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Astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir !

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Google Wave Google, le roi de l’innovation, va bientôt lancer son dernier né : Google Wave. Cette fois il ne s’agit pas d’une application à utiliser directement ou à distance sur son ordinateur mais d’un portail hyper pratique ou tous les ingrédients sont réunis pour permettre des échanges sociaux.

Tiens ? des échanges sociaux au moyen du réseau web ? Ca ne vous fait pas penser à quelque chose ? C’est bien cela, j’ai comme l’impression que le nouveau portail de Google Wave pourrait renvoyer Facebook se faire voir ailleurs !

Google wave est programmé avec la dernière technologie du langage web : le HTML 5. Ce portail intègrera plusieurs applications de messagerie classique ou instantanée comme gmail, blogger et autre Google Groupe.

Plusieurs nouveauté seront proposées comme l’affichage instantané des messages chez le correspondant pendant l’écriture ou l’affichage instantané de vignettes lors de l’envoi de fichiers multimedia. Tous les documents envoyés seront modifiables, toujours de manière instantanée par tous les participants afin de recréer une atmosphère de réunion réelle.

Les jeux en ligne ne sont pas oubliés. Couplés avec la messagerie instantanée et l’envoi immédiat de documents, on peut présager à l’avance des futurs bonnes soirées à passer entre amis.

Ce n’est pas tout, la gestion des plannings (Google agenda) et la consultation en groupe de cartes géographiques (Maps) sont comprises dans le projet.

Pour finir, afin de permettre une évolution constante du nouveau portail social, un ensemble d’API sera mis à disposition des développeurs pour créer d’autres extensions.

Mon avis :
Je ne suis pas fan de messagerie instantanée qui oblige une disponibilité que l’on ne possède pas toujours mais sur ce projet, je suis assez séduit par le concept de collaboration où l’on peut échanger et modifier en temps réel un document que tous les membres de la “réunion” ont en commun sur leur écran.

D’autres infos sur journaldunet.com et sur silicon.fr

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Logiciels Koyote Quelle joie de faire partager les moments de bonheur que l’on a pris soin de filmer avec sa dernière caméra high tech qui filme en Haute Définition (HD). Aïe ! C’est là où ça fait mal car derrière la beauté des images se cache le traitement de la vidéo.

La HD implique plus de pixels à traiter, plus de ressources matérielles, plus de compatibilité demandée et… moins de logiciels pour nous aider dans cette lourde tâche. Après avoir passé la matinée à tester tout ce qui existe dans le grand monde de l’Internet gratuit, j’ai enfin découvert la perle rare.

Tout d’abord je vous présente mon cahier de charge : il me fallait un logiciel qui ne soit pas une usine à gaz, simple d’utilisation et surtout qu’il convertisse tout seul du format AVCHD au format désiré d’une seule passe.

Jusqu’à présent, le logiciel qui me convenait s’appelait PocketDivxEncoder mais il ne traite pas les fichiers HD dont l’extension est MTS ou M2TS.

Google étant toujours mon ami, j’ai affiné mes requêtes en lui demandant de trouver des liens de moins de 31 jours avec les termes “convertir mts avi”. Je suis alors tombé sur le site du Koyote, qui se révèle une véritable mine d’or à freewares pour convertir de l’audio et de la vidéo.

Plusieurs logiciels très spécialisés sont proposés. Celui qui m’intéresse et le seul qui fonctionne se nomme “Free AVCHD converter V1.0”. Une fois installé, vous découvrirez son interface très simple qui comporte une fenêtre dans laquelle vous glisserez votre fichier MTS. Un petit écran noir sert à la préview du film au fur et à mesure de l’encodage, avec quelques petites options pour personnaliser le résultat.

Je vous conseille de vous rendre dans le menu Presets et de choisir “Avi – high quality”. A partir de ces paramètres de base, réglez à votre convenance la vidéo finale et cliquez sur le bouton “Convert !”. En fonction de la puissance de votre ordinateur et des réglages choisis, le logiciel encodera plus ou moins rapidement vos précieux films.

Pour que l’encodage devienne une partie de plaisir : koyotesoft.com.

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M2M Non, il ne s’agit pas d’une nouvelle technique de téléchargement variante du P2P. Même s’il s’agit d’un procédé d’échange de données à distance, le M2M ne concerne pas directement l’utilisateur mais la machine et plus précisément les communications de machines à machines d’où l’acronyme M2M.

Ce concept un peu effrayant de laisser les machines commander d’autres machines n’est pas récent. Déjà Bill Gates, dont les talents de visionnaire ne sont plus à démontrer, envisageait de mettre au point, il y a une quinzaine d’année, un système logiciel d’exploitation pour les appareils domestiques. Une sorte d’équivalent ménager des OS Windows pour PC.

En 2009, même s’il ne fait pas vraiment parler de lui, le M2M est un système actif. En attendant que le M2M se démocratise, il fait le bonheur des industriels, notamment dans la gestion des parcs de machines ou pour gérer à distance des moteurs qui commandent, par exemple, le débit de gaz à fournir pour une période donnée.

La technologie utilisée est l’échange de donnée sans fil. Ce peut être le wifi, le bluetooth ou le GSM. Actuellement c’est justement par le GSM que se déploie le plus le M2M au moyen de cartes SIM spécialisées. Cette méthode permet à un serveur de commander des machines distantes de plusieurs milliers de km.

Le M2M, très discret actuellement, retient pourtant l’intérêt de Orange qui estime que le marché se montera à 5 milliards d’euros dans les prochaines années. De quelle façon ?
Eh bien ! Il semblerait que le M2M doive envahir rapidement notre espace de proximité, particulièrement nos maisons. Dans les exemples donnés, on trouve le frigidaire doté d’une puce intelligente qui enverrait sa commande à l’épicier du coin pour se fournir en denrées dès que le besoin se fera sentir : plus de lait, commande expédiée !

Un autre exemple concerne la sécurité routière. Les véhicules équipés de ces puces pourraient éviter les chocs entre eux en cas d’inattention du conducteur, ou réduiraient leur vitesse automatiquement dès la pénétration dans une agglomération. Bref, les idées ne manquent pas pour créer de nouveaux besoins.

Personnellement, malgré mon esprit 100% progressiste, je ne crois pas que le M2M ait un avenir domestique, du moins pour les prochaines années, comme le pense si bien Orange. Et vous, qu’en pensez-vous ?

Plus d’infos sur silicon.fr et wikipedia.

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Bouc en Corse Voici une histoire plutôt insolite et surtout rigolote.

Facebook, le maître du réseau social semble ne pas aimer la plaisanterie au point de prendre l’affaire très au sérieux. L’affaire en question est la création du nom de domaine facedebouc.com. Rien que là, un sourire devrait se dessiner sur votre visage.

Là où ça devient le plus marrant c’est que Facebook a sommé les dirigeants de facedebouc d’abandonner ce nom de domaine. Au nom de quoi, on se le demande ? D’autant que le nom facedebouc est tout à fait approprié au thème traité par le site : celui des boucs.

Créé dans une ambiance bon enfant, le site, qui n’a jamais vraiment eu de succès, divague sur les jeux de mot et les comportements propres à l’animal. Ce ton plaisantin qui gravite autour de la déification du bouc semble avoir plu car les webmasters sont parvenus à obtenir un reportage de la part de la chaîne de télévision M6. Ce jour-là le site a enregistré 14 000 visiteurs uniques au lieu du score plus modeste de 150 visiteurs par jour.

Alors, comment vont réagir Julien Berthomieu et Jérémy Block, les fondateurs du site, face à ces menaces de Facebook ?

A mon avis, il ne faut pas se laisser impressionner et prendre le bouc par les cornes. Si Facebook n’est pas content, qu’il rachète ce nom de domaine qui est devenu une vraie toison d’or.

Pour aider ces jeunes, n’oubliez pas de passer par leur bouctique ;-) .

Le site qui rend chèvre Facebook : facedebouc.com.

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Intel Atom Aujourd’hui, il n’est plus nécessaire de présenter les Netbooks, ces petits ordinateurs bien sympas à mini prix. Leur défaut principal, comme on dit du côté de Marseille, “c’est pas qu’ils sont bons à rien, c’est qu’ils sont mauvais à tout !“. Principale cause : le processeur qui les anime et surtout l’absence de carte graphique.

Mais commençons par un petit historique sur l’utilisation originelle des processeurs Atom d’Intel. Le cÅ“ur de ces merveilleux mini processeurs à très basse consommation devait battre dans nos téléphones, mp3 et autres appareils multimedia. Leur intégration dans ce type d’appareils ne pose aucun problème eu égard à leur taille. Voyez l’envergure comparée à une pièce de 1 cent américain sur l’image ci-contre. Mais Asus est passé par là juste avant avec son Eeepc 701, pour le plus grand bonheur financier du fondeur californien.

Résultat : les puces Atom qui auraient fait d’excellents moteurs pour nos appareils miniatures, équipent la totalité du parc des Netbooks qui ont succédé à l’Eeepc 701 et s’avèrent de très médiocres processeurs.

Le test que clubic a mis en ligne est intéressant à plus d’un titre. D’abord il nous présente le nouvel Atom double coeur (Atom 330) qui s’avère être une véritable bouteille d’oxygène pour ce genre d’ordinateur. Ensuite, il nous présente les nouveaux processeurs Atom monocoeur (Atom 230) avec carte graphique qui apportent une nette amélioration en terme de performances globales. Dernier point intéressant, les Atom sont comparés avec le plus nase des processeurs classiques, le Celeron double coeur E1200 qui pour l’occasion se révèle une véritable bombe ATOMique, si vous me permettez l’expression.

Personnellement, si j’ai une conclusion à en tirer, moi qui suis un ex-détenteur de ce genre d’appareil (gardé 2 mois puis vite revendu), je dirai que c’est avec cet Atom double cÅ“ur et carte graphique que les Netbooks vont réellement prendre leur essor.

Le test de clubic.com.

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Google Actuellement sur le Net on peut lire partout les détails de la dernière trouvaille de Google.

Pour être franc, il m’a fallu lire plusieurs articles pour comprendre la véritable nature de cette innovation. Elle touche(rait) l’avenir de ses 20 000 employés, plus précisément de leur comportement vis-à-vis de la société Google pour les prochaines année.

Pour cela Google a mis au point un algorithme très spécial qui passe à la moulinette les dossiers personnels de leurs employés. Age, profession, diplômes, antécédents professionnels, situation familiale… rien n’est oublié pour prévoir à quel moment un employé est susceptible de vouloir quitter la société.

Imaginons un jeune cadre dynamique qui n’a pas encore fait ses preuves. L’algorithme toutouille son dossier et signale à la société que le jeune homme en question commencera à penser à quitter la société dans 2 ans et la quittera réellement dans 3 ans. Réaction anticipée de Google qui, soit programmera une augmentation financière pour conserver le jeune cerveau en place, soit cherchera à le remplacer rapidement.

Démoniaque ou astucieux ?

N’hésitez pas à laisser vos commentaires. J’aimerai bien en prendre connaissance car j’ai mis au point un algorithme qui… ;-)

Voici quelques liens qui, pour être plus précis que mon billet, n’en sont pas plus explicites : numerama.com et journaldunet.com.

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Routeur antiHadopi La technologie n’aura pas beaucoup attendue pour nous sortir une parade à HADOPI. On trouve d’ores et déjà sur Internet un routeur capable de se connecter sur le réseau de ses voisins et ainsi protéger son véritable IP lors de l’utilisation de logiciel P2P.

Cet engin possède vraiment des caractéristiques très spéciales. Comme tout routeur, sa configuration se fait grâce à une page Html située en ROM. Mais ce n’est pas tout, cette même ROM contient un logiciel qui permet de craquer tout réseau wifi, pour peu que la clef soit cryptée en simple WEP ou même WPA !

De plus, la puce spécialisée est capable de se connecter à un autre réseau avant que le réseau wifi en cours ne perde sa connexion. Tout se fait automatiquement, sans que l’utilisateur ne s’en occupe. Enfin, ultime perfection, il est possible de signaler dans la configuration son propre réseau wifi pour qu’il ne soit pas pris en compte par ce super snifer de wifi.

Dernier cadeau du fabriquant, son prix : 49 euros seulement ! Je vous laisse, j’ai une commande à faire. ;-)

Il est temps d’aller faire un tour sur routeurhadopi.fr.

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Adobe Flash Player L’informatique, c’est formidable quand ça marche. Voilà un constat que tous les utilisateurs d’ordinateur font un jour ou l’autre. Heureusement il existe un outil de dépannage dont plus personne ne peut se passer : Internet.

L’astuce dont je vais vous parler aujourd’hui est justement liée à Internet plus précisément aux bugs qui tourmentent le player Flash d’Adobe. Ma fille en surfant sur le Net me signale qu’elle ne peut voir aucune vidéo sur Wat.tv car le navigateur lui propose inlassablement d’installer la dernière version du plugin d’Adobe.

Étonné, je procède moi-même à la réinstallation du plugin et je constate en effet le bug. Les redémarrages, désinstallation et réinstallation n’auront réussi qu’à me faire perdre du temps. Jusqu’à ce que je pense à mon ami Google qui m’affiche une page d’adresses parmi lesquelles je trouve le messianique lien qui mène vers la solution.

Précisons quand même que lorsque ce problème apparaît, tous les navigateurs semblent touchés. Il s’agit donc bien d’un bug intimement lié à Flash.

Si vous aussi êtes confrontés à ce bug, voici les manipulations à faire :
– ouvrir l’explorateur
– se rendre dans le dossier C:\Windows\System32\Macromed\Flash
– cliquer sur le fichier FlashUtil10b.exe

Cela lancera la mise à jour véritablement fonctionnelle du flash player. Il vous sera ensuite demandé de redémarrer. Exécutez le précieux conseil. Au redémarrage vous constaterez que tout est rentré dans l’ordre.

Alors, c’est pas formidable l’informatique ?

Avez-vous installé la dernière version d’Adobe Flash Player.

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Bataille de navigateurs La bataille des navigateurs fait rage. Jamais les utilisateurs du web n’ont eu autant de choix pour surfer sur le web.

Je me rappelle il y a quelques années, le seul logiciel sur le marché, Netscape, était payant et se révélait très rudimentaire. Aujourd’hui, sûrement en raison d’enjeux importants qui, pour être franc, m’échappent quelques peu, les éditeurs se mènent un lutte acharnée pour notre plus grand bonheur.

La seule question qui nous tarabuste est : “quel est le meilleur navigateur ?” Eh oui, en plus on devient difficile !

Pour nous aider dans ce délicat choix, silicon.fr a mis au point une batterie de tests pour malmener cette flottille de navigateurs. Vous y verrez, sans surprise, qu’au niveau de la vitesse d’affichage des pages, les différentes versions d’Internet Explorer coulent à pic mais que notre cher Firefox semble lui aussi au bord de la noyade.

Le haut du panier revient à Chrome que, paradoxalement, personne n’installe sur son ordinateur. Il est d’ailleurs amusant de constater, comme le souligne un commentaire laissé sous le test, que les performances sont inversement proportionnelles aux parts de marché de ces logiciels ! Les nombreuses fonctionnalités annexes offertes pourraient expliquer ce phénomène (les excellents plugins de Firefox par exemple).

Je vous laisse découvrir ce test de silicon.fr.

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Processeurs Mon ordinateur est-il assez puissant ? Un jour ou l’autre chacun de nous se pose cette question sur l’obsolescence de son matériel.

S’il se trouve que votre machine est effectivement dépassée, une seconde question cruciale se pose alors : quel type de processeurs choisir ? Ne parlons pas des monocores qui n’existent (déjà) plus mais des dualcores, tricores ou quadricores. Mais pourquoi mettre autant de processeurs à la tâche ?

Le site Tom’s Hardware a tenté de répondre à ces questions en proposant cette semaine un test des plus instructifs. On apprend entre autre, avec un certain étonnement, que ce sont les tricores les plus performants.

A ma connaissance, seul AMD a sorti, sans grand succès, ce genre de processeur. Il s’agissait en fait d’un quadricores dont le 4e core était désactivé. Intel n’ayant jamais sorti de tricores, c’est donc vers un quadricores que devra se tourner l’éventuel acheteur.

Il faut savoir que ces tests ont pu révéler une différence de performance grâce au nombre de plus en plus croissant de logiciels programmés pour fonctionner en multicoeurs. De tels logiciels n’existaient pas il y a à peine 4 ans (un autre âge quoi !).

Pour vous aider dans vos choix, ça se passe sur Tom’s Hardware.

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