Parfois, le monde de l’Informatique n’est pas si éloigné du monde réel…
Image repérée sur geeksaresexy.net.
EspaceRezo
Astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir !Affichage des articles dans Divers
Voici un petit bricolage amusant pour occuper vos enfants quand il fait mauvais temps pendant les vacances.
Munissez-vous d’une brosse à dents, d’une pile “bouton”, d’un vibreur de téléphone usagé et d’un peu de scotch (du ruban adhésive, pas la boisson alcoolisée…quoique 
). Assemblez tous ces éléments pour fabriquer un petit “robot brosse à dents” qui se déplace tout seul.
Ce montage, qui n’est d’ailleurs pas vraiment récent (mais que je ne connaissais pas), est proposé sur le site evilmadscientist.com. Vous y trouverez des explications très détaillées pour réaliser ce petit robot insolite, ainsi que cette vidéo :
Pour les perfectionnistes, voici une version améliorée de l’engin :
Vous pouvez également passer à la taille au-dessus avec la version balai :
Idée et vidéo proposées par Aryxo69 sur le Forum.
Vous vous souvenez sûrement de l’excellente vidéo présentée par Bob montrant une bande de surfeurs marchant sur l’eau.
En fait, il s’agit d’une pub pour des chaussures !
Voici un autre exemple de vidéo basée sur le même principe :
Elle annonce la création d’un pont sur la Méditerranée entre Marseille et Calvi. Elle a fait un petit buzz sur le Net et la rumeur de la construction d’un pont reliant le continent à l’Ile de Beauté s’est vite propagée en Corse, faisant l’objet de nombreux articles.
Il s’agit là encore d’une publicité, cette fois-ci pour une compagnie maritime. Le publiciste a même créé un faux groupe d’opposants au pont sur Facebook, auquel sont venus se joindre de vrais opposants !
Ce type de publicité, basée sur la rumeur et le buzz sur le Net s’appelle du Marketing Viral. Pour en savoir plus sur ce procédé, je vous invite à écouter cette chronique de France Info, “Le vrai du faux”, sur cette page.
Il faut cliquer sur “La chronique de Mathieu Aron”. Écoutez jusqu’au bout car la fin est savoureuse et vaut le coup d’être entendue !
Une remarque pour finir : il devient vraiment difficile de distinguer la réalité des impostures sur Internet et je trouve cela un peu inquiétant… pas vous ?
On m’a souvent posé la question : “est-ce qu’il existe aussi des virus sur les téléphones portables ?”. Et la réponse est… OUI car tout appareil communiquant est susceptible de télécharger des données contenant des codes malveillants.
Il y aurait actuellement plus de 400 virus identifiés et leur nombre est en constante augmentation. Le premier virus pour téléphone portable est apparu en 2004. Il se nomme “Cabir” et a simplement été écrit pour démontrer qu’un tel virus pouvait exister. Certains développeurs se sont ensuite empressés de lui programmer des petits frères beaucoup plus nocifs.
Les effets des virus peuvent êtres variés :
– déchargement de la batterie car ils cherchent à se connecter en permanence pour se reproduire,
– envoi de SMS surfacturés,
– vol de données personnelles,
– utilisation comme téléphone “zombis” pour réaliser des campagnes de “mail-bombing”…
Avec plusieurs milliards de téléphones portables dans le monde, on se rend bien compte que la protection de ces machines est un véritable enjeu. Les téléphones dits “intelligents” sont particulièrement sensibles car ils peuvent communiquer entre eux. Les vieux appareils qui possèdent des systèmes d’exploitation “fermés” ne risquent pas grand chose.
En 2005, lors de Championnats du Monde d’Athlétisme à Helsinki, un virus très virulent s’est très rapidement répandu dans le public. Baptisé “CommWarrior“, il se diffusait par la connexion bluetooth des appareils. Les responsables ont même dû alerter les utilisateurs avec des messages sur l’écran géant du stade !
Heureusement, il semble que, pour l’instant, la prolifération des virus soit moins importante sur téléphone que sur ordinateur. La raison est très simple : la diversité des systèmes d’exploitation protège nos machines. Il est plus intéressant de développer un virus susceptible d’attaquer un ordinateur sous Windows (90 % des machines dans le monde) que de travailler sur un code qui s’adresse à des appareils sous Android (2 % de part de marché).
Cette dispersion, si elle de confirme dans l’avenir, jouera un rôle de protection naturelle. Actuellement, la cible préférée des pirates spécialisés dans les smartphones, est, bien entendu, l’iPhone grâce (ou à cause) de son succès commercial.
Passons maintenant en revue quelques mesures pour se protéger :
– installer un pare-feu pour prévenir l’utilisateur quand un programme tente de se connecter à Internet,
– installer un antivirus : il y a de grandes chances que de tels programmes soient installés nativement dans les années à venir,
– basculer sa connexion bluetooth en mode “non repérable” (possible sur les appareils récents),
– utiliser un système d’exploitation pas trop répandu mais là il faut vraiment être terriblement anxieux.
La plupart des informations contenues dans ce petit billet proviennent de mes recherches sur la Toile. Je me suis également appuyé sur un très bon article rédigé par Mikko HYPPONEN (responsable de la recherche chez F. Secure) et tiré du magazine “Dossier pour la Science” n°66 (janvier-mars).
Je trouve cette image vraiment poétique.
Notez le sourire crispé, à la fois ironique et désespéré, de cet utilisateur face au célèbre “écran bleu” de Windows. Déjà, ce n’est pas très agréable d’en avoir un devant soi… mais alors trois !
Mais justement, tout le plaisir avec Windows, c’est que lorsque l’on est au fond du trou (comme sur cette image), on apprécie d’autant plus la sortie de crise. Ça me rappelle un de mes billets préférés…
Repéré sur lmaoatlife.tumblr.com.
Personnellement, je savais que les produits informatiques telles que les cartes mères et certains connecteurs contenaient de l’or.
Certes très peu mais en raison de ses propriétés exceptionnelles de ductilité (capacité à être étiré sans rompre) d’inaltérabilité et de conductibilité de ce noble et très cher métal. Ce que je ne savais pas, c’était de quelle manière on pouvait récupérer cet or.
C’est au site Tom’s hardware que je dois de ne plus me poser la question.
Étape par étape, dix-huit en tout, Yannick Guerrini, auteur de ce documentaire, nous montre la façon de procéder. Attention, l’auteur prévient, ce n’est pas à la portée de tous, et le procédé comporte quelques dangers. Toutefois et pour notre “enrichissement”, je vous invite à suivre les diverses étapes de ces nouveaux chercheurs d’or.
Après cette visite, dites-nous si vous aussi vous partirez dans le far-west !
“Récupérer l’or des cartes mères” sur presence-pc.com.
Vous n’en avez pas encore assez de cet instrument qui nous ruine les oreilles lors des matchs de la Coupe du Monde ?
Alors voici un simulateur de Vuvuzela pour prolonger le supplice !
D’un autre côté, ça m’évite d’entendre les bons vieux commentaires de Jean Mimi Larqué…
Billet proposé par David sur le Forum.
En informatique, un curseur est un pointeur utilisé pour se repérer dans une interface graphique. Plus simplement, le curseur affiche la position de la souris. On en trouve donc dans tous les ordinateurs.
Mais d’où viennent-ils ?
L’hypothèse la plus crédible affirme qu’ils sont élevés dans des forêts spéciales puis soigneusement récoltés par des petits lutins qui les chargent sur des camions à curseurs.
La preuve en image :
Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier alu…
Via gizmodo.fr.
C’est vraiment par hasard, que je suis tombé sur ce sac de couchage insolite. On s’éloigne un peu de l’informatique mais les fans de Star Wars apprécieront sûrement.
Pour 100 dollars vous pouvez acheter le duvet de Luc. Il s’agit d’une réplique du Tauntaun qu’éventre Yan Solo dans Star Wars, épisode V : L’Empire contre-attaque, afin de réchauffer le célèbre Jedi.
Un cadeau raffiné et original pour les petits. J’ai un peu plus de mal avec les dessins de boyaux à l’intérieur du sac mais les puristes apprécieront (il faudra dire aux enfants que ce sont de grands vers de terre ).
Voici une petite image du sac de couchage :
Amusant non ? En plus, comble du raffinement, la fermeture éclair est un petit sabre laser…
Il existe même une vidéo plus qu’originale pour présenter l’objet.
Découvert sur thinkgeek.com.
On connaissait déjà l’entreprise Dyson pour ses aspirateurs à aspiration cyclonique, sans sac, ni perte d’aspiration… Aujourd’hui, la firme de Sir James Dyson a encore innové en créant un ventilateur… sans pales !
Eh oui, c’est possible ! Baptisé Dyson Air Multiplier (c’est original), ce ventilateur se présente sous la forme d’un anneau cylindrique au design plutôt réussi.
La propulsion de l’air s’effectue par effet vortex, ce qui permet la suppression des pales. En clair, l’air est aspiré par la turbine à la base de l’appareil puis propulsé dans l’anneau. Au final, et selon Dyson, le volume d’air “absorbé” par la turbine serait multiplié par 15, grâce à l’aspiration de l’air environnant. Tout ceci est expliqué en détail dans cette vidéo :
Dans tout les cas, le résultat est plutôt sympathique, tant au niveau esthétique (plus de grilles, un anneau design…) que pratique (légèreté, flux d’air continu…). Néanmoins, cet appareil présente un défaut majeur, dû à son niveau technologique, son prix : près de 300€. Un peu cher, pour un simple ventilateur.
Avec un peu d’imagination, on pourrait sûrement adapter ce système à nos ordinateurs afin d’évacuer la chaleur des composants. Ce qu’il faudrait savoir, c’est si ce ventilateur à turbine est bruyant ou consomme beaucoup. Il doit bien y avoir un piège, c’est trop beau…
Plus d’infos sur dyson.com.
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