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Astuces, utilitaires, tutoriels, jeux, vidéos… que du bon pour apprendre et se divertir !

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Les tablettes tactiles ont le vent en poupe. Qui a réussi à éviter les stands iPad dans les magasins pendant les fêtes ?

Mais au delà des terminaux, je suis surtout intéressé par cette nouvelle : Android 3.0 arrive prochainement afin d’équiper l’ensemble des tablettes tactiles tournant sous Android.

Déjà adepte d’Android depuis maintenant 2 ans, je trouve ce système  extraordinaire, même si, je le concède, la gestion des données confidentielles par Google peut être inquiétante.

Voici donc une vidéo faisant état de ce système 3.0 : époustouflant !

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Mon billet promotionnel sur Ubuntu est parvenu à créer des vocations et j’en suis fier.

Je pense que la meilleure récompense (au-delà des dons en argent) que l’on puisse offrir aux développeurs d’Ubuntu est d’utiliser au quotidien le résultat de leur travail mis gratuitement à notre disposition. Un grand merci pour leur labeur et une pensée affectueuse pour le généreux Mark Shuttleworth sans qui Ubuntu n’aurait jamais vu le jour.

Passons cette phase de remerciement et intéressons-nous à l’Evolution de notre Ubuntu. Les connaisseurs auront apprécié le jeu de mot car Evolution est le nom de la messagerie livrée avec l’OS.

Je vais être direct. Même si cette messagerie est très évoluée et très complète, Evolution ne m’a pas séduit. Le plus agaçant est de ne pas pouvoir détruire sélectivement les fichiers se trouvant dans la corbeille : c’est tout ou rien.

J’ai donc porté mon choix sur un client de messagerie que j’utilise à mon travail. Ce lecteur de courrier est développé par la célèbre fondation Mozilla (bien connue pour son navigateur à succès FireFox) et se nomme : Thunderbird !

Ce qui suit suppose que vous ayez mis en place les paramétrages d’Evolution, mis à jour votre agenda, vos contacts et vos mails. Sachez qu’Evolution d’Ubuntu 10.10 permet l’importation des fichiers pst exploités par Outlook de Microsoft. Je pense que cette précision va en ravir quelques-uns car pour ma part, c’est après être passé par une série de conversions que je me suis rendu compte de l’existence de cette option… On ne se refait pas ! :(

Voici un lien ou vous trouverez un tuto soigné et complet pour effectuer cette migration en douceur : pascal.ledisque.free.fr.

Je vous laisse découvrir cet excellent article publié par Pascal Le Disqué car il n’y a rien à ajouter. J’insère juste cette précision lors de la mise en place des notifications au tableau de bord : après avoir installé l’extension libnotify-mozilla.xpi, il faut redémarrer le PC.

Bonne migration sur Thunderbird !

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Traditionnellement, lorsqu’une nouvelle année débute, on choisit de faire comme elle : repartir sur de nouvelles bases.

Et si parmi vos résolutions se trouvait celle de switcher sur Linux ?

Avouez que vous y avez pensé plusieurs fois notamment quand Windows mouline indéfiniment en cherchant on ne sait quoi sans jamais vous laisser la main. Combien de fois avez-vous pesté sur un satané logiciel qui vous demande toujours plus de ressources alors que vous venez d’acquérir la dernière machine dotée d’un processeur huit coeurs et 16 Go de Ram ?

Et pourtant vous le savez car tout le monde le dit, “avec Linux, tout roule même avec une configuration dépassée !”

Il y a 15 jours encore, j’étais comme vous et je pensais même acheter la version Seven de Windows car mon Vista s’essouffle malgré ma configuration 8-coeurs 4 Go de RAM. Mais le prix m’a vite refroidit, Brrr !

Et je me suis souvenu des propos d’un ancien débutant que j’avais formé à l’informatique qui m’a dit, “Jean-Claude je suis passé à Ubuntu… Que du bonheur !

Eh bien je confirme ! Que du bonheur :

  • démarrage OS arrêté : 20 secondes,
  • mise en veille simple : 1 seconde,
  • réveil : 1 seconde,
  • arrêt complet : 10 secondes !
  • ouverture de Firefox : 2 secondes à froid,
  • page google actualité chargée en 1 seconde à chaud !

Bref, une vitesse surprenante à voir lorsqu’on vient de Windows.

Comparé à Mac OS, je ne peux pas en parler. Je n’ai jamais eu de Mac mais sachant que Mac OS est basé sur un système Linux, je commence à comprendre certains aficionados des Mac.

Je vous ai donné envie d’essayer ? Alors vous pouvez passer par un live-cd mais je vous conseille plutôt d’installer Linux en double Boot. D’une part vous pourrez revenir sur Windows (ce que je n’ai pas fait depuis 15 jours) et d’autre part vous pourrez essayer dans la plénitude de ses performances votre distribution linux.

Au fait en parlant de distribution, je vous conseille vivement Ubuntu ! Pourquoi ? Déjà pour le symbole qu’il véhicule, Ubuntu signifie « Humanité ». Ubuntu signifie également « Je suis ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous ». Et si ça ne suffit pas à vous convaincre, sachez que Ubuntu comporte tous les drivers de n’importe quel device. Mon ordinateur très récent n’a rencontré aucun problème de driver. Cerise sur le gâteau, Nvidia fournit des drivers spécifiques pour les distributions Linux dont Ubuntu.

Alors maintenant n’hésitez plus !

Commencer par graver l’image de la dernière version de Ubuntu 10.10. Il existe une version 32 bits et une version 64 bits sur ubuntu-fr.org. Une fois l’image gravé au format iso (il existe des logiciels gratuits qui font ça très bien), bootez sur votre CD et laissez-vous faire ! Dans une demi-heure vous serez dans le merveilleux monde de Linux.

Toute la documentation, le savoir-faire et le faire savoir sur ubuntu-fr.org.

Ah oui ! J’oubliais le dernier argument : c’est gratuit ! :)

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QuickTime est un framework multimédia développé par Apple. C’est une bibliothèque logicielle qui gère à la fois du son et de l’image.

Un développeur qui souhaite se lancer dans la création d’une application multimédia, peut choisir de programmer lui-même la partie du logiciel qui décodera la musique et la vidéo ou se servir d’une bibliothèque de commandes toutes prêtes pour se simplifier la tâche (le fameux framework).

Normalement, il est nécessaire d’installer QuickTime pour lire les fichiers “.mov” et lancer certains logiciels qui utilisent le framework d’Apple. Or QuickTime est assez lourd à télécharger (33 Mo) et, personnellement, j’ai horreur que l’on m’impose un logiciel.

Récemment, je suis tombé sur un logiciel qui réclamait justement QuickTime 6 pour fonctionner. J’ai téléchargé, à contrecœur, la dernière version du logiciel d’Apple (la 7) et je me suis trouvé confronté à de nombreux bugs. Du coup, j’ai cherché une alternative et j’ai découvert QuickTime Alternative, le bien nommé !

Sa version 3.2.2 correspond à la version 7 de QuickTime. Après installation, je n’ai plus rencontré les bugs que je rencontrais avec QuickTime. Ne pesant que 18 Mo, l’installation est rapide et le programme semble au final se contenter de moins de ressources du système.

QuickTime Alternative est compatible avec la majorité des systèmes fonctionnant sous Windows : Seven 32 bits et 64 bits, Vista 32 bits et 64 bits, XP et 2000.

Au passage, notez qu’il existe la même chose pour se passer du RealPlayer de Real Networks (fichiers “.rmx”), en installant Real Alternative.

Un bon moyen de se passer de l’usine à gaz d’Apple sur free-codecs.com.

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Le 20 Novembre 1985, une petite entreprise inconnue lance un système d’exploitation 16 bits graphique pour faciliter l’utilisation des PC.

Un peu moins de 25 ans plus tard, Microsoft est mondialement connu et Windows est le système d’exploitation le plus utilisé.

On peut toujours sourire en regardant cette vidéo et se dire que ce petit système n’était pas très ergonomique et plutôt moche mais il a amené un développement sans précédent  l’Informatique et a permis de faire entrer les ordinateurs dans les foyers.

Juste un petit conseil pour apprécier cette petite séquence nostalgique : coupez la petite musique agaçante.

Repéré sur mashable.com.

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Le terme diaspora désigne la dispersion d’une communauté ethnique ou d’un peuple à travers le monde (définition Wikipedia). C’est également le nom d’un logiciel très prometteur qui serait une sorte d’alternative à Facebook, si cela est encore possible…

Imaginé par des étudiants en infor­ma­tique de l’université de New York, Diaspora devrait fournir le même service que Facebook, c’est à dire, la possibilité d’échanger des données (messages, photos, liens…)  mais dans un respect total de la vie privée de ses utilisateurs.

Pour cela, Diaspora utiliserait une système entièrement décentralisé, contrairement à Facebook qui centralise actuellement toutes les données des utilisateurs sur leurs serveurs. Concrètement, une fois installé sur une machine, Diaspora pourra se connecter directement à l’ordinateur de votre “ami”, sans passer par un intermédiaire. Le réseau se tissera donc entre les machines des utilisateurs, comme une sorte de P2P sans serveur.

Pour éviter d’éventuels abus, le logiciel sera open source et tout donc tout le monde pourra regarder comment fonctionne le service. Un système de plugins devrait être mis en place pour permettre d’étendre les pos­si­bi­li­tés du programme.

Maintenant la question qui fâche : “et les concepteurs, ils gagnent quoi avec un logiciel gratuit ?”. En fait, ils proposeront une installation “clé en main” pour ceux qui ne veulent justement pas mettre les mains dans le cambouis. Cela fonctionnera par exemple comme avec WordPress. Si vous voulez un joli blog, soit vous récupérez  les fichiers d’installation de WordPress (qui sont gratuits) et vous effectuez seul l’installation et les réglages, soit vous payez les pros qui ont conçu le logiciel pour le faire.

Bref, pour les fanas d’amis virtuels, Diaspora peut être une sorte de Graal, la solution ultime et sécurisée pour remplacer MSN, Facebook, Twiter… Le logiciel devrait voir le jour assez rapidement car son code source est déjà bien avancé.

Les utilisateurs seront-ils au rendez-vous ? Fera-t-il de l’ombre à Facebook ? Sera-t-il directement acheté par Google ?

N’hésitez pas à poser ces questions à vos vrais amis, dans de vrais bistros, avec de vraies bières… et des cacahouètes !

Vous trouverez des informations sur le projet Diaspora sur joindiaspora.com.

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TOR Ce petit billet a pour simple but d’expliquer aux non spécialistes ce qu’est le système TOR.

Mais avant de rentrer dans les détails, revenons sur une généralité : lorsque l’on surfe sur Internet de manière classique, tout ce que l’on fait est repérable. Alors que l’on se sentirait plutôt invisible devant son écran d’ordinateur, chacun de nos pas sur la Toile est scruté, analysé et fiché.

Tout d’abord, c’est notre fournisseur d’accès qui conserve les traces de nos connexions. Certains sites ou services nous fichent également pour connaître nos habitudes à des fins publicitaires (le grand champion est Google). Les gouvernements nous surveillent : renseignements généraux sur certains thèmes sensibles, HADOPI pour repérer les méchants pirates… Et je ne parle pas de certains individus peu scrupuleux qui peuvent s’infiltrer dans votre machine à l’aide de virus.

Bref, nous ne sommes pas des anonymes sur Internet, loin de là, et l’adresse IP de votre ordinateur, sorte de petite carte d’identité numérique, permet de vous repérer à chaque instant.

C’est justement pour rendre invisible cette adresse IP, que le système TOR a été mis en place. C’est un réseau mondial collaboratif grâce auquel un internaute peut surfer anonymement. Il est décentralisé et les serveurs qu’il utilise sont le plus souvent mis en place par des indépendants, soucieux du respect de la vie privée.

Maintenant, voyons comment le système TOR fonctionne. Lorsque vous vous connectez à un site, votre ordinateur communique directement avec le site en question. Chaque partie connaît l’autre. Avec TOR, cet échange de données transite par plusieurs relais (trois en général), si bien que le destinataire, qui ne connaît que l’identité du dernier relais, ne peut pas savoir qui est l’expéditeur initial.

De plus, le chiffrement et le routage des données se fait par “oignon” (TOR signifie “The Onion Router”) en trois couches. Le message de l’utilisateur est chiffré une première fois pour le premier relais, une seconde fois pour le second relais et une troisième fois pour le dernier relais. A chaque étape, une couche de “l’oignon” est enlevée indiquant l’adresse du relais suivant.

TOR

Image Wikipedia

Chaque sous-trajet est donc segmenté. Le destinataire ne connaît pas l’expéditeur, ni les deux premiers relais. Il est possible de multiplier les intermédiaires pour plus de sécurité mais l’on perd alors progressivement en réactivité car la connexion avec le destinataire est d’autant plus lente.

Le réseau TOR permet donc de préserver un certain anonymat sur Internet. Il n’est pas une assurance tous risques car les relais sont indépendants et ne garantissent pas une totale confidentialité des messages même si les risques sont faibles.

TOR fonctionne avec quasiment tous les navigateurs et clients de messagerie. Il est très utilisé dans certains pays qui n’ont pas accès à l’intégralité d’Internet et dans lesquels les gouvernements appliquent une censure sur l’information.

Il peut également être utilisé pour masquer une utilisation illégale comme le téléchargement de fichiers. Le système fonctionne parfaitement mais l’échange de données est nettement moins rapide à cause des intermédiaires présents entre la source et le client.

TOR est à la fois un logiciel libre et un réseau ouvert. Il est à découvrir sur torproject.org.

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Wii Noire Suite à mes deux précédents billetsBricoler sa Wii : introduction” et “Bricoler sa Wii : lancer des jeux à partir d’un DD externe” qui ont eu l’air de vous intéresser, je vous propose d’aller encore un peu plus loin avec cette console.

En effet, la Wii est suffisamment puissante pour émuler des jeux de consoles plus anciennes et surtout, pour lire des vidéos. Tout marche très bien chez moi mais attention : je ne pourrai pas être tenu pour responsable des éventuels dégâts qui pourraient arriver à votre console si vous vous lancez dans ces bricolages !

Pour transformer votre Wii en lecteur Divx de salon, il faut installer les chaînes Mplayer ou GeeXboX. Je suppose que vous savez ce qu’est une chaîne puisque vous avez lu mes deux billets “Bricoler sa Wii “. Il existe deux versions de Mplayer : la classique et la version CE. Vous trouverez sur la Toile des tutoriels très bien faits :

– pour Mplayer.
– pour GeeXboX.
– pour Mplayer CE.

Personnellement, j’ai opté pour Mplayer CE car il marche très bien, il est très facile à mettre en place et surtout parce que c’est le seul qui permet de lire des vidéos en streaming. Vous partagez un dossier avec vos vidéos sur un ordinateur et Mplayer CE se charge de lire vos films en passant par la connexion Wifi. Il y a quelques réglages à effectuer. Vous trouverez des informations sur le paramétrage du fichier “smb.conf” sur metagames-eu.com.

Après plusieurs mois d’utilisation de Mplayer CE, le bilan est très positif. La lecture de vidéo est excellente à partir d’un disque dur externe. La lecture en streaming est plus aléatoire car parfois la diffusion se bloque et il faut redémarrer la console en appuyant 5 secondes sur le bouton “Power”.

Je préconise donc l’utilisation d’un DD externe sur lequel sont placés les films, les images des jeux Wii et les roms des émulateurs. Personnellement, j’utilise un DD en Fat32 et “WiiBackupManager” pour ajouter les jeux Wii. Il est possible de se créer directement un DD multifonctions en utilisant, par exemple, ce tutoriel.

Nous arrivons donc à la dernière partie de mon propos qui concerne l’émulation de jeux sortis pour des consoles plus anciennes. Il existe de nombreux émulateurs. Les plus intéressants sont ceux qui font tourner des jeux pas trop anciens ou des jeux que vous avez adorés. A mon avis, trois émulateurs sont intéressants :

– l’émulateur N64.
– l’émulateur Megadrive.
– l’émulateur SNES.

Vous trouverez tout ce qu’il vous faut sur wii2.fr. Les installations sont vraiment faciles à réaliser et une fois lancés, ces programmes possèdent de nombreuses options bien pratiques, notamment au niveau de la configuration des manettes.

Je vous rappelle que toutes ces manipulations sont autorisées mais que c’est l’utilisation que vous en ferez qui pourrait être illégale, notamment la lecture de divx téléchargés ou l’utilisation de jeux piratés.

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PlayStation 3 Et oui, un bug mystérieux, sobrement baptisé “bug du 1er mars 2010” a touché les PS3 ancienne génération. Une grande partie de ces consoles ont affiché la date du 1er mars 2000 au lieu de 1er mars 2010. Les possesseurs de PS3 “Slim” n’étaient pas touchés par ce problème.

L’horloge interne des consoles étant HS, elles affichaient un mystérieux code d’erreur “8001050f“. Plusieurs problèmes se sont alors posés :

– impossibilité de se connecter au service en ligne Playstation Network.
– impossibilité de lancer des jeux achetés sur le Playstation Store.
– impossibilité de synchroniser ses trophées.
– impossibilité de lancer certains jeux récents comme Heavy Rain ou Darksiders.

Le drame quoi ! Du coup, toute la communauté des utilisateurs de PS3 “fat” (version antérieure à 2009) se met à paniquer et à chercher une solution : en vain. Les ingénieurs de Sony se penchent sur le problème avec anxiété…

Après de nombreux rebondissements, le constructeur annonce que le problème a été identifié : il vient effectivement de l’horloge interne et sera corrigé dans les 24h. Les équipes de développement travaillent comme des dingues.

Finalement, gros coup de chance pour Sony, le problème se résout tout seul lorsque les consoles passent au 2 mars. Elles s’efforçaient de trouver un 29 février 2010 qui n’existe pas au lieu de passer au 1er mars. Sans date correcte, l’ensemble des systèmes ont buggé. Du coup, il n’y avait plus d’accès au Playstation Network, ni de synchronisation des trophées. Les jeux qui en dépendent ne se lançaient donc pas.

Bilan des courses, une grosse frayeur pour Sony et pour les joueurs. Sur plus de 30 millions de PS3, 20 millions se sont retrouvées complètement bloquées pendant une journée à cause d’une mini boulette sur l’algorithme de calcul des années bissextiles. La technologie c’est beau et pratique, mais ce n’est pas infaillible

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Il y a quelques jours, Microsoft présentait officiellement son nouveau système d’exploitation pour téléphone portable. Baptisé Windows Phone 7.0, la firme de Redmond tente de tirer son épingle du jeu face à la concurrence : l’iPhone d’Apple et Android de Google.

Bien que je n’ai pas eu la machine entre les mains, il semble que son interface se démarque un peu de ce qui se fait actuellement et s’oriente plus vers l’utilisateur et les réseaux sociaux que vers les programmes embarqués. Les retours ont l’air assez positifs d’après ce que j’ai lu.

La vidéo ci-dessus permet d’avoir un petit aperçu de ce que cela donne.

Repéré sur clubic.com.

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