J’aime beaucoup ce petit dessin humoristique de saison.
Et oui, parfois il faut se retrousser les manches car il n’existe pas d’application pour faire le boulot à sa place…
J’aime beaucoup ce petit dessin humoristique de saison.
Et oui, parfois il faut se retrousser les manches car il n’existe pas d’application pour faire le boulot à sa place…
On galère toujours pour brancher un câble USB. En général, ça ne rentre pas du premier coup. Pour ne pas forcer, on essaie dans l’autre sens. Mais il faut retourner une nouvelle fois la prise car c’était le premier sens qui était le bon… comme par hasard !
Pour éviter de perdre du temps (et un peu de patience), il y a l’observation ou l’ingéniosité.
Il suffit de munir la partie mâle du câble de deux petites pièces amovibles pour le rendre totalement compatible avec n’importe quelle embout femelle, et surtout quel que soit le sens de branchement.
Il fallait simplement y penser. Et maintenant au boulot messieurs les fabricants de câbles USB !
Repéré sur 9gag.com.
Les geeks aussi peuvent fêter Noël dans la dignité !
Il faut juste un peu d’imagination et une science du recyclage poussée à la perfection.
Il doit bien me rester quelques barrettes de RAM…
Sur une main de gamer (le vrai qui joue sur PC), les doigts ne portent pas les mêmes noms que chez le commun des mortels…
C’est d’ailleurs comme cela que l’on reconnaît un joueur. Car tout le monde se rend bien compte que la photo de la main de droite est très différente de celle de gauche .
Vous avez déjà entendu parler des claviers virtuels ?
On m’a fait découvrir ce petit cube qui tient dans une main, que l’on peut ranger partout et qui permet de créer un clavier virtuel en quelques secondes.
Son plus, c’est qu’il fonctionne en bluetooth et qu’il se connecte non seulement avec vos ordinateurs (PC et Mac), mais aussi avec les iPhone, iPad, iPod Touch. Pour les tablettes sous Android, je n’ai pas réussi à trouver l’information.
Mieux que des paroles pour vous le décrire, je vous laisse regarder la vidéo :
Seule ombre au tableau, ce petit bijou, vaut 125 $.
Je n’ai pas eu trop le temps de vous rédiger de petits billets ce week-end. J’ai été pas mal pris et puis j’ai eu envie de bricoler un peu, loin de l’ordinateur (pas trop quand même).
J’ai donc ressorti quelques outils, avec plus ou moins de réussite d’ailleurs, et parmi les réalisations qui ont abouti, voici une base de chargement pour téléphone pour mon Galaxy Note (le N7000).
Il y a longtemps que j’en voulais une mais je ne trouvais pas de bases qui me plaisaient. Soit elles étaient trop chères, pas assez inclinées et surtout, la plupart des stations de chargement en vente sur Internet s’adaptent à l’appareil nu, sans prendre en compte un éventuel étui de protection.
Du coup, je me suis lancé dans la réalisation d’une station artisanale, à partir d’une vieille base de Palm Tungsten C qui traînait dans mon garage. J’ai percé quelques trous pour faire passer le câble de chargement officiel, collé quelques patins en feutre et tour a été joué. Voici le résultat :
Et avec le Galaxy Note, ça donne :
Comme vous pouvez le constater, je ne me suis pas trop appliqué sur la finition mais l’embout est maintenu très fermement par un morceau de câble, sous le scotch. Il ne risque pas de bouger.
Je vous propose ce petit bricolage amusant sans aucune prétention. Peut-être qu’il donnera des idées à certains. D’ailleurs n’hésitez pas à nous faire partager vos petits bricolages…
Il y a deux jours, j’étais tranquillement en train de finir de bosser vers 1h du mat’ (ouais, j’étais pas en avance), lorsque tout à coup, le ventilo de mon PC s’est mis à tourner à fond. L’écran a également clignoté une fois rapidement.
Sur le coup, je me suis vraiment demandé ce qu’il arrivait à ma machine. J’ai pensé à un virus, une tentative d’intrusion, un coup de la CIA… Bref, tout ce que l’on voit dans les films.
Et puis tout d’un coup, une ou deux minutes plus tard, c’est mon deuxième PC, qui téléchargeait à côté de moi (des trucs légaux bien entendu), qui s’est mis à souffler bruyamment, et à émettre le fameux petit clignotement.
Je me trouvais donc cerné : c’était vraisemblablement une conspiration destinée à faire taire EspaceRezo !
Au bout de quelques minutes, tout s’est arrêté tout seul, dans un dernier clignotement d’écran. Ils ont sans doute eu peur des représailles…
Trêve de plaisanteries, je me suis mis à chercher pourquoi mes ordinateurs, sous Seven je précise, s’affolaient à 1h du matin. Et j’ai trouvé.
En regardant dans le gestionnaire de tâches j’ai vu qu’il y avait un programme que je ne connaissais pas qui tournait plein pot. Il s’agissait de “winsat.exe”.
Apparemment, c’est ce service de Seven qui se charge de calculer l’indice de performance de Windows. Il se déclenche donc parfois (ou toujours d’ailleurs, il faudra que je vérifie) à 1h du matin pour vérifier si votre indice a changé.
L’affaire est résolue. Ne soyez donc pas surpris si votre machine s’affole sur le coup des 1h du matin. Et oui, on en apprend tous les jours…
Allez on démarre la semaine avec une petite image amusante.
Voici à quoi aurait pu ressembler le premier smartphone si la technologie et la miniaturisation n’évoluaient pas aussi rapidement.
L’appareil aurait pris un peu de place dans nos poches .
Repéré sur 9gag.com.
F1… la touche du clavier quoi !
Une petite image dédiée à tous ceux qui aiment les petites blagues un peu pourries. Et il y en a…
Dans le même style, certains avaient déjà apprécié “Le jour où j’ai perdu le contrôle…”. Ils pourront ajouter cette nouvelle petite image à leur collection.
C’est cadeau !
Image repérée sur 9gag.com.
Jusqu’à il y a quelques années, mes lointains ancêtres ne m’intéressaient pas vraiment. J’avais bien essayé de “cartographier” la famille proche sur un vulgaire tableau Excel mais je n’étais pas allé plus loin. Je trouvais ça abominablement chronophage (je me souviens d’un collègue qui prenait tous ses vendredis pour aller consulter des microfilms en salle de lecture aux Archives Départementales, affreux !) et inutile.
Et puis c’est comme tout, le temps passe, on vieillit et on change. Les événements de la vie nous conduisent souvent à revoir nos positions sur certaines choses. C’est malheureusement parfois dans des circonstances dramatiques que ça se produit. Pour moi, c’est au décès du fils d’un de mes cousins, emporté en 2 mois par une saloperie de cancer foudroyant. A peine 20 ans et toute la vie devant lui. C’est donc à cette occasion que j’ai voulu montrer à mes fils qui était ce “Julien” dont ils entendaient beaucoup parler mais qu’ils n’avaient jamais rencontré.
J’ai rouvert mon vieux fichier Excel tout poussiéreux et je me suis aperçu que le travail entrepris des années auparavant n’avait aucune utilité : fait à la va-vite, ne contenant que les ascendants directs, aucune date, fichier plus mis à jour depuis des lustres, etc. Bref, le néant total direction poubelle, et on reprend tout à zéro.
Je vous propose dans ce billet quelques pistes pour vous mettre le pied à l’étrier. Il ne s’agit-là que d’un point de vue personnel basé sur mon expérience, il ne faut donc pas prendre ça comme référence universelle…
Grâce au livret de famille pour commencer, mais aussi en passant les “anciens” à la question, tant qu’ils sont toujours là et que leur mémoire est encore opérationnelle. Il est indispensable de remonter au moins jusqu’au début du 20ème siècle, au-delà (avant 1905, en gros) ce sont les archives numérisées qui prendront le relais. Pourquoi 1905 me direz-vous ? Tout simplement parce que la majorité des départements qui permettent d’accéder aux archives “en ligne” ne proposent actuellement pas d’informations plus récentes. La loi a pourtant évolué en 2008, fixant à 75 ans le délai de “confidentialité” initialement à 100 ans ; nous devrions donc pouvoir accéder aux informations (actes de naissance et de mariage) jusqu’en 1937 mais il n’en est rien dans la réalité. S’agissant des actes de décès, ils devraient être tous consultables sans délai ; c’est en principe le cas en mairie mais pas en ligne, dommage. En ce qui concerne les informations à récupérer : nom, prénoms, date et lieux de naissance/mariage/décès, et si possible aussi les photos.
Si comme moi vous avez la chance que votre famille ait ses racines dans un département qui propose la consultation en ligne (liste accessible ici), vous pouvez vous frotter les mains, mettre des sous de côté pour acheter un bon écran et prendre rendez-vous chez l’ophtalmo car vos yeux vont être mis à rude épreuve ! Méthode :
– Vous connaissez précisément la date et le lieu d’un événement (naissance, mariage, décès). Rendez-vous sur le site des archives du département concerné. En général, les sites permettent de sélectionner la commune et la période recherchée. La liste des documents numérisés correspondants est alors proposée. En cliquant sur le lien, une nouvelle fenêtre s’ouvre et affiche (via une appli en Flash le plus souvent) le contenu numérisé. Vous pouvez la plupart du temps zoomer, modifier la luminosité et le contraste, faire des rotations, changer de page… certains sites proposent en plus de récupérer un “permalink” que vous pourrez réutiliser pour retrouver rapidement l’acte en question. Au départ je me contentais de noter la référence du document avec le n° de la page, à présent je récupère carrément l’image de l’acte (simple copie d’écran par exemple). Histoire de pouvoir le consulter à nouveau si besoin, même sans accès à Internet. Et puis aussi parce que je me dis que ces documents ne seront peut-être pas accessibles indéfiniment…
– Vous avez une vague idée de la date. Si elles sont disponibles, explorez les tables décennales à la recherche de l’événement souhaité et, une fois trouvé, cherchez l’acte dans le registre correspondant. En l’absence de tables décennales, armez-vous de patience et consulter le ou les registres. Je ne sais pas si la méthode est bonne, mais moi je commence les recherches par la fin du registre.
– Vous n’avez aucune idée de la date et ou du lieu. A moins que cet événement ne soit capital pour la suite de vos recherches, laissez-le tomber. Peut-être qu’en explorant d’autres individus ou événements vous glanerez de nouveaux éléments. Mieux vaut ne pas rester trop longtemps bloqué sur une même recherche sinon vous allez vous user, vous dégoûter… Maintenant, si vous êtes patients, vous pouvez aussi faire des recherches dans les recensements qui représentent une source très intéressante car regroupant diverses informations (date de naissance ou âge, métier, parfois le lieu de naissance, etc.) sur plusieurs individus en même temps. Attention : ces recensements étaient réalisés tous les 5 ans environ, on peut donc “louper” des personnes (enfants morts jeunes, par exemple)…
– Les registres paroissiaux ou BMS (baptêmes, mariages, sépultures) tenus par les églises jusqu’en 1792.
– Les registres d’état civil ou NMD (naissances, mariages, décès) à partir de fin 1792.
– Les tables décennales, offrant un index des événements de la décennie. Elles existent depuis 1802 environ et complètent les tables annuelles incluses dans les registres.
– Les listes de recensement de la population.
A l’occasion de vos recherches vous vous rendrez compte que les registres sont loin d’être exempts d’erreurs : on y trouve parfois des fautes dans les noms (que nos ancêtres ne savaient parfois pas écrire eux-mêmes), les dates (date de naissance différente entre l’acte de naissance et l’acte de décès), les lieux. Sans parler des pages détériorées ou manquantes, des tables récapitulatives “oubliant” de mentionner certains événements, etc. Les officiers d’état civils et les curés de l’époque étaient loin d’être parfaits et n’avaient pas forcément à l’esprit que leur mission paperassière aurait une telle importance aux yeux des générations futures. Et puis parfois ils devaient abuser un peu sur le “jaja”, car la rédaction de certains actes peut laisser supposer que leur rédacteur n’était pas dans son état normal !
Les sites de partage de généalogie sont nombreux. La plupart requièrent de s’inscrire, beaucoup sont payants. Je ne les listerai pas tous, uniquement ceux que je fréquente :
– Geneanet.org : après inscription (gratuite), on peut consulter les arbres et contacter leur auteur gratuitement. L’accès à certaines informations (actes) peut être payant ou réservé aux membres ayant souscrit à un abonnement payant.
– Mes-arbres.net (site du CDIP, éditeur de l’outil Généatique) : sans inscription, la consultation des arbres est gratuite et on peut contacter les autres utilisateurs gratuitement. Le site permet aussi de créer gratuitement son arbre en ligne, manuellement, via import au format Gedcom, ou directement exporté depuis l’outil maison Généatique.
– Planete-genealogie.fr (site de BSD Concept, éditeur de l’outil Heredis) : sans inscription, la consultation des arbres est gratuite et on peut contacter les autres utilisateurs gratuitement ! Le site ne permet pas de créer son arbre manuellement, cette opération passe par un outil associé à Heredis mais qui peut aussi être téléchargé gratuitement et associé à n’importe quel autre outil de généalogie.
– Cybergenealogie.fr : après inscription (gratuite), on peut télécharger les fichiers Gedcom des autres utilisateurs référençant un patronyme recherché. Très pratique pour récupérer des branches communes complètes sans avoir à les re-saisir, ce qui est potentiellement source d’erreur.
Récupérer des données c’est une chose, mais pour en faire quoi ? Les stocker sur de vulgaires post-it, dans un beau carnet à petits carreaux ou encore dans un fichier Excel ? Non, ce n’est pas sérieux ! L’intérêt de ces recherches est de mieux connaître ses racines. A force de les parcourir, le généalogiste y parvient rapidement, mais quid des autres ? Car après tout, ce n’est généralement pas que pour soi-même que l’on entreprend ce genre de recherches, c’est aussi pour toute la famille. Et rien ne vaut un bel arbre stylisé avec des photos pour susciter l’intérêt et montrer les choses sous une forme assez concrète… D’accord, il est toujours possible de faire ça à la main, avec une règle, une plume et un encrier, mais n’est-ce pas plus simple avec un outil informatique digne de ce nom ? Surtout si l’arbre est voué à régulièrement s’enrichir tant vers le bas (la descendance) que vers le haut (l’ascendance).
Je me suis donc mis en quête d’un outil permettant de saisir facilement les individus, les accompagner de photos, pouvoir éditer de jolis arbres, gérer les “branches”. Sans être aussi exploité que les jeux ou la bureautique, la généalogie n’est pour autant pas oubliée par les éditeurs. Encore faut-il trouver le “bon” produit à un prix raisonnable et correspondant au besoin qui est le nôtre. Là encore, je ne vais pas lister tous les produits, uniquement ceux que j’ai eu l’occasion de tester.
– Heredis (édité par BSD Concept) : puissant et simple d’utilisation. Permet d’éditer de jolis arbres, des livres illustrés rédigés automatiquement racontant l’histoire familiale en parallèle avec les grands événements de l’histoire de France, les grandes inventions, etc. Associé à l’outil Planete-Genealogie fourni, il est possible de publier sa généalogie sur le net (site Planete-Genealogie.fr).
Tarifs, à titre indicatif : gratuit pour la version PC démo limitée à 50 individus, 39.90€ pour la version PC standard (« bleue »), 99.90€ pour la version PC complète (« 13 PRO »), gratuit pour la version iPhone/iPad et 59.90€ pour la version MAC.
– Généatique (édité par CDIP) : très puissant, très configurable, plus complexe (limite un peu « brouillon ») à utiliser qu’Heredis, mais offre beaucoup plus de formats d’arbres que ce dernier.
Tarifs, à titre indicatif : gratuit pour la version découverte limitée à 50 individus, 24.95€ pour la version limitée à 500 individus (« Classique 500 »), 84.95€ pour la version limitée à 1500 individus (« Classique 1500 ») et 129.90€ pour la version complète (« Prestige »). Appli à télécharger, mais moyennant entre 15 et 20€ supplémentaires, il est possible d’acquérir le produit en « coffret ».
– FamilyTreeBuilder (édité par MyHeritage) : Petit, assez pratique à utiliser, mais requiert la création d’un compte, même si l’on ne souhaite pas utiliser la fonctionnalité de sauvegarde en ligne/publication de l’arbre sur le site de MyHeritage. Vous noterez au passage que j’ai volontairement omis de parler de ce site un peu plus haut (rubrique « Chercher dans les généalogies existantes ») car la consultation des arbres est soumise à un abonnement payant. Dommage, ce d’autant qu’il me semble que cela n’a pas toujours été le cas. Une dernière chose : contrairement aux deux précédents outils, celui-ci ne reconnaît pas les dates du calendrier républicain, il faut donc les convertir en dates du calendrier grégorien (à l’aide de ce site, par exemple).
Tarif : gratuit et sans limitation du nombre d’individus. Pas mal du tout pour débuter.
Geneanet.org : gratuit.
Mes-arbres.net : gratuit.
MyHeritage.fr : gratuit jusqu’à 250 individus.
Voilà , j’espère que ce petit billet vous aura donné l’envie de consacrer un peu de temps à retrouver vos racines !
Si vous connaissez d’autres combines, sites ou logiciels qui permettent au généalogistes en herbe (ou aux pros) d’avancer dans leurs recherches, n’hésitez pas les signaler dans les commentaires de ce billet.
Ce billet plutôt conséquent a été rédigé par Damien. C’est vraiment du beau boulot !
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