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Le lag est l’ennemi intime du joueur en réseau et plus largement, il fait le malheur de l’internaute qui le subit.

Le terme “lag” caractérise la lenteur, perceptible par l’utilisateur, dans la transmission des données informatiques.

L’auteur de cette vidéo plonge son héros dans une situation originale où le lag devient une réalité vraiment pénible.

La bande son est assez surprenante.

Repéré sur reddit.com.

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Sony, comme tous les constructeurs d’appareils informatiques est “victime” du piratage. La cible principale qui fait le succès  de ses consoles depuis son origine, est la Playstation. Mais trop c’est trop et loin d’abandonner le combat, la société TTK, son nom originel pour Tokyo Tsushin Kogyo (petite info pédagogique :-D ) a mis au point un détecteur de PS3 piratées sur son PSN.

Le PSN qui signifie PlayStation Network est un espace réseau créé en 2006 qui donne accès aux propriétaires de PS à plusieurs services dont le plus convoité : le jeu en ligne. Le système anti piratage de Sony bannit de la PSN toute PS3 piratée détectée. De fait, il semble que Sony ait mis le doigt où ça fait mal car les pirates ont aussitôt réagi !

Ceux-ci contre-attaquent et viennent de mettre au point un système logiciel qui permet d‘intercepter les connexions vers les serveurs du PSN.  Le virus analyse les données et renvoie vers les serveurs l’ID (identité) des PS3 saines revue et corrigée par les bons services dudit virus.

Vous l’aurez compris, d’un côté Sony interdit les PS3 piratées, de l’autre les pirates interdisent les PS3 non piratées, résultat : le PSN doit être plus proche du désert du Sahara que de la Big Apple Manhattan. Ca mérite bien un gros LOL non ? :-D

Evidemment, feuilleton à suivre

Information trouvée sur zataz.com.

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http://www.youtube.com/watch?v=xq0JcQ1dOwU

Jessie et Reanin, deux jolies jeunes filles ont voulu en avoir le cœur net : les hommes lorgnent-ils tous leurs fesses lorsqu’elles marchent dans la rue ?

Quelle drôle de question… Il en est encore qui doutent ? :-D

Ces deux copines ont donc décidé de mettre la technologie informatique de leur côté, plus précisément sur le côté arrière, au milieu du point de mire des regards salaces des hommes. Pour ce faire, une d’elles a cousu au milieu de la partie arrière de son pantalon, au niveau du popotin, une mini caméra portative et le résultat est… sans surprise !

Ou plutôt si ! Car même d’autres femmes et un “Jésus Christ” louchent vers le même endroit.

Pour information, cette vidéo a été vue, au moment ou j’écris, plus de 4 millions de fois… sans surprise !

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J’aime bien les concepts novateurs, surtout en Informatique. Je suis tombé par hasard sur un appareil hybride que j’aimerai bien avoir un jour entre les mains.

Il s’agit de la tablette LePad de Lenovo.

Si j’ai bien saisi le concept, cette tablette dotée d’un écran 10,1 pouces tourne sous Android 2.2. Jusque là, rien d’étonnant.

Mais la particularité de cet appareil vient du fait que cette tablette peut s’incruster dans une base (vendue séparément) qui transforme le tout en en un netbook fonctionnant sous Windows Seven.

De mon point de vue, l’idée est vraiment intéressante. Par contre l’écran est un peu petit contrairement au prix qui s’élèvera à 1300 dollars apparemment (520 dollars pour la partie tablette et 780 dollars pour la base).

La configuration, ou plutôt les configurations, ne font malheureusement pas trop rêver :

  • la tablette : 1,3 GHz et 1 Go de mémoire, un stockage de 16 ou 32 Go et une webcam de 2 mégapixels.
  • la station : un processeur Intel Core i5 à 1,2 Ghz et 2 Go de ram.

Les deux parties possèderont des connexions 3G, Bluetooth et WiFi (USB et HDMI en plus sur la station).

L’appareil devrait sortir en Europe en juin.

Et vous, ça vous brancherait un appareil hybride de ce type ?

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Une étude, parue semble-t-il le jeudi 3 février 2011 aux Etats-unis (mes recherches ne m’en ont pas appris plus sur cette source), avance que la capacité de stockage informatique actuelle équivaut à peine à moins d’un centième de celle stockée dans l’ADN humain.

Les chiffres de cette étude mystère précisent qu’en 2007 toutes les capacités de stockage réunies se montaient à 295 exaoctets (ajoutez 20 zéros pour obtenir le chiffre complet).

Pour information, l’ADN, l’acide désoxyribonucléique (mais est-il nécessaire de le rappeler puisqu’on l’emploie tous les jours sous cette forme lexicale ?) est une macromolécule formée d’une multitude de molécules qu’il faut correctement appeler nucléotides. Ceux-ci sont constitués, entre autres, d’un élément appelé base azotée.

Il existe 4 bases principales pour coder l’information sous forme de séquences, des séquences qu’on peut comparer avec celle utilisée en Informatique : la base binaire (0 et 1). Si une séquence binaire que nous appellerons Octet correspond à 256 états (2^8) voici ce que donne une séquence quadrinaire (permettez-moi le néologisme) : séquence génétique.

Lorsque l’on voit ce que l’Homme peut faire avec deux bases seulement (0 et 1), imaginez ce que Dame Nature peut faire avec 4 bases !

Mais je n’irai pas plus loin dans mes explications car je n’ai ni les connaissances nécessaires à un tel exposé, ni la justification pour sortir de mon sujet. Bref ! Si les chiffres annoncés par cette étude donnent déjà le tournis, ils forcent l’humilité dès qu’on les compare avec ceux dont la nature nous a dotés.

Pour ceux que je n’ai pas découragés, je vous propose un petit résumé de cette étude, publié sur lesechos.fr et un second sur le même site subtilement nommé : Le vertige des mémoires informatiques.

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A la lecture de ce 3ème billet sur Ubuntu, certains penseront que j’ai repris la plume uniquement pour promouvoir Linux. Je répondrai bien par l’affirmative… mais en vérité, la chose essentielle qui motive mes interventions est surtout le plaisir de partager une passion commune ; en l’occurrence, l’utilisation de Linux et la découverte de trucs et astuces qui nous facilitent la vie et améliorent notre confort.

Cette fois je vous parlerai de la gestion des souris modernes en pleine crise d’adolescence au vu de leur façade pleine de boutons. La mienne en comporte pas moins de seulement cinq ! Il faut dire qu’elle est en fin de croissance :) .

Si sous Windows l’existence d’un driver permettait de gérer ces cinq boutons, il n’en est pas de même sous Ubuntu. Alors que faire de tous ces boutons ?

La solution se trouve dans l’utilisation de l’application BTNX disponible dans la logithèque. Après installation, retrouvez l’application dans le menu Applications/Outils système et lancez-la. S’agissant d’un outil modifiant la configuration d’un fichier système, il vous sera demandé d’entrer votre mot de passe.

Dans l’application, commencez par faire détecter votre souris. Cela se fait rapidement. Passez ensuite à la détection des boutons qu’il faudra tenir sélectivement appuyés jusqu’à la reconnaissance complète du bouton concerné. Une barre de progression permettra de suivre cette reconnaissance.

Cette opération effectuée, rendez-vous dans l’onglet Boutons et sélectionnez un par un les boutons afin de leur attribuer une instruction parmi les trois suivantes :

  • Combinaison de touches
  • Changement de configuration
  • Exécution de commandes

Ensuite pour valider l’ensemble et permettre une utilisation immédiate de ces affectations, revenez sur la page d’accueil (onglet Configurations) et cliquez sur “Redémarrer btnx“. Vos boutons ont maintenant une fonction autre qu’un visuel inesthétique.

Petite astuce :
Si l’un des boutons de votre souris n’est pas reconnu, c’est ce qu’il m’est arrivé, éditez en mode SU (Lancez le terminal et tapez les commandes “sudo gedit“, entrez votre mot de passe) le fichier /etc/btnx/btnx_config_Default. Celui-ci contient toutes les coordonnées de votre souris et de ses boutons.

Copier-coller une des sections consacrée à un bouton reconnu et affectez sur la ligne rawcode une valeur immédiatement supérieure ou immédiatement inférieure à celle existante. Exemple : mon bouton central n’était pas reconnu mais les boutons 4 et 5 l’étaient. Ces derniers boutons étaient codés respectivement 0x01000113 et 0x01000114, mon bouton 3 devait donc logiquement correspondre à la valeur 0x01000112 et ça a marché !

Enregistrez votre modification et relancez btnx-config (véritable nom de l’application). Votre bouton absent est désormais présent.

Si vous avez bien suivi ce tuto, et si c’est la première fois que vous mettez les mains dans le cambouis, alors laissez-moi vous souhaiter une Bienvenue dans le merveilleux monde de Linux :) .

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Mon billet promotionnel sur Ubuntu est parvenu à créer des vocations et j’en suis fier.

Je pense que la meilleure récompense (au-delà des dons en argent) que l’on puisse offrir aux développeurs d’Ubuntu est d’utiliser au quotidien le résultat de leur travail mis gratuitement à notre disposition. Un grand merci pour leur labeur et une pensée affectueuse pour le généreux Mark Shuttleworth sans qui Ubuntu n’aurait jamais vu le jour.

Passons cette phase de remerciement et intéressons-nous à l’Evolution de notre Ubuntu. Les connaisseurs auront apprécié le jeu de mot car Evolution est le nom de la messagerie livrée avec l’OS.

Je vais être direct. Même si cette messagerie est très évoluée et très complète, Evolution ne m’a pas séduit. Le plus agaçant est de ne pas pouvoir détruire sélectivement les fichiers se trouvant dans la corbeille : c’est tout ou rien.

J’ai donc porté mon choix sur un client de messagerie que j’utilise à mon travail. Ce lecteur de courrier est développé par la célèbre fondation Mozilla (bien connue pour son navigateur à succès FireFox) et se nomme : Thunderbird !

Ce qui suit suppose que vous ayez mis en place les paramétrages d’Evolution, mis à jour votre agenda, vos contacts et vos mails. Sachez qu’Evolution d’Ubuntu 10.10 permet l’importation des fichiers pst exploités par Outlook de Microsoft. Je pense que cette précision va en ravir quelques-uns car pour ma part, c’est après être passé par une série de conversions que je me suis rendu compte de l’existence de cette option… On ne se refait pas ! :(

Voici un lien ou vous trouverez un tuto soigné et complet pour effectuer cette migration en douceur : pascal.ledisque.free.fr.

Je vous laisse découvrir cet excellent article publié par Pascal Le Disqué car il n’y a rien à ajouter. J’insère juste cette précision lors de la mise en place des notifications au tableau de bord : après avoir installé l’extension libnotify-mozilla.xpi, il faut redémarrer le PC.

Bonne migration sur Thunderbird !

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Traditionnellement, lorsqu’une nouvelle année débute, on choisit de faire comme elle : repartir sur de nouvelles bases.

Et si parmi vos résolutions se trouvait celle de switcher sur Linux ?

Avouez que vous y avez pensé plusieurs fois notamment quand Windows mouline indéfiniment en cherchant on ne sait quoi sans jamais vous laisser la main. Combien de fois avez-vous pesté sur un satané logiciel qui vous demande toujours plus de ressources alors que vous venez d’acquérir la dernière machine dotée d’un processeur huit coeurs et 16 Go de Ram ?

Et pourtant vous le savez car tout le monde le dit, “avec Linux, tout roule même avec une configuration dépassée !”

Il y a 15 jours encore, j’étais comme vous et je pensais même acheter la version Seven de Windows car mon Vista s’essouffle malgré ma configuration 8-coeurs 4 Go de RAM. Mais le prix m’a vite refroidit, Brrr !

Et je me suis souvenu des propos d’un ancien débutant que j’avais formé à l’informatique qui m’a dit, “Jean-Claude je suis passé à Ubuntu… Que du bonheur !

Eh bien je confirme ! Que du bonheur :

  • démarrage OS arrêté : 20 secondes,
  • mise en veille simple : 1 seconde,
  • réveil : 1 seconde,
  • arrêt complet : 10 secondes !
  • ouverture de Firefox : 2 secondes à froid,
  • page google actualité chargée en 1 seconde à chaud !

Bref, une vitesse surprenante à voir lorsqu’on vient de Windows.

Comparé à Mac OS, je ne peux pas en parler. Je n’ai jamais eu de Mac mais sachant que Mac OS est basé sur un système Linux, je commence à comprendre certains aficionados des Mac.

Je vous ai donné envie d’essayer ? Alors vous pouvez passer par un live-cd mais je vous conseille plutôt d’installer Linux en double Boot. D’une part vous pourrez revenir sur Windows (ce que je n’ai pas fait depuis 15 jours) et d’autre part vous pourrez essayer dans la plénitude de ses performances votre distribution linux.

Au fait en parlant de distribution, je vous conseille vivement Ubuntu ! Pourquoi ? Déjà pour le symbole qu’il véhicule, Ubuntu signifie « Humanité ». Ubuntu signifie également « Je suis ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous ». Et si ça ne suffit pas à vous convaincre, sachez que Ubuntu comporte tous les drivers de n’importe quel device. Mon ordinateur très récent n’a rencontré aucun problème de driver. Cerise sur le gâteau, Nvidia fournit des drivers spécifiques pour les distributions Linux dont Ubuntu.

Alors maintenant n’hésitez plus !

Commencer par graver l’image de la dernière version de Ubuntu 10.10. Il existe une version 32 bits et une version 64 bits sur ubuntu-fr.org. Une fois l’image gravé au format iso (il existe des logiciels gratuits qui font ça très bien), bootez sur votre CD et laissez-vous faire ! Dans une demi-heure vous serez dans le merveilleux monde de Linux.

Toute la documentation, le savoir-faire et le faire savoir sur ubuntu-fr.org.

Ah oui ! J’oubliais le dernier argument : c’est gratuit ! :)

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Mon emploi du temps étant surchargé cette semaine et l’actualité Informatique ne me donnant pas de sujets intéressants et à mon goût, il faut que je me fasse violence pour vous trouvez un petit billet quotidien.

Alors je vous propose ce magnifique objet qui peut faire un très beau cadeau de noël pour geek ou pour passionné d’Informatique.

Il existe également un modèle pour gauchers :) .

Les plus pervers d’entre vous apprécieront…

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Toujours dans ma période “blagues en rapport avec l’Informatique”, en voici une petite qui me fait bien rigoler :

Quatre ingénieurs sont dans une voiture. Il y a un mécanicien, un électronicien, un chimiste et un informaticien.

Tout à coup, la voiture cale et le moteur s’arrête.

Le mécanicien annonce aussitôt : “c’est sans doute un problème de transmission”.

– “Mais non”, dit le chimiste, “c’est la faute des acides de la batterie !”.

– “A mon avis, c’est le circuit électronique qui ne fonctionne plus”, enchaîne l’électronicien.

Enfin, après quelques minutes de réflexion, l’informaticien propose : “et si on essayait de fermer toutes les fenêtres, de sortir et après de rentrer à nouveau ?”

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