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Je profite des précédents billets de JClaude sur Ubuntu pour vous faire partager un petit logiciel que j’utilise depuis mes débuts sur Linux. Il se nomme “Cairo-Dock“. Comme son nom l’indique, c’est un dock qui fait un peu penser à celui présent sur les Mac.

Un dock est une barre de lancement d’applications. Celle de Cairo-Dock est animée et intègre, dans ses dernières versions, une gestion de ses plugins sous forme de desklets (ou widgets) directement affichés sur le bureau de l’utilisateur tels des icônes interactives. Vous trouverez plus de précision sur Wikipedia.

Voici donc un exemple ce que vous allez trouver sur votre bureau :

Il est très joli, agréable à utiliser et surtout gratuit. Vous trouverez d’autres exemples de rendus sur doc.ubuntu-fr.org.

Après un certain nombre de docks testés, il s’avère que Cairo-dock est pour moi le meilleur.

A récupérer sur glx-dock.org.

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Le logiciel Google Earth est apparu comme une révolution sur la manière de voir notre planète. En effet, il permet de parcourir le monde grâce à des images satellites prises du ciel.

Si vous ne l’avez pas encore, je vous invite à le télécharger sur le site officiel.

Ainsi, vous pourrez voir votre maison, vue du ciel, ou celles des voisins. Mais de petits malins se sont amusés à rechercher des images insolites, des messages, des formes de vie, des zones d’essais nucléaires et bien d’autres…

Un point précis sur une carte se décrit par des coordonnées GPS sous la forme XX°YYZZ“N XX°YYZZ“O.

Voici donc quelques coordonnées à entrer dans Google Earth (selon la configuration du logiciel, il se peut que vous deviez remplacer “O” par “W”) :

Crop circle Italie : 44°40’52.66″N 10°19’02.81″E
Forme sur montagne : 40°27’19.02″N 93°45’03.45″E
Même genre de forme : 40°27’37.56″N 93°24’23.08″E
Zone d’essais : 40°27’32.43″N 93°18’52.13″E
Forme triangulaire dans désert : 30°30’38.32″S 115°22’57.62″E
Triangle avec rond dedans : 37°37’42.39″N 116°50’43.59″O
Logo Firefox sur un champ : 45°07’26.08″N 123°06’48.53″O
Avion et piste sur toit : 40°42’15.94″N 74°00’29.55″O
Avion abandonné en forêt : 45°24’28.83″N 123°00’26.71″W
Maison de Travolta + son avion et sa piste : 29°16’41.66″N 82°07’00.11″O
“Jesus love you” : 43°38’43.57″N 115°59’34.12″O
Cible essais nucléaires : 37°33’49.92″N 116°50’58.47″O
Puits de pétrole en feu : 29°50’32.59″N 47°50’46.64″E
Logo Batman : 26°21’29.04″N 127°47’02.21″E
Coca géant : 37°46’44.51″N 122°23’18.36″O
Rubik’s cube et clavier : 28°20’53.38″N 81°32’34.78″O
Missile avec trainée : 38°13’36.22″N 112°17’56.19″O
Zone secrète : 37°29’37.89″N 116°13’43.11″W
Des centaines d’avions : 32°10’15.55″N 110°51’12.19″W
Cimetière d’avions : 32° 9’18.86″N 110°52’59.71″O

Vous avez également accès à la fameuse Zone 51 mais on n’y voit pas grand chose. Quelques bases secrètes ont d’ailleurs été remplacées par des forets sur demande du gouvernement.

N’hésitez pas à nous faire partager vos trouvailles dans les commentaires.

Découvert sur tout-sur-google-earth.com et icietmaintenant.fr.

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QuickTime est un framework multimédia développé par Apple. C’est une bibliothèque logicielle qui gère à la fois du son et de l’image.

Un développeur qui souhaite se lancer dans la création d’une application multimédia, peut choisir de programmer lui-même la partie du logiciel qui décodera la musique et la vidéo ou se servir d’une bibliothèque de commandes toutes prêtes pour se simplifier la tâche (le fameux framework).

Normalement, il est nécessaire d’installer QuickTime pour lire les fichiers “.mov” et lancer certains logiciels qui utilisent le framework d’Apple. Or QuickTime est assez lourd à télécharger (33 Mo) et, personnellement, j’ai horreur que l’on m’impose un logiciel.

Récemment, je suis tombé sur un logiciel qui réclamait justement QuickTime 6 pour fonctionner. J’ai téléchargé, à contrecœur, la dernière version du logiciel d’Apple (la 7) et je me suis trouvé confronté à de nombreux bugs. Du coup, j’ai cherché une alternative et j’ai découvert QuickTime Alternative, le bien nommé !

Sa version 3.2.2 correspond à la version 7 de QuickTime. Après installation, je n’ai plus rencontré les bugs que je rencontrais avec QuickTime. Ne pesant que 18 Mo, l’installation est rapide et le programme semble au final se contenter de moins de ressources du système.

QuickTime Alternative est compatible avec la majorité des systèmes fonctionnant sous Windows : Seven 32 bits et 64 bits, Vista 32 bits et 64 bits, XP et 2000.

Au passage, notez qu’il existe la même chose pour se passer du RealPlayer de Real Networks (fichiers “.rmx”), en installant Real Alternative.

Un bon moyen de se passer de l’usine à gaz d’Apple sur free-codecs.com.

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PhotoFiltre est un logiciel gratuit de retouche d’image. Il est à la fois très simple à utiliser et possède tout ce qu’il faut pour réaliser des interventions classiques sur des images ou des photos.

Personnellement, je l’utilise dans 99% des cas qui touchent à la manipulation d’images. Je me tourne exceptionnellement vers Paint.NET ou Photoshop.

Il existe également une version améliorée, payante, qui s’appelle Photofiltre Studio et qui apporte plusieurs fonctions très intéressantes comme la gestion des calques.

Par défaut, PhotoFiltre enregistre vos documents au format bitmap “BMP” qui est reconnu par quasiment tous les visualiseurs et éditeurs d’images. Le problème, c’est que ce format est lourd et donc que les fichiers sont volumineux. Il est donc possible d’utiliser par défaut un autre format.

Ouvrez PhotoFiltre et allez dans le menu “Outils“. Sélectionnez “Préférences…” et déroulez le menu du haut sur “Enregistrement“. Cochez la case “Utiliser un format par défaut” et choisissez une extension.

En général, on opte pour le format “JPEG” (.jpg) mais attention, ce format permet d’alléger énormément le poids des fichiers car il compresse et modifie les données. Il y a une perte réelle de qualité, sensée ne pas être “trop” détectée par l’œil humain (comme le MP3 pour la musique). Le JPG est à employer comme format final, par exemple pour publier sur le Web une fois les ajustements réalisés.

La version gratuite de PhotoFiltre est à récupérer sur photofiltre.free.fr.

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Récemment, et suite à une manipulation hasardeuse, je me suis retrouvé avec un fichier impossible à supprimer. A chaque tentative, Windows (XP Pro dans mon cas) me disait que le fichier était introuvable et donc qu’il n’était pas possible de le faire disparaître.

Comme ce n’est pas la première fois que cela m’arrivait, j’ai essayé un tas de combines simples et connues pour forcer la suppression de ce fichier :

– modifier son nom et son extension,
– passer en “mode sans échec“,
– utiliser “l’invite de commandes“,
– passer par un logiciel pour tenter la suppression (logiciel de gravure par exemple),
– passer par un autre ordinateur en réseau pour tenter la suppression,
– utiliser l’outil de vérification des disques durs…

Mais rien n’y a fait, je commençais sérieusement à désespérer quand je me suis rappelé d’un billet de Tonyo où il décrivait un petit logiciel qui ne paie pas de mine : Unlocker. En deux clics, il m’a supprimé le fichier rebelle. Incroyable pour un logiciel gratuit qui pèse moins d’1 Mo. Vous lui indiquez le fichier à éliminer et il s’exécute. Rien de plus simple.

Mais Unlocker dispose également de nombreuses autres fonctionnalités permettant d’intervenir sur un fichier récalcitrant comme réaliser son déplacement ou forcer un changement de nom. Bref, c’est un petit utilitaire à laisser dans un coin de son disque dur.

Personnellement, j’ai utilisé la version portable du programme qui se trouvait sur mon indispensable Liberkey

Enfin, et si vraiment aucune astuce ne fonctionne, je vous conseille d’utiliser une distribution Linux sur un Live CD qui vous permettra d’agir sur le fichier à partir d’un autre système d’exploitation.

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GuitarTuner est un accordeur électronique de guitare en ligne. C’est une applet Java qui fonctionne comme un accordeur réel. Elle est libre et gratuite.

Malgré son aspect un peu vieillot, ce petit programme cumule les qualités. Il est fiable et très simple d’utilisation.

Il suffit de jouer devant un microphone branché sur votre ordinateur ou d’utiliser celui qui est généralement intégré sur les portables. Le réglage de l’instrument se fait en fonction des données affichées sur le vu-mètre classique à aiguille.

N’oubliez pas d’accepter l’installation de l’applet sur votre machine. Il est également possible de récupérer les fichiers et d’installer l’application sur votre propre site Internet. Le logiciel est libre, sous licence GNU/GPL. Le projet est hébergé sur SourceForge.

Accordez votre guitare sur openstudio.fr.

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Lorsque j’ai eu connaissance de cette application sur le Market Android, j’ai de suite vérifié la date du calendrier… Non, nous ne sommes pas le 1er avril !

Qu’est-ce que c’est que cette blague ? Une application qui compte instantanément le rythme cardiaque ! Pourtant au vu des commentaires, cette application fonctionne.

Ma curiosité piquée au plus vif, j’ai tenu à comprendre le fonctionnement de Instant Heart Rate, et c’est à partir de ce moment que je suis allé de surprise en surprise !

L’application se sert de l’appareil photo pour compter vos pulsations cardiaque plus précisément le flash ! Reconnaissez que ça tient du tour de magie digne de Houdini !

Pourtant, pourtant… voici l’explication scientifique : en gros, et pour ne pas rentrer dans des détails fastidieux, l’application se sert du flash pour envoyer des ondes infrarouges à travers la peau de l’index appuyé sur l’appareil photo. Un algorithme savant permet de filtrer les ondes parasites pour ne conserver que celles émises par la pression systolique.

Comme vous pouvez le voir, c’est très scientifique et encore là je suis allé au plus simple de la traduction de ce document diffusé sur freepatensonline.com.

Partiellement convaincu, j’ai téléchargé l’application pour la tester et… ça marche !

55 pulsations/minutes (je suis un grand sportif :)) s’affichaient au bout de quelques secondes seulement. J’ai immédiatement vérifié manuellement ce résultat qui s’est avéré le plus exact possible. Fabuleux !

Pour information cette application existe aussi pour iPhone en plus complet, Apple oblige…

A télécharger sur instantheartrate.com.

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La Fondation Blender à qui l’on doit Elephants Dream, réalisé en 2005, et Big Buck Bunny, 2008, propose son dernier court métrage en images de synthèse.

L’histoire raconte le parcours d’une jeune fille qui part à la recherche d’un dragon.

Les images sont réellement d’une très grande qualité et l’on reste facilement scotché sur les pas de la jeune héroïne.

Il a fallu une année aux 11 graphistes et aux 3 développeurs pour réaliser cette vidéo. Ils ont utilisé exclusivement des logiciels libres comme Blender, bien entendu,  mais aussi GIMP, Inkscape, MyPaint… Même leurs machines sentaient bon le Libre et étaient équipées de distributions Linux.

Vous trouverez plus d’infos et d’autres formats de distribution sur sintel.org.

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Je ne vais pas vous refaire mon fameux couplet sur “HADOPI c’est le mal“. Tout le monde a déjà compris, à part les dirigeants de notre pays, qu’il faut trouver une solution pour que les artistes soient justement rémunérés pour leurs œuvres mais que cette solution ne doit pas être mise en place au détriment de nos libertés.

OUI à une solution équitable mais NON au filtrage du Net !

C’est dans ce contexte un peu particulier, avec la mise en route d’HADOPI notamment, que je me pose un cruel dilemme : doit-on présenter des solutions de téléchargement qui contournent la surveillance d’HADOPI ?

D’un côté, c’est certainement un encouragement au piratage mais d’un autre, si les téléchargements diminuent énormément, ce sont tous ceux qui militent pour un filtrage d’Internet qui auront gagné. Et cela, c’est inacceptable. Surtout que ce sont les internautes qui maîtrisent le moins l’outil informatique qui vont se faire avoir, et se faire couper l’ADSL,  par manque de connaissances.

Donc, je vais vous présenter deux moyens pour récupérer des fichiers (légaux bien entendu) sans risquer de vous faire attraper par HADOPI. Il existe, bien entendu, d’autres solutions. Certaines sont valables mais payantes comme les VPN (les gratuits sont vraiment trop limités). Personnellement, mes nombreux essais n’ont porté que sur des moyens totalement gratuits et deux solutions me paraissent, pour l’instant, sortir du lot pour remplacer la bonne vieille mule.

Ce sont :
– StealthNet
les hébergeurs professionnels de fichiers couplés avec un logiciel de gestion des téléchargements.

Première solution : StealthNet.

C’est un client anonyme et crypté pour le réseau P2P RShare. Concrètement, et pour faire simple, c’est un Emule super protégé qui masque votre identité et les données qui transitent. J’ai réussi à obtenir très facilement des fichiers avec ce programme mais les débits étaient parfois un peu lents à cause du manque de sources et peut-être également à cause de la quantité de travail nécessaire pour crypter/décrypter les données.

Pour l’utiliser, téléchargez le client et installez-le. Utilisez le petit moteur de recherche intégré dans le logiciel pour trouver les fichiers qui vous intéressent. Certains sites proposent des liens mis à jour régulièrement, je vous laisse les découvrir avec votre moteur de recherche favori.

De par son fonctionnement “classique”, les anciens utilisateurs d’Emule ne seront pas dépaysés. Je vois bien StealthNet devenir son remplaçant lorsqu’il aura récupéré une grande partie des utilisateurs du mulet. Plus il y aura d’internautes qui partagent et plus les débits augmenteront.

Seconde solution : utiliser les sites d’hébergement professionnel comme MegaUpload, Rapidshare, Hotfile… avec un programme qui va gérer vos téléchargements.

Personnellement, j’ai de très bons résultats avec JDownloader. Téléchargez-le, il est gratuit, et installez-le. Après quelques mises à jour, il est parfaitement fonctionnel, quoiqu’un peu long à se lancer.

Ensuite, il suffit de repérer les fichiers que vous souhaitez récupérer sur les sites d’hébergement professionnel qui sont nombreux et parfaitement légaux (contrairement à certains fichiers qu’ils hébergent d’ailleurs). Pour cela, il y a deux solutions :
– utiliser un moteur de recherche spécifique qui va fouiller chez ces hébergeurs. Vous en trouverez un tas en tapant “moteurs megaupload rapidshare” dans Google.
– passer par des sites et des forums qui recensent des films, des morceaux de musique, des jeux… Je vous laisse les dénicher sur le Net.

Une fois que vous avez trouvé un lien, et si vous avez JDownloader qui tourne en tâche de fond, il suffit simplement de faire un “copier” sur l’adresse du lien (clic droit + copier) et votre fichier vient se ranger dans l’onglet “Collecteur de liens” du logiciel qui va automatiquement vérifier que celui-ci est bien disponible. Il suffit ensuite de valider le ou les fichiers avec le bouton “Ajouter tous les paquets” et ils viendront se ranger dans la file d’attente de l’onglet “Téléchargement”.

Après on lance les téléchargements (petite icône type “lecture”) et il n’y a plus qu’à regarder les octets arriver dans la colonne “Progression“. JDownloader se charge d’enchaîner les téléchargements car les connexions simultanées sont limitées par les hébergeurs. Le programme se charge également de gérer les captchas sur MegaUpload et Rapidshare : plus besoin de rester devant son ordinateur pour taper les codes de vérification.

C’est la solution de téléchargement que je privilégie en ce moment car les débits sont plutôt bons, surtout en dehors des heures de grosse affluence sur Internet (19h-21h).

Attention tout de même, aucune solution (donc aucune de ces deux là également) ne garantit l’anonymat à 100 %. Mais, actuellement, ces deux méthodes vous permettront  d’échanger des données à l’abri des regards indiscrets des majors et de l’HADOPI.

Si vous connaissez d’autres moyens gratuits et efficaces pour télécharger des données en toute sécurité, n’hésitez pas à nous en faire part dans les commentaires

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Imaginez la scène : vous êtes au boulot en train de faire une petite partie de Tétris, comme tous les vendredis. Votre patron entre soudainement. Pris de panique, vous tentez de fermer votre jeu en catastrophe mais il y a aussi toutes les autres fenêtres de votre navigateur : la page Gmail avec le message de mémé, votre cadeau de Noël 2009 en vente sur eBay, une vidéo sur EspaceRezo et enfin ce magnifique mannequin suédois qui est apparemment très souple…

Votre souris s’emballe et c’est le drame ! C’est un document que vous avez mis la matinée à taper qui se ferme et, bien entendu, vous n’aviez rien sauvegardé… Votre week-end est foutu ! Ah si vous aviez installé “Close all”… (je le vends bien non ? :) )

Ce petit logiciel permet, en un clic, de fermer toutes les applications ouvertes et donc de faire disparaître instantanément toutes les fenêtres de votre bureau. Il est gratuit et ne nécessite pas d’installation.

Commencez par télécharger l’archive “zip” puis décompressez-là. Vous obtiendrez plusieurs fichiers dont le fameux “CloseAll.exe” qu’il suffit de copier/coller sur le bureau et de glisser dans la barre de tâches par exemple.

Notez que ce petit exécutable ne consomme pas de ressources systèmes puisqu’il envoie juste le signal de fermeture aux applications et qu’il est possible de configurer facilement des exceptions pour que certains programmes de votre choix ne se ferment pas. Il est compatible avec toutes les versions de Windows.

Vous trouverez “Close All” et plus d’informations sur ntwind.com.

Logiciel repéré sur libellules.ch.

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