EspaceRezo

Astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir !

Voici un site particulièrement prenant qui va vous permettre de développer votre esprit  créatif et de réaliser de jolis dessins.

Il a été “découvert” par Vlad’, un habitué du blog, qui s’est empressé de partager sa trouvaille sur le Forum, et je l’en remercie une fois encore.

Le principe est simple : vous bougez votre souris avec le bouton gauche enfoncé sur l’écran et des volutes colorées apparaîtront. La couleur et les axes de symétrie sont réglables, ce qui va laisser libre cours à votre imagination.

La mienne n’est pas très fertile et n’a donné que ça :

Seul petit problème, on ne peut pas sauvegarder l’image directement, mais avec un bon vieux screenshoot, le soucis est vite réglé !

Silk est à essayer absolument sur new.weavesilk.com.

Pour les amateurs de jeux vidéos, voici un site que je viens de découvrir. Au même titre que les réseaux sociaux Facebook et twitter, FanatiC Game est un réseau social dédié aux jeux vidéo.

Vous pouvez discuter avec des personnes jouant sur les mêmes consoles, ou aimant les mêmes types de jeux. Vous pouvez débattre sur la sortie d’un nouveau jeu ou encore partager une astuce.

Le réseau est assez vivant et je vous conseille d’aller y jeter un coup d’oeil : fanaticgame.com.

Et c’est reparti pour une distribution de cadeaux sur EspaceRezo !

Cette fois-ci, c’est notre partenaire AndroidPIT qui s’y colle et qui vous offre 5 coupons de réductions de 15 €, valables sur toutes les applications proposées sur le site.

Pour ceux qui ne connaîtraient pas AndroidPIT, voici une présentation rapide. Il s’agit d’un site spécialisé dans les applications Android. Vous trouverez un “App Center” particulièrement fourni où vous pouvez télécharger des applications gratuites ou payantes pour votre smartphone ou votre tablette. Vous trouverez également des tests très complets qui vous aideront à choisir les logiciels les plus adaptés à votre utilisation.

Mais revenons aux cadeaux. Il n’y a aucune restriction dans le temps, ni aucune obligation d’achat concernant ces 5 coupons mis en jeu. Ils peuvent être utilisés en plusieurs fois. Lors du premier téléchargement, si le coupon n’est pas entièrement utilisé, le reste de la somme peut être utilisé plus tard, pour une autre application.

Je vais vous mettre l’eau à la bouche avec les applications payantes les plus téléchargées du moment sur le site. Il y a du lourd comme SwiftKey, le champion des claviers virtuels sous Android :

Comme d’habitude, pour participer, il suffit de laisser un petit commentaire et une adresse mail valide sous ce billet, et ce avant la date limite du dimanche 28 octobre 2012 à 19h. L’adresse mail doit être renseignée dans le champ approprié et non dans le corps du message (pour éviter le spam).

Le tirage au sort sera réalisé en utilisant Comment contest. Ce plugin WordPress permet d’effectuer un tirage aléatoire sur les commentaires d’un billet en excluant les éventuelles multiples participations et le pauvre administrateur que je suis. Les rédacteurs qui proposent habituellement des billets peuvent s’inscrire, il n’y a pas de raison.

Je posterai le screenshot du résultat qui comprendra le nom des 5 heureux gagnants et les noms des malheureux participants.

Les gagnants auront 7 jours pour répondre à mon mail et me donner une adresse pour la livraison. Passé ce délai, j’effectuerai un nouveau tirage au sort pour distribuer à nouveau le ou les lots non distribués.

Bonne chance à tous !

Généalogie

5 commentaires

Jusqu’à il y a quelques années, mes lointains ancêtres ne m’intéressaient pas vraiment. J’avais bien essayé de “cartographier” la famille proche sur un vulgaire tableau Excel mais je n’étais pas allé plus loin. Je trouvais ça abominablement chronophage (je me souviens d’un collègue qui prenait tous ses vendredis pour aller consulter des microfilms en salle de lecture aux Archives Départementales, affreux !) et inutile.

Et puis c’est comme tout, le temps passe, on vieillit et on change. Les événements de la vie nous conduisent souvent à revoir nos positions sur certaines choses. C’est malheureusement parfois dans des circonstances dramatiques que ça se produit. Pour moi, c’est au décès du fils d’un de mes cousins, emporté en 2 mois par une saloperie de cancer foudroyant. A peine 20 ans et toute la vie devant lui. C’est donc à cette occasion que j’ai voulu montrer à mes fils qui était ce “Julien” dont ils entendaient beaucoup parler mais qu’ils n’avaient jamais rencontré.

J’ai rouvert mon vieux fichier Excel tout poussiéreux et je me suis aperçu que le travail entrepris des années auparavant n’avait aucune utilité : fait à la va-vite, ne contenant que les ascendants directs, aucune date, fichier plus mis à jour depuis des lustres, etc. Bref, le néant total direction poubelle, et on reprend tout à zéro.

Je vous propose dans ce billet quelques pistes pour vous mettre le pied à l’étrier. Il ne s’agit-là que d’un point de vue personnel basé sur mon expérience, il ne faut donc pas prendre ça comme référence universelle…

  • Collecter un maximum d’informations dans l’entourage

Grâce au livret de famille pour commencer, mais aussi en passant les “anciens” à la question, tant qu’ils sont toujours là et que leur mémoire est encore opérationnelle. Il est indispensable de remonter au moins jusqu’au début du 20ème siècle, au-delà (avant 1905, en gros) ce sont les archives numérisées qui prendront le relais. Pourquoi 1905 me direz-vous ? Tout simplement parce que la majorité des départements qui permettent d’accéder aux archives “en ligne” ne proposent actuellement pas d’informations plus récentes. La loi a pourtant évolué en 2008, fixant à 75 ans le délai de “confidentialité” initialement à 100 ans ; nous devrions donc pouvoir accéder aux informations (actes de naissance et de mariage) jusqu’en 1937 mais il n’en est rien dans la réalité. S’agissant des actes de décès, ils devraient être tous consultables sans délai ; c’est en principe le cas en mairie mais pas en ligne, dommage. En ce qui concerne les informations à récupérer : nom, prénoms, date et lieux de naissance/mariage/décès, et si possible aussi les photos.

  • Explorer les archives numérisées

Si comme moi vous avez la chance que votre famille ait ses racines dans un département qui propose la consultation en ligne (liste accessible ici), vous pouvez vous frotter les mains, mettre des sous de côté pour acheter un bon écran et prendre rendez-vous chez l’ophtalmo car vos yeux vont être mis à rude épreuve ! Méthode :

– Vous connaissez précisément la date et le lieu d’un événement (naissance, mariage, décès). Rendez-vous sur le site des archives du département concerné. En général, les sites permettent de sélectionner la commune et la période recherchée. La liste des documents numérisés correspondants est alors proposée. En cliquant sur le lien, une nouvelle fenêtre s’ouvre et affiche (via une appli en Flash le plus souvent) le contenu numérisé. Vous pouvez la plupart du temps zoomer, modifier la luminosité et le contraste, faire des rotations, changer de page… certains sites proposent en plus de récupérer un “permalink” que vous pourrez réutiliser pour retrouver rapidement l’acte en question. Au départ je me contentais de noter la référence du document avec le n° de la page, à présent je récupère carrément l’image de l’acte (simple copie d’écran par exemple). Histoire de pouvoir le consulter à nouveau si besoin, même sans accès à Internet. Et puis aussi parce que je me dis que ces documents ne seront peut-être pas accessibles indéfiniment

– Vous avez une vague idée de la date. Si elles sont disponibles, explorez les tables décennales à la recherche de l’événement souhaité et, une fois trouvé, cherchez l’acte dans le registre correspondant. En l’absence de tables décennales, armez-vous de patience et consulter le ou les registres. Je ne sais pas si la méthode est bonne, mais moi je commence les recherches par la fin du registre.

– Vous n’avez aucune idée de la date et ou du lieu. A moins que cet événement ne soit capital pour la suite de vos recherches, laissez-le tomber. Peut-être qu’en explorant d’autres individus ou événements vous glanerez de nouveaux éléments. Mieux vaut ne pas rester trop longtemps bloqué sur une même recherche sinon vous allez vous user, vous dégoûter… Maintenant, si vous êtes patients, vous pouvez aussi faire des recherches dans les recensements qui représentent une source très intéressante car regroupant diverses informations (date de naissance ou âge, métier, parfois le lieu de naissance, etc.) sur plusieurs individus en même temps. Attention : ces recensements étaient réalisés tous les 5 ans environ, on peut donc “louper” des personnes (enfants morts jeunes, par exemple)…

  • Principaux documents numérisés

– Les registres paroissiaux ou BMS (baptêmes, mariages, sépultures) tenus par les églises jusqu’en 1792.
– Les registres d’état civil ou NMD (naissances, mariages, décès) à partir de fin 1792.
– Les tables décennales, offrant un index des événements de la décennie. Elles existent depuis 1802 environ et complètent les tables annuelles incluses dans les registres.
– Les listes de recensement de la population.

  • Attention

A l’occasion de vos recherches vous vous rendrez compte que les registres sont loin d’être exempts d’erreurs : on y trouve parfois des fautes dans les noms (que nos ancêtres ne savaient parfois pas écrire eux-mêmes), les dates (date de naissance différente entre l’acte de naissance et l’acte de décès), les lieux. Sans parler des pages détériorées ou manquantes, des tables récapitulatives “oubliant” de mentionner certains événements, etc. Les officiers d’état civils et les curés de l’époque étaient loin d’être parfaits et n’avaient pas forcément à l’esprit que leur mission paperassière aurait une telle importance aux yeux des générations futures. Et puis parfois ils devaient abuser un peu sur le “jaja”, car la rédaction de certains actes peut laisser supposer que leur rédacteur n’était pas dans son état normal !

  • Chercher dans les généalogies existantes

Les sites de partage de généalogie sont nombreux. La plupart requièrent de s’inscrire, beaucoup sont payants. Je ne les listerai pas tous, uniquement ceux que je fréquente :

Geneanet.org : après inscription (gratuite), on peut consulter les arbres et contacter leur auteur gratuitement. L’accès à certaines informations (actes) peut être payant ou réservé aux membres ayant souscrit à un abonnement payant.

Mes-arbres.net (site du CDIP, éditeur de l’outil Généatique) : sans inscription, la consultation des arbres est gratuite et on peut contacter les autres utilisateurs gratuitement. Le site permet aussi de créer gratuitement son arbre en ligne, manuellement, via import au format Gedcom, ou directement exporté depuis l’outil maison Généatique.

Planete-genealogie.fr (site de BSD Concept, éditeur de l’outil Heredis) : sans inscription, la consultation des arbres est gratuite et on peut contacter les autres utilisateurs gratuitement ! Le site ne permet pas de créer son arbre manuellement, cette opération passe par un outil associé à Heredis mais qui peut aussi être téléchargé gratuitement et associé à n’importe quel autre outil de généalogie.

Cybergenealogie.fr : après inscription (gratuite), on peut télécharger les fichiers Gedcom des autres utilisateurs référençant un patronyme recherché. Très pratique pour récupérer des branches communes complètes sans avoir à les re-saisir, ce qui est potentiellement source d’erreur.

  • Stocker les informations collectées

Récupérer des données c’est une chose, mais pour en faire quoi ? Les stocker sur de vulgaires post-it, dans un beau carnet à petits carreaux ou encore dans un fichier Excel ? Non, ce n’est pas sérieux ! L’intérêt de ces recherches est de mieux connaître ses racines. A force de les parcourir, le généalogiste y parvient rapidement, mais quid des autres ? Car après tout, ce n’est généralement pas que pour soi-même que l’on entreprend ce genre de recherches, c’est aussi pour toute la famille. Et rien ne vaut un bel arbre stylisé avec des photos pour susciter l’intérêt et montrer les choses sous une forme assez concrète… D’accord, il est toujours possible de faire ça à la main, avec une règle, une plume et un encrier, mais n’est-ce pas plus simple avec un outil informatique digne de ce nom ? Surtout si l’arbre est voué à régulièrement s’enrichir tant vers le bas (la descendance) que vers le haut (l’ascendance).

Je me suis donc mis en quête d’un outil permettant de saisir facilement les individus, les accompagner de photos, pouvoir éditer de jolis arbres, gérer les “branches”. Sans être aussi exploité que les jeux ou la bureautique, la généalogie n’est pour autant pas oubliée par les éditeurs. Encore faut-il trouver le “bon” produit à un prix raisonnable et correspondant au besoin qui est le nôtre. Là encore, je ne vais pas lister tous les produits, uniquement ceux que j’ai eu l’occasion de tester.

Heredis (édité par BSD Concept) : puissant et simple d’utilisation. Permet d’éditer de jolis arbres, des livres illustrés rédigés automatiquement racontant l’histoire familiale en parallèle avec les grands événements de l’histoire de France, les grandes inventions, etc. Associé à l’outil Planete-Genealogie fourni, il est possible de publier sa généalogie sur le net (site Planete-Genealogie.fr).
Tarifs, à titre indicatif : gratuit pour la version PC démo limitée à 50 individus, 39.90€ pour la version PC standard (« bleue »), 99.90€ pour la version PC complète (« 13 PRO »), gratuit pour la version iPhone/iPad et 59.90€ pour la version MAC.

Généatique (édité par CDIP) : très puissant, très configurable, plus complexe (limite un peu « brouillon ») à utiliser qu’Heredis, mais offre beaucoup plus de formats d’arbres que ce dernier.
Tarifs, à titre indicatif : gratuit pour la version découverte limitée à 50 individus, 24.95€ pour la version limitée à 500 individus (« Classique 500 »), 84.95€ pour la version limitée à 1500 individus (« Classique 1500 ») et 129.90€ pour la version complète (« Prestige »). Appli à télécharger, mais moyennant entre 15 et 20€ supplémentaires, il est possible d’acquérir le produit en « coffret ».

FamilyTreeBuilder (édité par MyHeritage) : Petit, assez pratique à utiliser, mais requiert la création d’un compte, même si l’on ne souhaite pas utiliser la fonctionnalité de sauvegarde en ligne/publication de l’arbre sur le site de MyHeritage. Vous noterez au passage que j’ai volontairement omis de parler de ce site un peu plus haut (rubrique « Chercher dans les généalogies existantes ») car la consultation des arbres est soumise à un abonnement payant. Dommage, ce d’autant qu’il me semble que cela n’a pas toujours été le cas. Une dernière chose : contrairement aux deux précédents outils, celui-ci ne reconnaît pas les dates du calendrier républicain, il faut donc les convertir en dates du calendrier grégorien (à l’aide de ce site, par exemple).
Tarif : gratuit et sans limitation du nombre d’individus. Pas mal du tout pour débuter.

  • Outils de création d’arbres “en ligne” :

Geneanet.org : gratuit.

Mes-arbres.net : gratuit.

MyHeritage.fr : gratuit jusqu’à 250 individus.

Voilà, j’espère que ce petit billet vous aura donné l’envie de consacrer un peu de temps à retrouver vos racines !

Si vous connaissez d’autres combines, sites ou logiciels qui permettent au généalogistes en herbe (ou aux pros) d’avancer dans leurs recherches, n’hésitez pas les signaler dans les commentaires de ce billet.

Ce billet plutôt conséquent a été rédigé par Damien. C’est vraiment du beau boulot !

Je ne vais pas vous faire l’injure de vous présenter Google, l’une des plus grosses entreprises au monde. Avec son moteur de recherche et la multitude de services qu’elle héberge, cette boîte représente quasiment à elle seule Internet ! Et elle le revendique d’ailleurs…

Son gigantisme nécessite des infrastructures hors du commun et une consommation hallucinante d’énergie. Tout se passe dans ses fameux “Data Centers” qui sont disséminés un peu partout dans le monde, surtout sur le territoire des États Unis.

Récemment, Google a décidé d’offrir aux internautes de magnifiques clichés de ses installations qui sont regroupées sur le site google.com.

Toute cette démesure est impressionnante et vaut largement le coup d’oeil :

J’ai passé de longues minutes à farfouiller dans la galerie de photos. Les images sont vraiment stupéfiantes, presque irréelles.

Repéré sur pro.clubic.com.

Voici la suite d’une vidéo que je vous ai présentée il y a quelques mois où deux équipes s’affrontent dans un parking pour se battre avec des craies un peu spéciales.

En effet, ces craies ont le pouvoir de matérialiser les objets dessinés.

La bagarre devient rapidement une course à l’armement avec son lot de jolis effets spéciaux.

Et en cadeau, le “Behind the Scenes”.

Vous avez sûrement déjà reçu des mails ressemblant étrangement à votre fournisseur d’accès ou encore à votre banque. Ceci est une tentative de “phishing”.

Face à ce fléau moderne, des plateformes de signalement ont été mises en place. Cet article a pour but de présenter ces nouvelles arnaques et surtout comment les signaler.

Tout d’abord des petites précisions :

Que cachent ces messages que l’on reçoit par messagerie ou par téléphone ?

Il peut s’agir de simples courriers publicitaires non sollicités, que l’on appelle aussi des “spam” ou pourriels.
Il peut aussi s’agir de tentatives d’escroquerie par courrier électronique ou par SMS. Dans ce cas, leur auteur va tenter de récupérer de l’argent par divers moyens ou vous inciter à ouvrir un fichier contenant un virus informatique.

Comment identifier les tentatives d’escroquerie par message électronique ?

Les pratiques les plus fréquentes sont désignées sous le nom de “scam” (escroquerie) ou de “phishing”.
Un inconnu vous envoie un e-mail pour vous proposer de servir d’intermédiaire, contre rémunération, pour une transaction financière internationale, ou de récupérer votre gain à une loterie ou encore de le contacter pour percevoir un héritage.
Vous êtes invité à communiquer vos coordonnées, puis il vous sera demandé de verser une avance ou des frais quelconques, sans que vous n’obteniez rien en retour !

En quoi consiste le “phishing”?

Le “phishing” ou hameçonnage consiste pour le fraudeur à se faire passer pour un organisme qui vous est familier (banque, administration fiscale, caisse de sécurité sociale…), en utilisant son logo et son nom. Vous recevez un e-mail dans lequel il vous est demandé de “mettre à jour” ou de “confirmer suite à un incident technique” vos données, notamment bancaires.

Source CNIL

Face à ces tentatives de phishing, il existe des plate-formes de signalement et d’information :

  • Signal-Spam.fr: cette plate-forme est un partenaire de la CNIL, inscrivez vous gratuitement et téléchargez une extension pour votre logiciel de messagerie de type Outlook. Un bouton “Signal Spam” apparaîtra sur votre boîte électronique. Il vous suffira de sélectionner le message douteux et de cliquer sur ce bouton. Si vous utilisez un système de messagerie sur Internet de type Yahoo, Hotmail, Gmail ou laposte.net, vous pourrez remplir le formulaire de signalement en ligne et copier-coller le spam reçu.
  • Internet-signalement.gouv.fr : via cette plate-forme, vous pouvez transmettre des signalements de contenus ou de comportements illicites auxquels vous vous seriez retrouvés confrontés au cours de votre utilisation d’Internet.
  • 33700 Spams SMS : ce site a pour objectif d’informer sur ce qu’est le spam par SMS et d’expliquer ce qui doit être fait pour lutter contre. Vous pouvez envoyer directement un SMS au 33700.
  • Et cas de doute, vous pouvez faire appel à INFO ESCROQUERIES au 0811 02 02 17 (coût d’un appel local) : des policiers et des gendarmes spécialisés répondront à vos questions.

Ce qu’il faut faire face à une tentative de phishing :

  • Signaler le spam sur les plates-formes correspondantes ! Ceci permettra sûrement à d’autres de ne pas se faire avoir.

  • Avertir l’organisme copié. Il suffit souvent d’aller sur le site du fournisseur et de chercher l’adresse mail dédiée à ce signalement.

    • Pour Orange : abuse@orange.fr
    • Pour SFR : emailsuspect@sfr.com
    • Pour Bouygues : abuse@bbox.fr
    • Pour labanquepostale : alertespam@labanquepostale.fr
    • Pour credit mutuel : phishing@creditmutuel.fr

    N’hésitez pas à nous donner les adresses emails pour compléter la liste

  • Indiquer le mail comme courrier indésirable dans votre messagerie

Pour éviter au maximum ces arnaques, voici des bonnes pratiques à avoir :

  • Munissez vous d’un outil anti-spam (Exemple : spamihilator) et d’un anti-virus à jour.
  • N’ouvrez pas les pièces jointes d’un mail suspect.
  • Positionnez votre souris sur les liens dans les mails et vérifiez l’url avant de cliquer dessus (si les urls sont suspectes : ne cliquez pas).
  • Pour les mails de votre banque, votre fournisseur d’accès Internet ou autres,  créez des règles pour les déplacer dans un autre répertoire de votre messagerie. Comme cela vous identifiez les mails de confiance et les mails pour lesquels il faut faire attention.
  • Consultez régulièrement les alertes sur les sites de vos fournisseurs, banques et autres pour être au courant des types d’arnaques en cours.

D’autres types de tentative de phishing existent, les “vishing” par appel téléphonique, et les “smishing” par SMS. Souvent, on vous appelle puis soit on vous demande d’appeler au numéro indiqué, soit on raccroche avant même que vous n’ayez eu le temps de répondre pour vous inciter à rappeler. Cependant, les numéros utilisés sont des numéros surtaxés. Vous trouverez ci-dessous les types de numéro et les tarifs associés :

  • 0800, 0800, 0804, 0805, 0809, 10## : appel gratuit (numéros verts)
  • 0810, 0811, 0819 : prix d’un appel local (numéros azur)
  • 0860 : 0,10 € la 1re minute puis 0,02 € les minutes suivantes
  • 0820, 0821, 083664, 089064 : 0,12 € TTC/min maxi (7,20 € par heure, numéros indigo)
  • 0825, 0826, 0884, 0890, 089071 : 0,15 € TTC/min maxi (numéros indigo)
  • 0870, 0871, 0873, 0874, 0875 : tarification selon opérateur (voix sur réseau IP)
  • 0836 : 0,56 € TTC/min maxi
  • 0891 : 0,30 € TTC/min maxi
  • 0892 : 0,34 € TTC/min maxi
  • 0893 : 0,75 € TTC/min maxi
  • 0897 : 0,60 € TTC maxi
  • 0898 : 1,20 € TTC maxi
  • 0899 : 1,35 € TTC par appel + 0,34 € la minute (20,4 € par heure)

Pour signaler ce genre de phishing, utilisez la plate-forme 33700. Le principe est de transférer le SMS au 33700 ou de donner le numéro d’appel par sms au même numéro. Pour les utilisateurs d’Android, il existe des applications anti-spam fournies par les opérateurs. Je possède celui de Bouygues et c’est très pratique.

Je terminerai ce billet avec des liens utiles :

  • Surfez intelligent : site permettant de vous donner toutes les bonnes pratiques pour surfer intelligemment.
  • OPT-IN – Forum email, spam, antispam : forum de discussion sur les thèmes : email, spam, pourriel, loi, opt-in, anti-spam, logiciel anti-spam, emailing.
  • Logiciel antispam : comment choisir correctement son logiciel anti-spam : les points importants du logiciel anti-spam, les techniques anti-spam, les solutions anti-spam, les recommandations et la sélection de logiciel anti-spam.
  • Guide anti-spam : ce guide concis reprend les informations à connaître sur le spam et les logiciels anti-spam : définition, statistiques, coûts, techniques et solutions pour l’éviter.
  • Caspam : encodeur d’adresses de courrier électronique.
  • Antispam mode d’emploi : conseils pratiques de lutte contre le spam : comment identifier le spammeur, modèles de courriers en français et en anglais, ressources en ligne.
  • Euro Cauce : pétition du collectif “European Coalition Against Unsolicited Commercial Email” contre le courrier non sollicité et pour la modification des dispositions de l’UE le régissant.

“It’s a trap !” (C’est un piège !) : la célèbre réplique de l’amiral Ackbar dans Star Wars peut sans doute s’avérer également valable lorsque l’on parle d’Informatique.

Au départ, l’ordinateur est un outil sensé nous faire gagner du temps mais j’ai quelques collègues qui pensent le contraire :wink: . L’image va même plus loin à mon avis mais je vous laisse chercher le, ou les, sens cachés.

Un bon petit sujet pour tous les trolleurs en herbe…

Image repérée sur 9gag.com.

Une jolie prestation de la part de gardes dans l’un des jeux les plus joués du moment.

Encore un mod qui ne sert pas à grand chose et qui devient, du même coup, quasiment incontournable

Le saviez vous ? Il est possible de créer sa propre sonnerie pour iPhone.

Apple propose des sonneries, mais elles sont hors de prix (plus d’1 euro pour 30 secondes) donc autant les fabriquer soit même et vous verrez, ce n’est pas si difficile que cela.

Avant de commencer, la sonnerie doit être :

  • encodée en AAC;
  • d’une durée de 30 secondes maximum (certains préconisent de mettre 29 secondes);
  • au format M4R.

Avant tout chose, vous devez avoir iTunes avec vos musiques et votre iPhone connecté à cet iTunes pour pouvoir faire la synchronisation finale.

Les étapes à suivre :

  1. Allez dans les informations de votre musique via iTunes, puis dans “Options” pour définir le début et fin de votre nouvelle sonnerie.
  2. Convertissez la musique au format AAC, avec les informations indiquées dans l’étape précédente, cela va vous créer une version correspondant à votre sélection.
  3. Recherchez votre fichier dans l’Explorateur Windows ou avec Finder sur Mac et renommez l’extension de “m4a” en “m4r”.
  4. Importez votre fichier dans iTunes.
  5. Synchronisez votre iPhone.

Voici une vidéo qui explique toutes les étapes avec plus de détails :

http://www.youtube.com/watch?v=GW7QMMOSaHY

Enfin, pour ceux qui ont plus de difficultés, rassurez-vous il existe plusieurs sites pour vous aider :

  • Audiko.net : permet de créer votre sonnerie à partir de votre fichier MP3.
  • MP3Kut : permet de couper votre MP3 et extraire la partie que vous désirez (présenté dans un article précédent).

Maintenant c’est à vous de créer vos sonneries !

Merci à Cédric de m’avoir donné l’astuce.