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Opera Je ne suis peut-être pas au top des connaissances sur Opera, le célèbre navigateur norvégien dont je ne cesse de faire l’éloge, mais je suis au top des recherches personnelles ! Croyez-moi, depuis que j’ai découvert ce browser, je n’ai de cesse de le personnaliser afin de le rendre toujours plus pratique à utiliser.

Ma dernière trouvaille concerne le moteur de recherche du site pédagogique MediaDico. Ce site offre plusieurs occasions de ne pas se priver de son contenu : dictionnaire ultra complet gratuit, barre d’outil et gadget, moteur de recherche, sans oublier l’information RSS et par mail… (excusez du peu). Pourtant, il reste cantonné aux standards d’Internet explorer et de FireFox, ce qui pour ce dernier est une forme et une preuve de plus de reconnaissance. Mais que nenni pour mon Opera…

C’était sans compter sur mon opiniâtreté et voici donc l’astuce :
– faites apparaître la boîte de Préférences du navigateur (Ctrl + F12)
– onglet Recherche
– définissez un nouveau moteur ayant pour nom MediaDico :
mot-clé : m (ou ce que vous voulez d’autre)
adresse : http://www.mediadico.com/dictionnaire/1/%s/1

Si ce n’est déjà fait, installez la barre de recherches multi-moteurs et testez MediaDico :
– cliquez sur la flèche de la boîte de recherches,
– choisissez le moteur de Mediadico,
– inscrivez un terme quelconque et appuyez sur la touche “Entrée”.

Vous serez immédiatement dirigé vers le site de MediaDico sur la page dévoilant la définition de l’occurrence recherchée.

Via : MediaDico.

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Download Youtube Voici une nième petite astuce qui va vous permettre de télécharger les vidéos hébergées chez Youtube. Le charme de cette solution est d’être ultra simple.

Lorsque vous êtes en train de visionner une vidéo sur Youtube, il vous suffit de rajouter les lettres “pwn” avant le mot “youtube” dans l’URL de la page. Vous êtes à présent connectés au site pwnyoutube.com qui va vous permettre de télécharger le fichier vidéo en qualité standard (FLV) ou en haute qualité (MP4).

pwnyoutube.com

Je trouve vraiment cette astuce simple et pratique. Le téléchargement est rapide et le service est gratuit, sans inscription.

Via : pcinpact.com

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Opera Après avoir (très peu) hésité, j’ai entrepris d’installer la version 10 Alpha d’Opera. Une preuve de plus, s’il fallait encore le démontrer, que je suis complètement séduit par ce browser. :-)

Comme pour toute installation, il m’a fallu passer par la remise en place des réglages personnalisés. Le bon côté avec Opera, c’est que sa simplicité conduit à un gain de temps appréciable. Malheureusement, la dernière version est dotée d’un correcteur orthographique qui est par défaut en anglais… et le français n’est pas proposé.

C’était sans compter sur la communauté d’Opera qui nous dévoile le procédé pour installer le dictionnaire français :

– télécharger ce fichier zip
– extraire les fichiers et les placer dans le dossier :
C:\Users\votre nom\AppData\Roaming\Opera\Opera 10 Preview\profile\dictionaries
– redémarrer le navigateur.

Vous pouvez constater que les mots dans les champs-texte se soulignent de rouge au fur et à mesure de la frappe. Dans le cas où le dictionnaire anglais est toujours actif, un clic-droit affichera dans un menu contextuel le sous-menu “Language“. Optez alors pour le dico français que vous venez d’installer.

Pour information :
Cette nouvelle version 10 alpha de Opera s’avère très stable. Je vous conseille vivement de l’installer pour profiter des dernières nouveautés comme un gain encore accru du chargement des pages web, une compatibilité quasi totale avec le standard W3C et une messagerie qui supporte le “html”.

Vous pouvez récupérer Opera 10 alpha sur opera.com.

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Opera Dans la série des astuces pour mon nouveau navigateur préféré, j’ai choisi de vous présenter le correcteur d’orthographe directement exploitable dans les champs de texte.

Cette fonction était présente avec la barre d’outil Google mais les programmeurs du célèbre site de recherche n’éprouvent pas le besoin d’en compiler une version pour Opera.

Heureusement un ingénieux blogeur a mis au point un script qu’il suffit de placer dans le dossier que vous avez réservé à cet effet et déclaré dans les paramètres de Opera, le nom général conseillé pour ce dossier est UserJS. Les habitués se repéreront. ;-)

Pour apprécier le résultat, voici pour commencer deux screenshots des résultats obtenus :

Opera Opera

Utilisation :
Dès que l’on clique dans un champ texte, un bouton avec des doubles flèches vertes apparaît. Si la langue n’est pas le français, vous pouvez la changer en cliquant sur le nom de la langue. En cliquant sur les doubles flèches, le correcteur se met en action. C’est tout et c’est hyper pratique !

Installation :
Simplement placer ce fichier ospell dans le dossier UserJS. Vous pouvez aussi, très accessoirement, placer dans ce même dossier le fichier qui gère les préférences : a_ospell_prefs.

A votre clavier maintenant !

Et bon switch sur Opera.

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Opera J’accroche décidément bien avec le navigateur Opera et je passe actuellement un peu de temps à le triturer pour le façonner selon mes envies. Après vous avoir expliqué comment faire apparaître à volonté la barre de menu, je vous propose donc une nouvelle astuce qui vous permettra d’activer l’onglet de votre choix au démarrage d’une session.

En effet, lorsque l’on veut ouvrir une session d’Opera avec plusieurs onglets, ce n’est pas forcément le premier de la série qui s’affiche, ce qui serait nettement plus logique (IE fonctionne comme cela d’ailleurs). En fait, l’onglet “principal” est choisi sur je ne sais trop quel critère au moment de l’enregistrement de la session. Par exemple, chez moi, sur une session de 8 onglets, c’était toujours le 6ème qui s’activait une fois toutes les pages chargées alors que je voulais que ce soit le 8ème : celui d’EspaceRezo bien sûr !

Heureusement, il existe une astuce pour remédier à ce petit inconvénient :

– éditez le fichier “C:\Users\votre identifiant\AppData\Roaming\Opera\Opera\profile\sessions\Démarrage.win
– recherchez-y les termes : active=1

Vous remarquerez que tous les onglets sélectionnés pour la session y figurent avec des paramètres particuliers. Vous constaterez aussi que l’occurrence recherchée ne figure qu’une fois pour la simple raison que les autres “active” sont positionnés à 0.

Il suffit maintenant de mettre à “0” l’onglet qui ne vous intéresse pas et de mettre “1” à l’onglet choisi.

Le navigateur “Opera” est téléchargeable gratuitement sur opera.com.

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Opera Dans la gamme des navigateurs offerts aux internautes, les fidèles visiteurs savent déjà que si j’ai rompu définitivement avec Internet Explorer 7, mon choix ne s’est pas encore fixé entre FireFox et Opera. C’est à ce dernier que j’accorde, pour l’instant, toutes mes faveurs. Je suis notamment charmé par sa rapidité de lancement et de chargement des pages.

Opera est excellent mais je ne le trouve pas parfait. C’est peut-être à cause des habitudes solidement ancrées par IE7. Certaines fonctions absentes m’empêchent de finaliser mon choix. Par exemple, même si certains “Opera-philes” s’en étonnent, la barre d’outils de Google me manque cruellement. J’ai toujours apprécié la traduction instantanée des mots anglais ou la recherche de termes surlignés et multi colorisés, pour ne citer que ces fonctions.

Toutefois, à force de recherches opiniâtres, j’ai trouvé quelques astuces pour modifier le navigateur comme je le souhaite. Je vous propose donc une petite manipulation qui permet de masquer et faire apparaître à volonté la barre de menu.

Le seul moyen pratique d’y parvenir est d’utiliser un raccourci clavier comme pour IE où la touche “Alt” gère cette option :

– ouvrez le menu “Outils/préférences…” ou utilisez les touches “Ctrl + F12”
– dans l’onglet “Avancé“, sélectionnez “Raccourcis
– cliquez sur “Editer…” de la configuration du clavier
– dans la fenêtre de recherche, tapez “menu bar“, il ne restera plus alors qu’un raccourci
éditez-le (bouton “Editer…”) et collez-y : “Platform Windows, F6

Dorénavant, l’utilisation de la touche “F6” fera apparaître ou disparaître la barre de menu. Vous pouvez, bien entendu, choisir une autre touche mais “F6” n’est pas utilisée contrairement aux autres.

Le navigateur “Opera” est téléchargeable gratuitement sur opera.com.

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OpenOffice Impress Peut-être connaissez-vous l’astuce qui permet de récupérer la jolie musique qui accompagne le diaporama d’un fichier “.pps” ? Sinon, voici la démarche à suivre :

– ouvrir le fichier “.pps” avec PowerPoint
– l’enregistrer sous…
– choisir le format “html”
– choisir un dossier sur le disque dur pour l’enregistrement.

Dans le dossier concerné, au milieu des images et autres fichiers “html”, vous découvrirez alors le fichier musique au format utilisé originellement : “.mp3” ou “.wav” pour les plus courants. Seulement voilà, il faut le logiciel payant Microsoft PowerPoint

Mais la bonne nouvelle, c’est que cela fonctionne également avec la suite gratuite OpenOffice ! En l’occurrence, lors de l’installation de cette suite, ne négligez pas d’installer OpenOffice Impress avec lequel vous pourrez créer d’autres fichiers “.pps”.

Vous pouvez télécharger gratuitement la suite OpenOffice sur fr.openoffice.org.

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youtube Voici une astuce bien pratique qui permet de faire démarrer une vidéo Youtube à un endroit bien précis.

Pour cela, vous avez juste à rajouter à la fin de l’URL de votre vidéo, le code correspondant au moment où vous voulez commencer la lecture, sous la forme : “#t=1m30s” (ici, la lecture commencera à 1m30s).

Voici un exemple où la vidéo démarre directement au cÅ“ur de l’action (et quelle action !) : http://www.youtube.com/watch?v=6pLqTOdiFh0#t=4m20s

Découvert sur l’excellent descary.com.

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Ereader Après vous avoir présenté ABU, la Bibliothèque Universelle, je vous propose une astuce pour créer des eBooks lisibles avec le logiciel eReader fourni gratuitement par la société Fictionwise. Le logiciel eReader (ex Palm Reader) existe pour les appareils de type Palm, Pocket PC, Windows Mobile smartphone, Symbian PC et Mac. Les linuxiens devront passer par une passerelle Java. Désolé pour eux…

L’astuce consiste à transformer un document au format “.doc“, en un fichier “.pdb“, un format bien connu des utilisateurs de Palm. Il faut dire qu’eReader a été conçu pour fonctionner sous Palm à l’origine. Bien sûr, il existe des sharewares pour faire ce travail mais, dans l’esprit du web et du tout gratuit – car quoiqu’en pensent certains, Internet n’a jamais été le prolongement d’une zone commerciale – ce petit travail personnel a le mérite de ne rien coûter !

Possédant personnellement un PdaPhone c’est à dire un PDA qui fait téléphone (ne pas confondre avec un smartphone), voici la technique testée et approuvée par mes soins pour y parvenir. Outre les logiciels courants que tout le monde possède, vous aurez besoin du logiciel de conversion fourni gracieusement par eReader, DropBook et du freeware RTF2PML.

Nous pouvons commencer :
– récupérer sur le site ABU l’Å“uvre que vous voulez convertir
– éditez-le avec un traitement de texte (Wordpad par exemple) et enregistrez-le au format “Rtf”
– à l’aide de RTF2PML, convertissez le fichier “Rtf” au format “Pml”
– utilisez DropBook, pour convertir le fichier “Pml” au format “Pdb”

Vous obtenez au final un fichier compressé pesant deux fois moins que le fichier original. Placez votre eBook dans le dossier Palm/Books que vous aurez pris soins de créer si ces dossiers n’existaient pas. Vous pouvez maintenant déguster votre eBook avec eReader. Bonne lecture !

Afin de vous épargner ce travail, vous pouvez trouver des eBooks libres et gratuits sur litteratureaemporter.free.fr et sur ebooksgratuits.com.

Billet envoyé par email et proposé par JClaude.

Edité le 09/02/2009 : l’auteur du programme “rtf2pml.exe” a eu la gentillesse de nous apporter quelques précisions que vous pourrez découvrir dans les commentaires qui suivent ce billets.

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CrystalDiskMark Des fois, on a vraiment l’impression que son ordinateur rame. Une des causes de ces ralentissements peut être la lenteur de votre support de sauvegarde : un disque dur, en général. Il est donc intéressant de connaître la qualité de ce composant important de votre machine. Personnellement, j’utilise le petit logiciel gratuit “CrystalDiskMark“.

Le programme est fiable, léger et assez précis pour donner une bonne idée des performances de vos supports numériques. Grâce à lui, j’ai réussi à repéré une lenteur anormale de l’un de mes disques durs dont la nappe s’est avérée finalement défectueuse.

Vous pouvez le télécharger gratuitement sur crystalmark.info. Il suffit de décompresser l’archive et de lancer le fichier “DiskMark.exe”.Il existe également une version portable du programme qui se trouve d’ailleurs dans l’excellente Liberkey. Une fois lancé, vous sélectionnez le support que vous souhaitez tester, vous laissez les réglages par défaut et c’est parti.

Le test intégral dure 5 bonnes minutes et varie en fonction de la qualité de vos supports. Si vous êtes un peu pressé, la première partie du test peut largement suffire à se faire une idée. Il s’agit de la première ligne que vous démarrez en cliquant sur “Seq“. Laissez-le faire les 5 séquences par défaut, pour que l’estimation soit plus réaliste. Les exemples que je vais vous donner ont été réalisés sur ce modèle.

Afin de vous donner un ordre d’idée, voici les résultats arrondis à l’unité supérieure que j’ai obtenu avec les 3 disques durs de mon ordinateur principal (lecture/écriture) :

– pour C (Western Digital ATA de 160 Go) : 43/40
– pour D (Hitachi DeskStar 7K250 SATA de 160 Go) : 27/26
– pour H (Maxtor SATA de 500 Go) : 102/99

Comme vous pouvez le constater (petit screenshot du billet en haut à gauche), le Maxtor 500 Go que viens d’acheter est une petite bombe. Je le recommande donc vivement. Il va d’ailleurs falloir que j’installe mon Windows dessus au prochain formatage !

Maintenant, passons aux supports amovibles. J’ai fait passer le test à tout ce qui me tombait sous la main. Voici les résultats toujours obtenus avec CrystalDiskMark et dans les mêmes conditions :

– clé USB Sony 1 Go : 15/5
– clé USB Kingston 8 Go : 20/5
– clé USB Corsair Flash Voyager 16 Go : 30/9
– carte SD SanDisk 1 Go : 11/6
– carte SD PNY 2 Go : 16/6
– carte SD HC PNY 8 Go : 18/9

Avec ces données, on se rend compte que la clé USB Corsair Flash Voyager est très rapide et laisse loin derrière ma clé Kingston qui tire son épingle du jeu en lecture seulement. Effectivement, il ne faut pas être pressé pour la remplir. D’un autre côté, elle ne m’a pas coûté très cher non plus (points fidélité d’Orange).

Pour aller un peu plus loin, vous pouvez aller jeter un Å“il sur le forum de liberkey.com. Des utilisateurs donnent les performances de leurs clés USB. Quelques sites proposent également des comparatifs. J’aime bien celui de lesnumeriques.com même s’il date un peu. N’hésitez pas non plus à regarder les avis des acheteurs sur les sites de vente en ligne.

Donc, si vous devez acheter une clé USB, pensez à vous renseigner sur ses performances et à faire des recherches sur Internet. Les disparités sont grandes entre les supports de stockage et même au sein d’une marque donnée ! Il me reste maintenant à tester les fameux disques SSD de mon EeePC mais ce sera l’objet d’un nouveau billet…

Vous pouvez récupérer CrystalDiskMark sur crystalmark.info et poster les scores de vos supports dans les commentaires de ce billet.

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