EspaceRezo

Astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir !

Affichage des articles marqués données

L’omniprésence d’Internet, et de l’Informatique en général, a entraîné une fabuleuse croissance des échanges de données et donc, par là même, de la quantité de donnés à  stocker.

Du coup, il a fallu inventer des unités de mesure pour rendre compte de ces masses d’informations. On a d’abord mis en place l’octet, qui est  l’unité de base, composé de 8 bits, soit 8 chiffres binaires.

Puis on a inventé le kilooctet (103), le mégaoctet (106), le gigaoctet 109(), le téraoctet (1012), le pétaoctet (1015) et l’exaoctet (1018).

Mais, comme cela ne suffisait toujours pas, voici le zettaoctet (1021).

1 ZO = 1 000 000 000 000 000 000 000 octets

Je ne vous parlerai même pas du yottaoctet (1024) car on ne va pas en avoir besoin tout de suite…

Comme il n’est pas vraiment facile de se rendre compte des ordres de valeur, voici une petite vidéo visant à mettre un peu d’ordre dans vos esprits assoiffés de connaissances.

Pour info, “le byte, qui est un ensemble de bits adjacents, a presque toujours une taille d’un octet et les deux mots sont généralement, mais abusivement, considérés comme synonymes” (Wikipedia).

Repéré sur geeek.org par Darkadok.

(image techno-science.net)

Share

Cette petite astuce simple et pratique peut vous rendre service et éviter de vous faire perdre quelques données importantes. Elle s’adresse principalement aux débutants et aux non experts en informatique.

En effet, rien de plus rageant que de constater que le contenu d’une carte mémoire (SD, SDHC ou CompactFlash) a été accidentellement effacée lors d’une manipulation hasardeuse, alors que vous l’aviez confiée à quelqu’un d’autre par exemple…

Pour éviter ce désagrément, il est possible de verrouiller mécaniquement une carte mémoire en utilisant le petit loquet qui se trouve sur la tranche gauche de la carte.

En le basculant suivant l’inscription “lock”, aucun fichier ne pourra être effacé et il sera également impossible de copier de nouvelles données sur le support.

Pour débloquer la carte, il suffira de remettre le loquet en position normale.

Share

Suite à la demande Grissom dans un commentaire il y a quelques jours, voici, résumées dans le même billet, les adresses des sites qui hébergent les cartes des hotspots Wi-Fi gratuits des principaux fournisseurs d’accès Internet.

Le principe est à peu près le même partout : vous laissez une partie de votre propre réseau Wi-Fi ouvert au public et, en échange, vous pouvez vous connecter à tous les hotspots ouverts. C’est donnant, donnant. La combine consistant à échanger ses identifiants avec des personnes de confiance est bien pratique mais risquée.

La liste des hotspots en fonction des fournisseurs :

– chez FON : maps.fon.com

– chez SFR : cartewifi.sfr.fr

– chez Free : freebox-wifi.fr

– chez Bouygues Telecom : cartographie.bouyguestelecom.fr

Après j’ai essayé certains sites qui se vantaient de référencer un maximum de hotspots totalement gratuits (genre Mac Do, Quick…) mais je trouve que les réponses données ne sont pas vraiment à jour.

J’ai cru lire également, il y a quelques temps, qu’Orange allait proposer le même service d’ici la fin de l’année. A vérifier…

Enfin, si vous connaissez d’autres services fiables permettant de repérer des points d’accès Wi-Fi publics, n’hésitez pas à les poster dans les commentaires de ce billet. Je les rajouterai à cette liste…

Share

C’est la polémique du jour ! Deux chercheurs américains, Alasdair Allan et Peter Warden, affirment avoir découvert que les produits Apple de dernière génération, comme l’iPhone et l’iPad 3G, conservent une trace de tous les déplacements des utilisateurs.

Cette fonctionnalité cachée aurait fait son apparition dans la quatrième version du système d’exploitation iOS publié en juin 2010. Les informations sont stockées en clair et sans chiffrement, dans un fichier caché intitulé “consolidated.db”. Il est transféré sur l’ordinateur à chaque sauvegarde et peut contenir plusieurs mois de données. Le fichier est même restauré avec l’historique si l’utilisateur change d’appareil.

Apple n’a jamais commenté cette fonctionnalité et reste muet depuis l’annonce de cette découverte. Pour l’instant, rien n’indique que ces données soient effectivement transférées vers chez Apple ou vers des serveurs distants quelconques.

Pour prouver leurs dires, les deux chercheurs ont même mis au point une petite application qui permet d’afficher les données contenues dans le fichier “consolidated.db” sur une carte. Vous pouvez la télécharger gratuitement surpetewarden.github.com. Je n’ai pas pu la tester car je n’ai pas de produits Apple sous la main mais certaines vidéos qui circulent sur le Net sous assez édifiantes.

Comme ces grandes multinationales ne laissent jamais rien au hasard, on peut se douter qu’Apple pense utiliser cette fonctionnalité dans l’avenir (si ce n’est pas déjà fait). L’intérêt de pister ses utilisateurs est grand pour n’importe quel industriel. Avec ce type de données, il peut savoir précisément ce qui intéresse son client pour lui vendre le service ou l’appareil le plus approprié à ses besoins.

Comme Microsoft, au temps de sa suprématie, Apple est en train de devenir le grand méchant technologique. Heureusement pour la firme de Cupertino, Google traîne également dans les parages et possède largement les moyens de pister ses utilisateurs, et donc de partager ce statut de tueur de confidentialité.

Mais là du coup, je me demande si Apple ne prend pas ses utilisateurs pour des pommes

Share

Voici un site ou vous allez pouvoir suivre les navires en temps réel, grâce aux positions basées sur le Système d’Identification Automatique (AIS).

Les positions sont déclarées par plus de 35000 navires par jour et affichées sur une carte interactive Google. L’application assure une couverture mondiale sur plus de 850 ports et un nombre important de zones de haute mer.

Les ports d’arrivées et de départs sont enregistrés en temps réel.

Il est possible de faire des recherches sur les statistiques des ports, les détails du navire, les données historiques et l’heure estimée d’arrivée.

Bref, de quoi prendre le large sans avoir le mal de mer :wink: .

A découvrir sur marinetraffic.com.

Share

C’est ce que tend à démontrer l’équipe de Tom’s Hardware en soumettant à une véritable torture un pauvre disque dur de type SSD (pour Solid-State Drive).

Avant de commencer la description du supplice, mettons au point l’appellation : on ne dit plus disque mais “Espace de stockage à mémoire flash de type SSD”. Évidemment on peut faire plus court et appeler ce nouvel élément “lecteur SSD” ou SSD tout court :-D .

Une rumeur née en même temps que la sortie des premiers SSD, hors de prix soi-dit en passant, décrivait la fragilité de ce type de lecteur à mémoire flash. Etait en cause le nombre limité de cycles lecture-écriture qui, selon la technologie adoptée SLC (Single Level Cell) ou MLC (Multi Level Cell), divise encore par dix cette durée de vie réputée si courte.

Pour ne pas vous perdre dans les différentes techniques utilisées pour la fabrication des SSD, je vous renvoie sur le site de notre encyclopédie mondiale : Wikipedia.

Sachez toutefois que la technologie MLC permettant de stocker plusieurs informations élémentaires (bits) sur une même cellule, a logiquement la durée de vie la plus courte. Et c’est un SSD utilisant cette technique qui sert de support à l’expérience dont je vous parle.

Les bourreaux de Tom’s H. ont donc choisi un SSD, je cite, “Falcon de 128 Go, qui utilise un contrôleur Indilinx et de la mémoire MLC Samsung donnée à ~10 000 écritures (K9HCG08UIM)“. Voilà pour les caractéristiques du condamné.

Le principe de la torture infligée est d’écrire et d’effacer 1 Go de données de manière aléatoire, 24h/24, 7 jours/7, jusqu’à ce que mort s’en suive.

Eh bien l’expérience, commencée il y a deux mois, continue son petit bout de chemin. Le SSD-martyr n’a pas encore rendu l’âme malgré les 300 To écrits et effacés et les plus de 5000 cycles de lecture-écriture subits. N’oubliez pas que ce SSD est donné pour ~10 000 cycles. Les conclusions pessimistes prennent depuis une autre direction.

D’ailleurs les testeurs, par la voix de l’auteur de l’article Pierre Dandumont, martèlent depuis le début “la durée de vie est pour nous un faux problème“. Force est maintenant de les croire et c’est avec soulagement que dorénavant nous pourrons nous aussi profiter des superbes performances de ces nouveaux disques durs. D’autant que les prix ont bien chuté depuis.

Suivre le test sur Tom’s Hardware.

Vous noterez que le lien ci-dessus vous oriente sur une page qui titre entre autre “en 34 nm, il serait mort” et au bas de l’article un lien qui titre “”en 25 nm, il serait mort” tout simplement parce que plus la cellule est petite et moins elle offre de matière d’usure.

Share

Aujourd’hui, je vous présente une application dédiée au transfert de fichiers au moyen d’un navigateur web. Jusque là rien de bien original et je devine que je n’éveille pas votre curiosité. Voici donc la suite : Awesome Drop est le nom de cette application, ce qui signifie en français “Chute impressionnante” et vous allez comprendre pourquoi.

Sur n’importe quel ordinateur doté d’un navigateur compatible HTML 5 (tous les navigateurs modernes sont concernés, rassurez-vous), ouvrez la page du site labs.dashwire.com/drop.

Simultanément sur votre smartphone Android (je n’ai pas vérifié mais cette application doit aussi exister sur iPhone), lancez Awesome Drop et entrez le code pin qui vous est proposé sur le navigateur du PC. Vous verrez alors le 1er effet Awesome (impressionnant en français) la connexion est instantanée !

Sur votre PC, ouvrez votre explorateur préféré et opérez un “glisser-déposer” d’un ou de plusieurs fichiers dans la page du navigateur. 2e effet Awesome : le transfert s’effectue aussitôt !

Enfin, 3e effet Awesome, le transfert de fichiers se fait aussi bien en wifi qu’en connexion 3G ! Et ça je crois dire sans me tromper, que Awesome Drop est le seul à le proposer.

J’oubliais le 4e effet Awesome : c’est gratuit ! :-D

Vous trouverez facilement Awesome Drop sur le Market. Inutile de noter l’adresse du site Internet chargé du relais-transfert, elle est indiquée à l’ouverture de l’application.

Nul besoin non  plus d’ouvrir un compte et aucune crainte pour la sécurité de vos fichiers. Ils ne font que passer par le site et ne sont stockés nulle part.  Concernant le piratage lors d’un transfert, si vous craignez pour vos données, il vous appartient dans ce cas de les crypter auparavant.

Vous savez tout maintenant, alors soyez vous aussi Awesome !

Share

Eh oui, moi aussi je peux faire des titres poétiques !

Mais le sujet de ce soir est plus grave. Vous avez sans doute déjà entendu le son particulier du disque dur en souffrance qui s’invite parfois avec le souffle poussif du ventilateur de l’alimentation de votre machine.

Le disque dur est l’un des éléments les plus faibles de nos machines. Un choc, une surtension, un gros virus… et c’en est fini de nos précieuses données. Parfois, on arrive à tomber sur un disque dur costaud qui va dépasser les 5 ans et 5 ans, c’est déjà pas mal pour une utilisation normale, quotidienne. Après, je considère qu’il va mourir de sa belle mort, de vieillesse quoi !

Et c’est souvent en prenant de l’âge qu’il va commencer à faire du bruit. Selon les marques, le type de modèle et les éléments du disque qui fatiguent, les sons émis ne seront pas les mêmes. En me promenant sur la Toile, je suis tombé sur un site intéressant qui recense pas mal de bruits de disques durs abîmés. En voici un petit exemple :

Les grands constructeurs de disques durs sont présents : Western Digital, Seagate, Maxtor, Samsung, Hitachi/IBM, Toshiba, Fujitsu et Quantum.

Donc, si vous entendez un de ces bruits, pensez à faire des sauvegardes. D’ailleurs, même si vous n’entendez pas de bruit, faites tout de même des sauvegardes !

Des sons typiques de disques durs en fin de vie sont sur datacent.com.

Share

Le logiciel Google Earth est apparu comme une révolution sur la manière de voir notre planète. En effet, il permet de parcourir le monde grâce à des images satellites prises du ciel.

Si vous ne l’avez pas encore, je vous invite à le télécharger sur le site officiel.

Ainsi, vous pourrez voir votre maison, vue du ciel, ou celles des voisins. Mais de petits malins se sont amusés à rechercher des images insolites, des messages, des formes de vie, des zones d’essais nucléaires et bien d’autres…

Un point précis sur une carte se décrit par des coordonnées GPS sous la forme XX°YYZZ“N XX°YYZZ“O.

Voici donc quelques coordonnées à entrer dans Google Earth (selon la configuration du logiciel, il se peut que vous deviez remplacer “O” par “W”) :

Crop circle Italie : 44°40’52.66″N 10°19’02.81″E
Forme sur montagne : 40°27’19.02″N 93°45’03.45″E
Même genre de forme : 40°27’37.56″N 93°24’23.08″E
Zone d’essais : 40°27’32.43″N 93°18’52.13″E
Forme triangulaire dans désert : 30°30’38.32″S 115°22’57.62″E
Triangle avec rond dedans : 37°37’42.39″N 116°50’43.59″O
Logo Firefox sur un champ : 45°07’26.08″N 123°06’48.53″O
Avion et piste sur toit : 40°42’15.94″N 74°00’29.55″O
Avion abandonné en forêt : 45°24’28.83″N 123°00’26.71″W
Maison de Travolta + son avion et sa piste : 29°16’41.66″N 82°07’00.11″O
“Jesus love you” : 43°38’43.57″N 115°59’34.12″O
Cible essais nucléaires : 37°33’49.92″N 116°50’58.47″O
Puits de pétrole en feu : 29°50’32.59″N 47°50’46.64″E
Logo Batman : 26°21’29.04″N 127°47’02.21″E
Coca géant : 37°46’44.51″N 122°23’18.36″O
Rubik’s cube et clavier : 28°20’53.38″N 81°32’34.78″O
Missile avec trainée : 38°13’36.22″N 112°17’56.19″O
Zone secrète : 37°29’37.89″N 116°13’43.11″W
Des centaines d’avions : 32°10’15.55″N 110°51’12.19″W
Cimetière d’avions : 32° 9’18.86″N 110°52’59.71″O

Vous avez également accès à la fameuse Zone 51 mais on n’y voit pas grand chose. Quelques bases secrètes ont d’ailleurs été remplacées par des forets sur demande du gouvernement.

N’hésitez pas à nous faire partager vos trouvailles dans les commentaires.

Découvert sur tout-sur-google-earth.com et icietmaintenant.fr.

Share

Ouvert au début de l’année 2009, le site SalaireMoyen permet de connaître les revenus moyens des français, dans chacune des 36700 villes de France. Il prend en compte le revenu par ménage.

Attention, les données publiées sont issues de statistiques retravaillées de l’INSEE (2008) et du Ministère des Finances (2007) donc elles ne sont pas toutes fraîches.

Pour voir le classement de votre ville, il suffit de vous connecter sur salairemoyen.com et de taper le nom de votre ville ou son code postal dans le moteur de recherche (en haut à droite). Vous obtiendrez également d’autres informations comme : le nombre d’habitants, la part de retraités, un classement intéressant des revenus par rapport aux villes voisines, la part de familles imposables…

Le site propose également un Classement national qui est des plus instructif. Voici d’ailleurs un petit extrait des villes où les résidents gagnent le plus :

Alors, le déménagement, c’est pour quand ?

Les revenus moyens des villes françaises sont sur salairemoyen.com.

Site repéré sur geekastuces.blogspot.com.

Share