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Astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir !

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Tout joueur qui se respecte se doit d’avoir un ping (ou temps de latence) correct, car il s’agit du temps que met une information pour arriver à la machine du destinataire, et vice-versa.

Ainsi, plus votre temps de latence est faible, plus le jeu en ligne sera fluide.

Free met gratuitement à disposition de ses clients un mode qui permet d’améliorer ce ping : le mode Fastpath. Un autre mode existe également : le mode Patate, qui permet d’augmenter son débit. En revanche, l’utilisation de l’un de ces modes se fait au détriment de certaines vérifications qui permettent d’avoir une liaison stable et d’éviter d’éventuelles pertes dues à la qualité de votre ligne.

Avant d’activer le mode patate ou fastpath, vous devez donc vérifier la qualité de votre ligne. Rendez-vous sur le site de Free, puis dans l’onglet “mon compte” (tout en haut, au dessus du logo Free), loguez-vous avec votre numéro de téléphone fixe et le mot de passe que vous avez reçu par courrier lors de votre inscription.

Cliquez ensuite sur “Mon abonnement” dans l’interface de gestion. Puis allez dans les “caractéristiques de ma ligne” :

Regardez l’affaiblissement de votre ligne. Généralement, au-dessus de 30 dB c’est risqué de passer en mode Fatpath ou Patate car votre ligne deviendrait trop instable, même si cela ne vous coûte rien d’essayer.

Pour passer en mode Fastpath, cliquez à gauche sur l’onglet Internet (la vignette avec un globe). Allez dans “Réglage du ping (fastpath)”. Tout en bas, sélectionnez Fastpath ou Patate dans le menu déroulant, puis validez.

Le lendemain, votre ligne sera dans le mode choisi. Si vous constatez des coupures en regardant la télévision ou sur Internet, repassez en mode normal.

En tout cas, merci Free pour la mise à disposition de ces réglages, et surtout leur gratuité !

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Cdiscount est est un distributeur de produits de consommation bien connu, qui vend exclusivement ses produits en ligne. J’ai déjà passé quelques commandes chez eux et je reconnais que j’apprécie leurs services.

Mais depuis novembre 2010, je reçois pratiquement un mail par jour de leur part. J’ai laissé passer le mois de décembre, en supportant ces mails car j’étais curieux de voir jusqu’où allaient les choses. Voici d’ailleurs un screenshot qui parlera de lui même :

C’est donc 19 mails que j’ai reçus. Sur 31 jours, je trouve que cela fait beaucoup quand même ! D’accord, c’était une période de fête et du coup, Cdiscount a sans doute voulu booster son site Internet. Mais bon, les fêtes sont terminées et ça continue. Je n’arrête pas d’en recevoir.

A un moment, j’ai même cru que Cdiscount était devenu un leader dans le monde du spam :) .

J’en profite donc pour vous donner une petite astuce qui va vous permettre, le plus souvent, de ne plus recevoir ce genre de publicité.

Prenez quelques secondes et allez jeter un œil à la fin d’un des messages que vous ne souhaitez plus recevoir. Il y a, en général, un petit texte qui contient soit un lien pour se désabonner, soit une explication. C’est obligatoire !

Pour Cdiscount, c’est une explication qui mène à un lien juste au dessus pour se désabonner. Le voici :

En application de la loi du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, vous disposez des droits d’opposition, d’accès et de rectification des données vous concernant. Vous pouvez exercer ces droits par courrier postal adressé à : Cdiscount.com / SGPN – Service Clients désabonnements – BP 90200 – 93472 Neuilly Sur Marne. Vous pouvez vous désabonner ou modifier vos abonnements aux newsletters de Cdiscount (i) en cliquant sur les liens hypertextes « Gérer mes abonnements » ou « Me désabonner » ci-dessus, (ii) en vous rendant directement sur vos pages personnalisées de l’Espace Clients et en cliquant sur le lien « Modifier mes préférences » ou encore (iii) par courrier postal à l’adresse susmentionnée. Les demandes de désabonnement présentées à Cdiscount seront prises en compte dans un délai maximum de 48 heures, sauf pour les demandes transmises par courrier postal, qui requièrent un délai de 8 jours.

Pour conclure, je dirai qu’il faut souvent décocher les petites cases présentes lorsque l’on s’inscrit sur un site Internet sous peine de recevoir un maximum de spam. Les sites sérieux vous proposeront toujours un moyen de vous désabonner.

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Il y a quelques mois, je vous avais présenté une technique pour débrider la limitation des 72 minutes sur MegaVideo. En effet, rien n’est plus pénible que de devoir faire une pause forcée lorsque l’on regarde un film en streaming.

Pour contourner cette restriction, il existe différentes solutions. La plus connue est sans doute Illimitux. C’est un plugin disponible pour Firefox ou Chrome, qui “débride” les vidéos. Or, celui-ci connaissait quelques difficultés et ne fonctionnait plus.

Et bien figurez-vous qu’il est de retour. J’en ai profité pour réaliser un petit tutoriel pour vous expliquer comment on s’en sert :

http://www.youtube.com/watch?v=0j-GkNceyX4

C’est mon premier tutoriel, soyez indulgent :) .

Ce plugin bien pratique est à récupérer sur illimitux.net (inscription gratuite obligatoire pour fonctionner).

Toutefois, il se peut que pour x raison, Illimitux ne fonctionne pas chez vous. Vous pouvez alors vous orienter vers le plugin CacaoWeb.

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Voici une petite astuce qui fonctionne avec Windows Vista et Seven et qui vous permettra, le plus simplement du monde, d’accéder à une sorte de panneau de configuration avancé.  Vous y trouverez de nombreuses fonctionnalités qui ne sont pas dans le panneau de configuration par défaut.

Attention toutefois : cette manipulation sous Windows Vista 64 bits peut faire planter l’ordinateur et nécessiter un redémarrage en mode sans échec !

Voici donc comment accéder à cet outil: sur votre bureau ou dans un dossier, créez un nouveau dossier et nommez le :

GodMode.{ED7BA470-8E54-465E-825C-99712043E01C}

Et c’est tout ! Vous devriez voir apparaître une magnifique icône sur laquelle il vous suffira de cliquer pour accéder au panneau. Vous y trouverez donc de nombreux outils, rangés par domaines (menu démarrer, réseaux, personnalisation…) qui vous permettront de faire tout et n’importe quoi dans votre machine.

Je me demande quand même pourquoi une telle manipulation est nécessaire pour accéder à un panneau de configuration qui aurait pu (du ?) être celui par défaut sous Windows.

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PhotoFiltre est un logiciel gratuit de retouche d’image. Il est à la fois très simple à utiliser et possède tout ce qu’il faut pour réaliser des interventions classiques sur des images ou des photos.

Personnellement, je l’utilise dans 99% des cas qui touchent à la manipulation d’images. Je me tourne exceptionnellement vers Paint.NET ou Photoshop.

Il existe également une version améliorée, payante, qui s’appelle Photofiltre Studio et qui apporte plusieurs fonctions très intéressantes comme la gestion des calques.

Par défaut, PhotoFiltre enregistre vos documents au format bitmap “BMP” qui est reconnu par quasiment tous les visualiseurs et éditeurs d’images. Le problème, c’est que ce format est lourd et donc que les fichiers sont volumineux. Il est donc possible d’utiliser par défaut un autre format.

Ouvrez PhotoFiltre et allez dans le menu “Outils“. Sélectionnez “Préférences…” et déroulez le menu du haut sur “Enregistrement“. Cochez la case “Utiliser un format par défaut” et choisissez une extension.

En général, on opte pour le format “JPEG” (.jpg) mais attention, ce format permet d’alléger énormément le poids des fichiers car il compresse et modifie les données. Il y a une perte réelle de qualité, sensée ne pas être “trop” détectée par l’œil humain (comme le MP3 pour la musique). Le JPG est à employer comme format final, par exemple pour publier sur le Web une fois les ajustements réalisés.

La version gratuite de PhotoFiltre est à récupérer sur photofiltre.free.fr.

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Récemment, et suite à une manipulation hasardeuse, je me suis retrouvé avec un fichier impossible à supprimer. A chaque tentative, Windows (XP Pro dans mon cas) me disait que le fichier était introuvable et donc qu’il n’était pas possible de le faire disparaître.

Comme ce n’est pas la première fois que cela m’arrivait, j’ai essayé un tas de combines simples et connues pour forcer la suppression de ce fichier :

– modifier son nom et son extension,
– passer en “mode sans échec“,
– utiliser “l’invite de commandes“,
– passer par un logiciel pour tenter la suppression (logiciel de gravure par exemple),
– passer par un autre ordinateur en réseau pour tenter la suppression,
– utiliser l’outil de vérification des disques durs…

Mais rien n’y a fait, je commençais sérieusement à désespérer quand je me suis rappelé d’un billet de Tonyo où il décrivait un petit logiciel qui ne paie pas de mine : Unlocker. En deux clics, il m’a supprimé le fichier rebelle. Incroyable pour un logiciel gratuit qui pèse moins d’1 Mo. Vous lui indiquez le fichier à éliminer et il s’exécute. Rien de plus simple.

Mais Unlocker dispose également de nombreuses autres fonctionnalités permettant d’intervenir sur un fichier récalcitrant comme réaliser son déplacement ou forcer un changement de nom. Bref, c’est un petit utilitaire à laisser dans un coin de son disque dur.

Personnellement, j’ai utilisé la version portable du programme qui se trouvait sur mon indispensable Liberkey

Enfin, et si vraiment aucune astuce ne fonctionne, je vous conseille d’utiliser une distribution Linux sur un Live CD qui vous permettra d’agir sur le fichier à partir d’un autre système d’exploitation.

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Suite à de nombreuses demandes (IRL) de débutants en informatique, voici comment installer facilement une police d’écriture qui sera utilisable ensuite dans la plupart des logiciels qui se trouvent sur votre machine. : pack Office, OpenOffice, Photofiltre…

Tout d’abord, allez télécharger la police qui vous intéresse sur un site comme ceux que je vous avais déjà proposés dans l’un de mes billets. Si besoin, décompressez l’archive récupérée pour obtenir un nouveau fichier dont l’extension sera de type “.ttf” en général mais il existe de nombreux autres formats.

Il vous suffit ensuite de copier (couper) / coller ce fichier contenant la police dans le répertoire : C :\WINDOWS\Fonts. Et c’est fini.

Vous pouvez maintenant ouvrir le logiciel avec lequel vous voulez utiliser la ou les polices d’écriture que vous avez choisies.

Il existe d’autres moyens pour obtenir le même résultat mais avec cette manipulation, vous contrôlez toutes les étapes.

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Depuis quelques semaines, mon HTC Magic donnait quelques signes de faiblesse : impossible de télécharger ou de mettre à jour des application sur l’Android Market, des SMS qui ne partaient pas…

Juste avant de l’éclater contre un mur (et oui, je ne suis pas toujours très patient), je décide tout de même de regarder tout ça de près. L’appareil n’est pas tout jeune (2 ans) mais je m’y suis habitué.

J’opte pour une solution découverte sur Internet qui consiste à enlever et remettre plusieurs fois la batterie, en espérant que le téléphone se remette à fonctionner normalement et là : le drame… Impossible de redémarrer la machine qui se bloque juste avant la fenêtre où l’on doit rentrer son code PIN. Je me trouvais devant un écran vide avec un très léger rétro-éclairage.

Après quelques expérimentations infructueuses, je me suis résolu à pratiquer un “Hard Reset” à mon HTC Magic, c’est à dire à le remettre en “configuration usine“. Attention, cette manipulation ne doit être effectuée qu’en dernier recours car toutes les données présentes dans l’appareil sont effacées.

Je vous livre donc la manipulation :
– éteignez le HTC Magic,
– enlevez la batterie pendant 10 secondes (pour vous assurer que la machine est bien éteinte),
– remettez la batterie en maintenant appuyé les boutons “Home” (maison) et “Back” (flèche),
– au bout de 3 secondes vous arrivez sur un écran blanc avec 3 petits Android qui font du skate,
– validez “Clearstorage” en appuyant sur le bouton “Action” (petit trackball).

Et le tour est joué.

La bonne nouvelle, c’est que mon téléphone portable fonctionne de nouveau. La mauvaise, c’est que j’ai toutes les applications à réinstaller. En tout cas, j’ai l’impression que cette manipulation lui a fait le plus grand bien car la machine démarre plus rapidement et réagit plus vite qu’avant lorsque je l’utilise. Et puis cette aventure m’aura permis de me séparer d’un tas d’applications dont je ne me servais finalement pas !

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Je ne vais pas vous refaire mon fameux couplet sur “HADOPI c’est le mal“. Tout le monde a déjà compris, à part les dirigeants de notre pays, qu’il faut trouver une solution pour que les artistes soient justement rémunérés pour leurs œuvres mais que cette solution ne doit pas être mise en place au détriment de nos libertés.

OUI à une solution équitable mais NON au filtrage du Net !

C’est dans ce contexte un peu particulier, avec la mise en route d’HADOPI notamment, que je me pose un cruel dilemme : doit-on présenter des solutions de téléchargement qui contournent la surveillance d’HADOPI ?

D’un côté, c’est certainement un encouragement au piratage mais d’un autre, si les téléchargements diminuent énormément, ce sont tous ceux qui militent pour un filtrage d’Internet qui auront gagné. Et cela, c’est inacceptable. Surtout que ce sont les internautes qui maîtrisent le moins l’outil informatique qui vont se faire avoir, et se faire couper l’ADSL,  par manque de connaissances.

Donc, je vais vous présenter deux moyens pour récupérer des fichiers (légaux bien entendu) sans risquer de vous faire attraper par HADOPI. Il existe, bien entendu, d’autres solutions. Certaines sont valables mais payantes comme les VPN (les gratuits sont vraiment trop limités). Personnellement, mes nombreux essais n’ont porté que sur des moyens totalement gratuits et deux solutions me paraissent, pour l’instant, sortir du lot pour remplacer la bonne vieille mule.

Ce sont :
– StealthNet
les hébergeurs professionnels de fichiers couplés avec un logiciel de gestion des téléchargements.

Première solution : StealthNet.

C’est un client anonyme et crypté pour le réseau P2P RShare. Concrètement, et pour faire simple, c’est un Emule super protégé qui masque votre identité et les données qui transitent. J’ai réussi à obtenir très facilement des fichiers avec ce programme mais les débits étaient parfois un peu lents à cause du manque de sources et peut-être également à cause de la quantité de travail nécessaire pour crypter/décrypter les données.

Pour l’utiliser, téléchargez le client et installez-le. Utilisez le petit moteur de recherche intégré dans le logiciel pour trouver les fichiers qui vous intéressent. Certains sites proposent des liens mis à jour régulièrement, je vous laisse les découvrir avec votre moteur de recherche favori.

De par son fonctionnement “classique”, les anciens utilisateurs d’Emule ne seront pas dépaysés. Je vois bien StealthNet devenir son remplaçant lorsqu’il aura récupéré une grande partie des utilisateurs du mulet. Plus il y aura d’internautes qui partagent et plus les débits augmenteront.

Seconde solution : utiliser les sites d’hébergement professionnel comme MegaUpload, Rapidshare, Hotfile… avec un programme qui va gérer vos téléchargements.

Personnellement, j’ai de très bons résultats avec JDownloader. Téléchargez-le, il est gratuit, et installez-le. Après quelques mises à jour, il est parfaitement fonctionnel, quoiqu’un peu long à se lancer.

Ensuite, il suffit de repérer les fichiers que vous souhaitez récupérer sur les sites d’hébergement professionnel qui sont nombreux et parfaitement légaux (contrairement à certains fichiers qu’ils hébergent d’ailleurs). Pour cela, il y a deux solutions :
– utiliser un moteur de recherche spécifique qui va fouiller chez ces hébergeurs. Vous en trouverez un tas en tapant “moteurs megaupload rapidshare” dans Google.
– passer par des sites et des forums qui recensent des films, des morceaux de musique, des jeux… Je vous laisse les dénicher sur le Net.

Une fois que vous avez trouvé un lien, et si vous avez JDownloader qui tourne en tâche de fond, il suffit simplement de faire un “copier” sur l’adresse du lien (clic droit + copier) et votre fichier vient se ranger dans l’onglet “Collecteur de liens” du logiciel qui va automatiquement vérifier que celui-ci est bien disponible. Il suffit ensuite de valider le ou les fichiers avec le bouton “Ajouter tous les paquets” et ils viendront se ranger dans la file d’attente de l’onglet “Téléchargement”.

Après on lance les téléchargements (petite icône type “lecture”) et il n’y a plus qu’à regarder les octets arriver dans la colonne “Progression“. JDownloader se charge d’enchaîner les téléchargements car les connexions simultanées sont limitées par les hébergeurs. Le programme se charge également de gérer les captchas sur MegaUpload et Rapidshare : plus besoin de rester devant son ordinateur pour taper les codes de vérification.

C’est la solution de téléchargement que je privilégie en ce moment car les débits sont plutôt bons, surtout en dehors des heures de grosse affluence sur Internet (19h-21h).

Attention tout de même, aucune solution (donc aucune de ces deux là également) ne garantit l’anonymat à 100 %. Mais, actuellement, ces deux méthodes vous permettront  d’échanger des données à l’abri des regards indiscrets des majors et de l’HADOPI.

Si vous connaissez d’autres moyens gratuits et efficaces pour télécharger des données en toute sécurité, n’hésitez pas à nous en faire part dans les commentaires

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Un dernier petit billet sur l’avancée technologique de la semaine, à savoir la mise en place de la recherche instantanée de Google.

Pour ceux qui n’apprécient pas d’être encore plus guidé (et le mot est faible) par Google ou qui veulent économiser un peu de bande passante, il existe heureusement un moyen rapide de se débarrasser d’Instant Search.

Commencez par taper quelque chose dans la barre de recherche (une lettre suffit) pour lancer le service instantanée et déroulez simplement le petit menu à droite du bouton “rechercher”. Sélectionnez “Désactivée (appuyer sur Entrée pour lancer la recherche)” à la place de “Recherche instantanée activée”.

Il est bien entendu possible de réactiver ce service de la même façon. Le petit menu de droite apparaît dès que l’on a validé une recherche.

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