vont étayés mon propos sont vraiment explicites.

Tout d’abord, l’affaire DSK a carrément commencé sur Twitter et presque en temps réel ! C’est un Franco-Canadien, Jonathan Pinet qui a twitté la nouvelle avant les “médias classiques”. Il aurait été informé par un ami new-yorkais et a posté ce tweet à peine une heure après l’arrestation :

Source de l’image.

Ensuite, Twitter a également joué un rôle primordial pendant que DSK et son avocat tentaient de négocier avec la juge une libération sous caution. Les journalistes présents, qui ne pouvaient utiliser leur portables, ont twitté secondes par secondes ce qu’il se passait dans le tribunal.

Les radios et les télévisions relayaient donc, avec quelques secondes de retard, les messages postés par les journalistes. Tout ceci montre bien une certaine évolution dans la manière de traiter l’information. Certes, nous sommes maintenant au courant plus rapidement de ce qu’il se passe dans le monde mais cette réactivité exacerbée se fait forcément au détriment d’un certain recul par rapport à l’information.

On relaie vite mais sans vérifier les sources, ni la véracité des événements. Le métier de journaliste perd de son intérêt. J’aime vraiment Internet mais un jour, une fausse rumeur sera prise au sérieux et relayée par tous les médias. Ce sera sans doute dramatique…

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Chaque jour, je vous propose, dans mes billets, ce qui m’intéresse au moment où je rédige. Le plus souvent, je vous parle de ce qui m’apparaît comme “le meilleur” du Net. Mais, comme vous le savez tous car vous n’êtes pas tombés de la dernière pluie, Internet recèle également de sites et de vidéos qui ne sont pas jolies jolies.

Rassurez-vous quand même, je ne vais pas vous parler de trucs supers crades ou vous montrer des vidéos qui heurtent la morale mais je suis tombé, cet après-midi, sur une petite guéguerre par vidéos interposées entre des internautes qui sortent franchement de l’ordinaire car ils sont omniprésents sur les sites d’hébergement de vidéos.

Donc, au départ, il y a Jean Michel du 59 qui s’éclate à faire des reprises toutes moisies. Joharno, qui se prend pour une star du Web, prend sur lui de lui dire que ses reprises sont de la merde. D’un côté, ce n’est pas faux. Mais notre sympathique nordiste a le droit de faire ce qu’il veut. Le problème, c’est qu’il est susceptible. Il décide donc de se rebeller et de pourrir Joharno dans des vidéos.

C’est là qu’entre en scène un groupe de sombres imbéciles (ou de gars qui s’amusent à faire monter la sauce, je n’arrive pas à savoir) qui tentent de défendre le nordiste courroucé, au grand damne de Badboy, un pote de Joharno qui est lui-même bien gratiné :

Jean Michel du 59 se fâche alors. Attention tout de même aux personnes sensibles au langage châtié car ça envoie bien :

http://www.youtube.com/watch?v=jTptN0VzPs4

Suite à cette grosse colère baveuse (au sens propre) et aux grosses hésitations de diction de Jean Michel du 59, Badboy se fend d’une cinglante réaction, toute en couleur, elle aussi. Et encore, il annonce qu’il ne va pas s’énerver :

Et puis il y a le Joharno qui en remet tranquillement une couche, l’histoire que l’on touche vraiment le fond du panier :

http://www.youtube.com/watch?v=F9KjFqRn0TM

La grande classe quoi !

Au final, et peu importe le véritable ordre chronologique des vidéos ci-dessus, on rigole pas mal en les regardant car ces types ont vraiment de tronches à faire peur. On apprend également quelques expressions hallucinantes qui, elles, m’ont fait mourir de rire (merci Badboy)…

Et puis rassurez-vous, les gars s’attendent chacun chez eux tranquillement, derrière leur webcam, en pensant être les plus forts. Aucun risque qu’ils se mettent sur la tronche, donc ils peuvent finalement continuer à nous faire rire.

Pour conclure, et après y avoir réfléchi devant une bonne bière, je pense que tout ceci fait partie d’une thérapie de groupe. Mais il y a quand même du boulot !

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Suite à la demande Grissom dans un commentaire il y a quelques jours, voici, résumées dans le même billet, les adresses des sites qui hébergent les cartes des hotspots Wi-Fi gratuits des principaux fournisseurs d’accès Internet.

Le principe est à peu près le même partout : vous laissez une partie de votre propre réseau Wi-Fi ouvert au public et, en échange, vous pouvez vous connecter à tous les hotspots ouverts. C’est donnant, donnant. La combine consistant à échanger ses identifiants avec des personnes de confiance est bien pratique mais risquée.

La liste des hotspots en fonction des fournisseurs :

– chez FON : maps.fon.com

– chez SFR : cartewifi.sfr.fr

– chez Free : freebox-wifi.fr

– chez Bouygues Telecom : cartographie.bouyguestelecom.fr

Après j’ai essayé certains sites qui se vantaient de référencer un maximum de hotspots totalement gratuits (genre Mac Do, Quick…) mais je trouve que les réponses données ne sont pas vraiment à jour.

J’ai cru lire également, il y a quelques temps, qu’Orange allait proposer le même service d’ici la fin de l’année. A vérifier…

Enfin, si vous connaissez d’autres services fiables permettant de repérer des points d’accès Wi-Fi publics, n’hésitez pas à les poster dans les commentaires de ce billet. Je les rajouterai à cette liste…

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Elle envoie gravement du pâté la grand-mère !

Cette vidéo a été réalisée par l’Institut de l’Internet et du Multimédia (IIM) avec la participation de Lucienne du Petit Journal de Canal +.

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