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Android Tout le monde connaît maintenant le système d’exploitation développé par Google : Android. Tout le monde sait aussi que cet OS est gratuit. Et l’on connaît tous la volonté de Google à vouloir le démocratiser en mettant à disposition des programmeurs, les lignes de code qui le composent. Google va plus loin en offrant un SDK (Software Development Kit) pour Android, afin de faciliter la vie des programmeurs.

Mais Google ne s’arrête pas là et a pensé aux programmeurs en herbe en créant son langage de programmation. C’est Simple, un langage tirant sa source du fabuleux BASIC qui a fait le bonheur d’un grand nombre de pseudo-programmeurs par sa facilité de compréhension.

Avec “Simple“, Google s’achemine vers un (nouveau) succès assuré qui permettra d’accroître rapidement la logithèque Android. Gageons que très bientôt, celle-ci devrait être aussi fournie que l’impressionnante logithèque de Palm à son apogée ou que l’actuelle de Windows Mobile.

En tout modestie, j’ai fait partie du monde des programmeurs en titillant des codes sources écrit en BASIC, C ou C++ puis en Visual C++. J’ai donc une expérience de quelques années dans ce domaine et je me suis penché sur la structure de Simple.

Ma première impression n’accroche pas l’enthousiasme de Google pour Simple, surtout si je le compare à la véritable simplicité du premier langage BASIC avec ses PRINT DO IF GOTOSimple s’apparente plutôt au nouveau BASIC en usage dans la suite Microsoft pour construire ses macro-commandes, notamment en suivant un protocole de déclaration et de construction (dim as sub…).

J’ai dit “s’apparente” car en fait sous un air simple, Simple est plus “compliqué” que ça. J’appellerai plutôt ce langage SIMPLE++ car c’est du Basic orienté objet avec des news, des objects et ses implémentations d’instructions. Google prévient que Simple reste un langage puissant : ceci explique donc cela.

Pour programmer Simple, il vous faudra installer sur votre ordinateur les SDK de Java à partir de la version 1.6 et de Android à partir de la version 1.5.
Alors à vos claviers pour de bons petits softs et jeux à foison ! Et n’hésitez pas à nous faire part de vos réalisations dans les commentaires ci-dessous !

Le lien utile : Simple.

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SkipScreen Vous avez sûrement tous, au moins une fois, téléchargé un fichier sur des hébergeurs payants comme Megaupload ou Rapidshare.

Vous avez aussi sûrement remarqué que le temps d’attente n’est pas énorme, mais assez pour nous donner envie de prendre un abonnement. Celui-ci donne plusieurs avantages comme la suppression du temps d’attente.

J’ai découvert récemment un “module complémentaire”, communément appelé “Plugin“, pour Firefox. Celui ci se nomme “SkipScreen” (signifiant : “faire sauter l’écran”). En effet, il vous permet de ne plus attendre sur ce genre de site. Les téléchargements restent limités, mais le temps d’attente est supprimé.

Pour le récupérer, rendez vous sur skipscreen.com et cliquez sur “Add To Firefox“. Ensuite, vous n’avez plus qu’à redémarrer Firefox, et le plugin est installé !

Bien sur, vous pouvez modifier les options de celui-ci (Outils > Modules complémentaires > Options de SkipScreen) et cocher les sites sur lesquels vous ne voulez plus attendre mais, mieux vaut sélectionner l’ensemble des 14 propositions.

SkipScreen est à télécharger gratuitement sur skipscreen.com.

(Billet proposé sur le forum dans le cadre de la double semaine “A blog ouvert !“)

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Beezik Vous avez peut-être déjà entendu parler d’un site sur lequel se trouverait des musiques gratuitement téléchargeables, contre un petit visionnage de publicité ? Et bien ce projet est maintenant réalité, grâce au site beezik.com.

Ce site, encore en version bêta semble-t-il, propose de télécharger une chanson a la fois (du moins, je n’ai pas trouvé comment prendre l’album entier…), contre une page de publicité imposé a l’utilisateur. Il suffit de choisir, parmi les albums/artistes disponibles, la chanson de son choix, et de sélectionner sa publicité. Là, les créateurs du site marquent un bon point car les publicités sont courtes et ne se prolongent pas après la préparation au téléchargement (même si le site du publicitaire s’ouvrira après, dans un nouvel onglet…).

Ensuite, cela devient plus corsé. Vous avez 6 secondes pour cliquer sur le lien qui permettra le téléchargement de la chanson. Pas question d’aller voir ailleurs pendant la pub…

La suite? Pas mieux, vous choisissez où stocker votre chanson et c’est parti… enfin, ça l’est mais rien ne vous indique que c’est fait. A vous donc de vous rendre dans votre dossier et de sélectionner la chanson.

Attaquons maintenant le point le plus mauvais à mon goût : la protection DRM. Dans votre dossier, vous pourrez trouver la musique (avec marqué “Beezik remercie /nompublicitaire/ X( )” et, si vous avez de la chance, elle sera a un format reconnaissable par le lecteur Windows Média Player car ce logiciel est obligatoire pour la lecture des titres et son transfert vers d’autres supports…

Sinon, tentez tout de même le coup, WMP lira votre titre mais vous demandera de valider la protection DRM en vous dirigeant sur Beezik, et en vous connectant au moins une fois par mois.

Enfin, il n’est pas possible pour l’utilisateur de naviguer a travers les albums afin de savoir ce qu’il y a. C’est a lui de donner un mot clé et peut-être avoir la chance de tomber dessus. Leur catalogue semble tout de même bien fourni.

Terminons sur une note positive : le téléchargement des titres vous donne des points qui servent par la suite à obtenir des bons de réduction chez divers partenaires. Mais c’est donc indirectement de la publicité, une fois de plus…

Sur un total de 10, j’évalue ce site à 5, avec comme appréciation : de bonnes bases, mais encore beaucoup d’éléments à revoir pour satisfaire les utilisateurs. Mais ne perdons pas espoir, il ne s’agit que d’une version bêta de laquelle ils pourraient tirer des enseignements précieux

Faites-vous votre avis sur beezik.com.

Un grand merci à Zorry qui a proposé ce billet sur le forum dans le cadre de la double semaine “A blog ouvert !

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Emule Notre cher gouvernement, lancé au grand galop sur ses réformes, particulièrement celle censée protéger les droits d’auteurs, a déjà sélectionné l’entreprise chargée de détecter les vilains pirates.

Il s’agira d’Extelia, filiale de La Poste, qui aura à charge de relever les IP, puis de se faire dévoiler l’identité de ladite IP et pour finir d’envoyer le fameux courriel d’avertissement.

Le problème, c’est que si l’on n’ouvre pas ce courriel (que l’on aurait pris pour du spam ou pour toute autre raison), l’internaute n’est jamais avisé officiellement. D’où partira donc la procédure censée aboutir à la rupture de sa connexion ?

En voulant économiser l’envoi de véritables courriers en recommandé, les citoyens vont encore faire les frais d’une procédure boiteuse mis en place en toute hâte au détriment des droits les plus élémentaires. Le comble, c’est que le site de La Poste propose l’envoi en ligne de courrier en recommandé avec accusé de réception. Tout ça pour en arriver au tribunal à dire au Juge que sa connexion a sûrement été piratée et que l’internaute n’est pas responsable du téléchargement illégal reproché.

Espérons que, comme la fois dernière, le conseil des sages saura y mettre l’ordre qui convient !

Source d’information sur silicon.fr.

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Statistiques de Firefox 3.5 Pas moins de 55 bugs auraient été répertoriés par les utilisateurs de la dernière version du rusé canidé !

On parle-là bien entendu de la version finale, agréée et recommandée par la fondation Mozilla. Gulp ! Quand je pense que personnellement j’utilise cette version depuis qu’elle est en bêta 1… Mais aucun reproche à formuler pour ma part. Tout roule, no souçaille (comme disent les anglophones) !

Si quelques sources remettent parfois en question la fiabilité de ce super navigateur et peuvent vous décourager de l’installer, moi je vous conseille vivement de le faire, au moins pour le tester. Mais heureusement, je prêche dans un désert. Pour preuve, Mozilla a mis en place un site sur lequel on peut voir en temps réel le nombre de téléchargements de cette version parfois décriée du renard roux.

Sur un graphique, on constate que mondialement les téléchargements vont bientôt atteindre la barre de 14 millions à l’heure où je rédige ce billet. La France se comporte bien puisqu’elle se situe à la 4e place, bien loin toutefois des internautes allemands qui semblent bien plus apprécier ce browser avec près du triple de téléchargements, soit 1 680 000 !

Nous assistons donc à un nouveau succès de Mozilla, qui en confortant sa position, se trouve être le véritable concurrent sérieux des IE.

Si, par infortune, vous tombiez sur des bugs, sachez que la fondation a prévu un jour spécial pour les dénoncer, ce sera le 7 juillet 2009. Comme pour les grands événements, ce jour aura un nom, il s’appellera BUG DAY. C’est peu glorieux mais honnête.

Le principe sera de communiquer les bugs constatés par l’intermédiaire d’un chat ouvert à une adresse irc, en l’occurrence : celle-ci. La page consacrée à cet événement se trouve ici.

Bonne chasse !

Participer au BUG DAY.

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Emule Partout dans les médias du Net, nous lisons et nous apprenons que le dossier HADOPI, de plus en plus brûlant pour la crédibilité de nos dirigeants, vient de passer aux mains de la Justice avec sa nouvelle patronne, Mme MAM (Michèle Alliot-Marie).

Bien évidemment, le système de l’ordonnance pénale, dont je vous avais parlé, fait la Une du projet à mettre en place le plus rapidement possible. En effet, l’urgence capitale de cette loi occulte d’autres projets bien moins importants comme la crise financière et les milliers de chômeurs en plus qu’elle engendre chaque mois. Bref ! HADOPI doit passer coûte que coûte.

Ce qui m’étonne dans la retransmission de cette information, c’est le caractère alarmiste de cette solution et le spectre de 1 000 coupures de connexion par jour envisagées pour les internautes.

Quitte à être le seul à tenir ce langage, je tiens à rappeler à tous les citoyens français (eh oui ! nous sommes les seuls concernés) que nous sommes encore en République dans un Etat de DROIT. Cette ordonnance pénale qui n’est pas un jugement mais une transaction avec le Procureur de la République pour éviter de passer au tribunal, peut être refusée. Tout internaute “ordonné” peut demander à passer devant le juge pour défendre sa cause et prouver sa bonne foi, le cas échéant. HADOPI 2 reste en l’état un épouvantail à moineaux. Seuls les gens facilement influençables marcheront dans cette combine.

Évidemment, contester une ordonnance pénale ne fera qu’alourdir les tâches des tribunaux, 1 000 connexions à couper par jour = 1 000 dossiers à juger par jour… Va y avoir du pain sur la planche…

Un exemple d’information alarmiste chez pcinpact.com.

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Emule Voici deux faits divers informatiques d’importance qui vont mener de l’eau au moulin de Mme Albanel…

L’un se passe au Québec et concerne un jeune pirate, mineur au moment des faits, qui, à l’aide d’un ver informatique, était parvenu à prendre le contrôle d’une cinquantaine d’ordinateurs, pour la plupart situés en Asie. Il serait accusé d’avoir occasionné un préjudice de 5 millions de dollars. Wahoo ! Je n’aurais jamais cru que 50 ordinateurs pouvaient causer autant de dégâts !

Le délinquant a été sanctionné par la peine la plus lourde prévue pour ce genre d’infraction et ma foi, on ne peut qu’approuver ce genre de sanction ! S’introduire dans un ordinateur privé est pour moi similaire à une violation de domicile et comme chacun sait, l’intimité c’est sacré !

Le second cas est plus proche de notre jolie loi Hadopi. Il sanctionne une méchante personne accusée au final d’avoir piraté pas moins de… 24 mp3. Oui vous lisez bien : vingt-quatre mp3. Le tribunal du Minesota a condamné cette maman célibataire à verser à la puissante RIAA (Recording Industry Association of America) près de 2 000 000 de dollars. Oui vous lisez toujours bien : deux millions de dollars ! Qui aurait cru que pirater un MP3 entraînerait un manque à gagner aussi important ?

Dopée par ces deux lamentables exemples sur la disproportion des sanctions infligées, Mme Albanel va-t-elle poursuivre sa croisade de la même manière contre les pirates français ?

Seul l’avenir, qui devient inquiétant pour le développement d’Internet, nous le dira.

Les deux affaires en question sur 01net.com et sur canoe.com.

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Emule Mme Albanel, tel un pitt-bull enragé, ne veut pas lâcher le morceau. Les droits d’auteurs sont devenus, pour elle, un enjeu capital pour la survie du pays ou, plus prosaïquement, pour sa fierté personnelle.

Le sage Conseil Constitutionnel ne veut pas de sa loi ! Eh bien, à l’instar des radars automatiques pour parer la vitesse sur les routes, notre ministre de la culture veut inventer les radars automatiques pour le Net.

Il ne s’agira pas tout à fait du même système d’amende automatique déclenché par les radars mais d’une formule simplifiée appelée ordonnance pénale. Cette forme d’amende est similaire à celle que rédigent les policiers lorsqu’ils dressent une contravention sur leur carnet vert, pour une infraction au stationnement. Voilà donc un gain de temps considérable qui s’annonce pour sanctionner le méchant pirate et engranger de l’argent.

Dès réception de l’ordonnance pénale, le délinquant, puisqu’il s’agit d’une amende pouvant entraîner une peine de prison, pourra soit reconnaître l’infraction et payer l’amende, soit contester et demander à passer au tribunal correctionnel. Chose qu’il aura tout intérêt à faire pour éviter l’amende et la coupure de connexion en arguant qu’il a pu être victime lui-même d’un piratage de sa ligne.

Afin de susciter un frisson général, Mme Albanel n’hésite pas à publier ce projet en rappelant de manière très comminatoire que la contrefaçon (le téléchargement est assimilé à de la contrefaçon) est punie d’une peine de prison de 3 ans et d’une amende de 300 000 euros. Comme on aimerait que l’application de la loi touchent de la même façon les délinquants de droit commun qui empoisonnent la vie quotidienne de millions de français chaque jour !

Avec Hadopi j’ai comparé Mme Albanel à un pitt-bull pour la pugnacité qu’elle démontre. Il serait regrettable de la comparer à un autre animal si son projet d’ordonnance pénale devait avorter et qu’elle s’entête à sortir une nouvelle solution du même genre…

En savoir plus sur lepoint.fr.

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Androïd Nous en avions parlé il y a 10 mois : le système d’exploitation de Google nommé Android est désormais bien parmi nous.

Possesseur d’un HTC Tytn II, sous Windows Mobile, je n’ai pas pu résister, et j’ai installé sur cette même machine, Android en version 1.1 ! Plusieurs articles sur cette manipulation sont d’ailleurs disponibles sur le net.

A mon sens très abouti et réussi, le système d’exploitation propose un “market” qui permet de télécharger nombre d’applications, gratuites ou payantes. Pour ceux qui ne peuvent accéder au Market pour cause d’incompatibilité de leur forfait data (SFR illimithycs par exemple), ou qui veulent utiliser une passerelle indépendante, voici une sélection de sites permettant de télécharger les applications comme bon vous semble, dans leur format natif : APK.

androidfreeware.org : un site regroupant les applications par catégories, en Anglais.
Business Mobile.fr : un site en français.
freeware4android.com : en anglais, un blog qui traite d’infos sur Android mais aussi d’applications.
androidfreeware.net : en anglais aussi, sûrement le site le plus fourni.

Comme toujours, faites des copies de vos données, ces applications peuvent contenir des bugs.

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Emule Comme Lisa Azuelos l’a fait dans son dernier film, autant utiliser le langage des djeuns pour exprimer le ressenti général suite à la décision du Conseil Constitutionnel. LOL, MDR, PTDR, ou encore à la Brice de Nice, KC !

Enfin les sages auront rendu la raison à notre bande de députés analphabètes informatiquement parlant, qui ont donné leur voix à majorité à une ministre pas plus cultivée qu’eux en la matière. Ouf ! la voix de la sagesse s’est finalement fait entendre et a fait entendre raison à nos dirigeants.

Il faut dire que sauf dans un régime totalitaire cette loi était inimaginable à appliquer.

Les artistes et les majors n’ont plus qu’à se mettre au travail pour cesser de vouloir engranger de l’argent aussi facilement qu’avant et proposer des solutions qui tiennent la route du XXIe siècle. C’est maintenant une évidence, la vieille époque est révolue, Internet est bien en marche et est considéré comme un droit inaliénable, il faut donc s’adapter ou couler.

Les sages ont averti et rappelé les principes d’une démocratie, notamment celui de la séparation des pouvoirs, en lançant que “C’est à la justice de prononcer une sanction lorsqu’il est établi qu’il y a des téléchargements illégaux”.

La loi est donc vidée d’une grande partie de sa substance. Au revoir :
– la coupure de l’accès Internet
– le fichage par des société privées
– la présomption de culpabilité où il fallait prouver son innocence (!)

Le système qui sera mis en place devient simplement une machine à envoyer des mails d’avertissement et comme tout citoyen, devra saisir la Justice pour sanctionner le gros méchant téléchargeur.

Bon, ça c’est fait… passons à autre chose. :-)

Information recueillie sur clubic.com.

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